25 – 27 décembre 2020
En cette terrible année 2020, en ce temps de pandémie covid 19, il aura fallu, que jour après jour, dans tout le pays, se démultiplient les assassinats, aux couteaux, aux marteaux, aux hachoirs, aux armes de guerre, tous les saccages, tous les incendies de voitures et de bâtiments publics, toutes les violences criminelles de la minorité subversive anarcho-djihadiste (1).
Le peuple français est leur cible.
Notre patrie est en danger . . . et le sang des citoyens en est le prix . . . dans l’indifférence totale de Macron, celui qui, le 7 mai 2017, avait dit : « Je vous servirai avec amour (!) » alors qu’il ne voulait qu’une majorité servile de députés.
Et encore, le 16 octobre 2020, l’égorgement de Samuel Paty, professeur d’histoire-géographie, devant son collège à Conflans-Sainte-Honorine, exécuté par un islamiste tchétchène Abdoullakh Anzorov, et ses complices en France : trois djihadistes pour acheter les couteaux à Rouen, le père d’une élève du collège, des collégiens (futurs djihadistes ) pour désigner le professeur , un imam pour la fatwa de la mosquée de Pantin.
On ne pardonnera pas à Macron l’incohérence de son discours de la Sorbonne du 21 octobre 2020 (2). [ discours suivi le 29 octobre 2020 par deux égorgements et une décapitation de trois personnes, dans la Basilique de Nice.]
Le protocole de mise en scène de cérémonies d’hommage aux innocentes victimes de la terreur islamique est devenu pour Macron, «une banale routine», informé qu’il est, depuis janvier 2020, par « la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) des 150 quartiers [a minima] sous l’emprise de l’islam radical » en France (3).
Il y fut égal à lui-même, lamentable ; comme le seront sa loi « dite de la sécurité globale », et son projet de loi sur « le séparatisme (?)« , nouveau nom pour ne pas dire « djihad de l’hydre islamiste » contre la République laïque.
⇒ Il avait pourtant clamé « sa vigilance face à l’hydre islamiste » dans son discours du 3 octobre 2019 (4) à la Préfecture de police de Paris après les égorgements de quatre policiers par Mickaël Harpon selon la fatwa de la mosquée de Gonesse (Val d’Oise).
[Alors que dans son discours du 7 mai 2017 (5 ), il se déclarait notre « humble serviteur », on sait désormais qu’il est celui de son Conseil islamiste français (?) du culte musulman [CIFCN] auquel l‘expression « hydre islamiste » aura déplu.]
Un an après, le 21 octobre 2020, Macron le lâche a commencé par :
« Ce soir je n’aurai pas de mots pour évoquer la lutte contre l’islamisme politique, radical, qui mène jusqu’au terrorisme. Les mots, je les ai eus. Le mal, je l’ai nommé. Les actions (?), nous les avons décidées (?), nous les avons durcies (?), nous les mènerons jusqu’au bout (?). »
Pour oser dire à la fin :
« Alors, pourquoi Samuel fut-il tué ? Pourquoi ? Vendredi soir, j’ai d’abord cru à la folie aléatoire (?), à l’arbitraire absurde (?): une victime de plus du terrorisme gratuit (?)…
Selon lui, ayant déjà réglé le problème de la sécurité des Français, il pouvait faire celui qui s’étonnait comme un simple d’esprit, en disant qu’il n’y comprenait plus rien !
⇒ C’est surtout parce que notre paix civile violentée, jour après jour, depuis 2012 par les barbares islamistes, et aussi depuis 2017 par les black bloc et autres forcenés ne l’a jamais concerné.
Lui, qui avait été financé par des milliardaires pour obéir à leur ordre mondialiste, sous leur étendard de « la grande peur climatique ».
Lui, qui avait été leur protégé face aux désastres de notre patrimoine national, et face aux pollutions monstrueuses, que furent les incendies djihadistes de Notre-Dame de Paris et de l’usine Lubrizol, à Rouen.
Lui, qui facilite les licenciements massifs, indifférent à la désespérance des chômeurs et à la paupérisation programmée des retraités dans son projet de réforme, pouvait déclarer : « Tout cela n’est pas mon affaire ».
Car lui, sous « le haut- commandement allemand et américain de L’Union européenne » est déjà passé au projet Hercule de démantèlement d’ EDF, qui mettra fin à la souveraineté énergétique de la France, en fragilisant le nucléaire français, dont il a déjà, sous leur ordre, fermer la centrale de Fessenheim . . . pour rouvrir, sans avoir peur, des centrales à charbon …
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Enfin, retrouvons en cette période de Trêve des Confiseurs, notre belle jeunesse des écoles, des collèges et des lycées, et leurs professeurs.
En hommage au professeur Samuel Paty, le 2 novembre 2020, elle a entendu la lecture d’un extrait de l’article vibrant du professeur de philosophie et plus jeune député Républicain, Jean Jaurès, s’adressant Aux Instituteurs et Institutrices, le 15 janvier 1888. (6)
Mais pourquoi aura -t-il fallu que « les plumes de l’ Élysée » en suppriment quatre paragraphes, pour maintenir le paragraphe 2, celui où Jaurès déplorait que les écoliers du monde paysan soient moins assidus.
Alors que chacun sait que leur absentéisme était lié à leur aide utile, à la ferme et aux champs, et que, pour la grande majorité d’entre eux, il n’aura pas nui à leurs apprentissages fondamentaux.
Ainsi, il était injuste et stupide de faire entendre aux jeunes du XXIème siècle, que ces courageux enfants de la campagne qui participaient au dur labeur de leurs parents [faisaient] « souvent au sortir de l’école, des rechutes profondes d’ignorance et de paresse d’esprit. »
D’ailleurs, la qualité des lettres de nos valeureux grands-pères à leurs familles, pendant la guerre de 1914-1918, est là pour le prouver.
Cet absentéisme n’est en aucun point comparable à l’absentéisme des collégiens actuels, dans des familles qui se désintéressent de l’école républicaine laïque, là où leurs « modèles » et leurs « éducateurs » sont des délinquants islamistes multi-récidivistes.
Mais hélas ! Désormais, cela correspond bien, dans d’innombrables quartiers à l’effondrement des savoirs en français et en mathématiques.
Et c’est justement, parce que Jean Jaurès voulait que tous réussissent, que son article est une remarquable ode à la lecture, par laquelle, au fil des jours, l’enfant développe son intelligence, sa compréhension et son désir d’apprendre toujours plus, pour comprendre toujours mieux.
D’où l’importance de l’excellent apprentissage d’alors, par la méthode syllabique qui facilitait – puisqu’à l’oral l’enfant les connaît bien – l’acquisition des mots écrits, leur écriture et leur orthographe. L’apprentissage simple et rapide était là, pour permettre à l’enfant de goûter plus vite au plaisir de lire, et d’écrire lui-même.
Comme l’écrit Jean Jaurès, et comme Samuel Paty l’avait si bien compris :
«Les enfants ont une curiosité illimitée. (…) Il y a un fait que les philosophes expliquent différemment suivant les systèmes, mais qui est indéniable : « Les enfants ont en eux des germes, des commencements d’idées. » Voyez avec quelle facilité ils distinguent le bien du mal (…).
Il ne faut donc pas craindre de leur parler avec sérieux, simplicité et grandeur.
Je dis donc aux maîtres, pour me résumer : lorsque d’une part vous aurez appris aux enfants à lire à fond, et lorsque d’autre part, en quelques causeries familières et graves, vous leur aurez parlé des grandes choses qui intéressent la pensée et la conscience humaine, vous aurez fait sans peine en quelques années œuvre complète d’éducateurs. Dans chaque intelligence il y aura un sommet, et, ce jour-là, bien des choses changeront.»
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Et regardons enfin la très sensible chorégraphie : « Je ressens quelque chose » , en hommage à Samuel Paty, créée pour les élèves de 6e du collège de Biguglia (Académie de Corse), par Virginie Letellier et Françoise Simeoni, leurs deux professeurs d’Éducation physique et sportive, sur une musique d’Armand Amar.
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1 Cf. par L’ingénue 17 mai 2018 La résistible extension de l’anarcho-djihadisme
2 Cérémonie d’hommage national à Samuel Paty à La Sorbonne 21 octobre 2020
3 Actu17.fr 20 janvier 2020 La DGSI a répertorié 150 quartiers sous l’emprise de l’islam radical
5 Cf. par L’ingénue 7 mai 2017 Macron 1er était en campagne devant la pyramide
6 Jean Jaurès Aux Instituteurs et Institutrices, le 15 janvier 1888 dans La Dépêche
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