L’égalité citoyenne sans le voile et sans la burqa

20 octobre 2009  /   26-27 septembre 2019     Apostille
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 note revue le 26 septembre 2019, puisque dix ans après, la monstrueuse aberration de l’obligation du voile et de la burqa pour les jeunes filles et les femmes, est omniprésente en France.
⇒ Et cette note est mise en avant ce  5 décembre 2022 tant la laïcité est piétinée, violentée partout en France, dans l’indifférence totale d’un  » Président Macron », qui  a volontairement  ignoré le magnifique mot  » laïcité » dans son programme électoral du 24 avril 2022, comme il l’a exigé pour ses député(e)s [12-19 juin 2022], au risque de nous plonger toujours plus
dans le fanatisme islamique, lequel a déjà fait  tant de victimes innocentes depuis 2012.

 
⇒ ⇒  Apostille

En hommage aux douze institutrices massacrées en Algérie, le 27 septembre 1997, dans le district de Sidi bel Abbès, par le Groupe islamique armé (GIA).
Extraits du livre de Jeannette Bougrab : Lettre aux femmes voilées et à ceux qui les soutiennent
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♠ ♠ ♠  ♠ Et en France, en 2019, nous avons -comme en Algérie- avec Yassine Belattar, un champion de  » l’hijabisation  des femmes « .
Cf. par L’ingénue :  Humour noir … et sombre perspective pour les musulmanes  12.03.2019 … et   :
Série noire pour le harceleur Belattar 9.04.2019 ♠  ♠ ♠ ♠  

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« La Femme grillagée »
Quand la femme est grillagée / Toutes les femmes sont outragées / Les hommes les ont rejetées / Dans l’obscurité. 
Pierre Perret
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Lorsqu’en 2007, le journal Charlie Hebdo gagna le procès (1) que lui avaient intenté  le Conseil français du culte musulman (CFCM), l’Union des organisations islamiques de France (UOIF) et la  Grande Mosquée de Paris, ce fut au nom du droit inviolable de la liberté d’expression ; mais au soir du procès, comme un déni toujours renouvelé de la loi républicaine, des menaces de mort furent adressées à Philippe Val, alors directeur du journal.

On se souviendra aussi qu’en 2004 avait été rappelé haut et fort,  le principe inviolable de la  laïcité à l’école, au collège, au lycée et à l’université. L’interdiction du port d’insignes et de vêtements religieux garantissait, avec la suppression de tout affichage et  prosélytisme religieux,  le retour à l’espace libre et citoyen dans l’enseignement public.

Mais nous aurions eu tort de penser que cela suffirait pour redonner à l’espace public cet égal respect citoyen des croyances et des non croyances. De subversions en attentats terroristes,  des  chefs religieux musulmans fondamentalistes salafistes ou talibans (2)  se réclamant d’un islam intégriste  haineux et dominateur,  édictaient alors  pour les femmes  une charia ( loi divine (? ) qui portait atteinte à leur droit à l’ intégrité physique et morale, à leur identité d’être humain, à leur droit à l’éducation et à tant d’autres droits. Pour ces criminels, les femmes devaient devenir d’ invisibles esclaves encore plus ignorantes qu’eux,  sous la menace constante des coups, des jets de vitriol et de la lapidation. Et le voile sous toutes ses formes que les intégristes islamistes voulaient imposer aux jeunes adolescentes françaises, n’était pour eux que le précurseur de la burqa, le précurseur de la disparition des femmes du monde des vivants. Pour les intégristes islamistes,  la burqa,  la soumission ou la mort sont les seuls droits des femmes.

        

Mais innombrables par le monde sont celles qui résistent  bravement  à cette fureur  intégriste. Parmi les plus admirables, j’aimerais citer les jeunes filles et les femmes afghanes :  Shamsia,  Habiba Sarabi, gouverneur(e) de la province de Bamiyan depuis 2005, Sabrina Saqeb  députée, Zarmina, Zakia, Jamila (3)  …

Elles se souviennent toutes de la férocité du régime islamiste des talibans (1990-2001). Zarmina raconte :  » J’étais au marché. J’ai soulevé quelques instants ma burqa pour mieux regarder les aliments sur les étals. Des vigiles talibans m’ont aussitôt frappée.  »   Mais la situation actuelle est toujours insupportable,  puisque  » à  15 km de Kaboul, si une femme n’est pas vêtue de la burqa, elle est menacée par les intégristes.  »  dit Jamila  ; et puis un peu partout, comme dans la province de Kandahar, les écoles de filles sont  incendiées par les talibans.

Alors que la France intervient en Afghanistan pour (re)construire un état démocratique,  hors de l’emprise des talibans, il serait inconcevable que l’actuelle commission  parlementaire (présidée par André Gérin) sur le port du voile et de la burqa dans l’espace public puisse concevoir, un seul instant, en France, des jeunes filles et des femmes privées de leur identité,  soumises  à l’ignoble charia des mêmes intégristes
D’ailleurs les députés devraient savoir, les théologiens le leur ont confirmé, le port du voile et de la burqa n’est pas une prescription du coran.

Mais quand Tarek Oubrou (4) dit que voile et burqa ne sont ni des  objets cultuels  ni des  symboles de sacré :
– « C’est aberrant de réduire une femme musulmane à son foulard ; c’est de l’ignorance. Le foulard n’est pas un objet cultuel, encore moins un symbole de sacré. »

C’est pour ajouter dans son  double langage du prêcheur intégriste :
–  » Le problème, c’est que lorsqu’elles enlèvent le foulard, elles arrêtent aussi de prier. »
Il est comme tous les imams, à des années-lumière de notre conception républicaine de  la laïcité respectueuse de l’autre  -sans discrimination ni prosélytisme religieux- dans l’espace public. 

Alors que le statut des femmes dans les religions monothéistes est toujours inférieur à celui des hommes, et alors que c’est la gloire de la réflexion de notre humanité libérée du joug des cultes, que d’avoir commencé à les rétablir dans tous leurs droits, des responsables musulmans ripostent en nous accusant d’ islamophobie (!).
Le mot  » islamophobie  » littéralement  » peur de l’islam  » me semble d’ailleurs  inapproprié ;
je lui préfèrerais l’expression  » anti-islamo-intégrisme  » qui est refus du terrorisme politique islamiste, refus de ses charias et de sa barbarie.

Alors, plutôt que de jouer aux victimes, ces responsables musulmans seraient mieux inspirés en communiquant à leurs fidèles un respect inconditionnel de la laïcité et de l’égalité citoyenne femmes/hommes – sans le voile et sans la burqa – comme preuve décisive de leur bonne foi, et de leur islam  » apaisé « , sans lien d’aucune sorte avec les intégristes.   C’est à ce prix-là que la confiance sera retrouvée.

C’est au pouvoir politique que revient la volonté  de faire respecter notre Constitution laïque aux fanatiques religieux terroristes.
Il lui faut défendre nos lois républicaines, défendre notre démocratie, avant que ne se referme le piège d’un communautarisme religieux identitaire, qui remplace la citoyenneté, par la haine du pays d’accueil, sous la forme d’une guérilla islamiste urbaine permanente.

⇒ La charia islamiste sur la burqa n’a aucune légalité dans notre pays républicain.
De même que nous ne transigerons pas sur le droit de la liberté d’expression, il nous faudra être inflexibles sur le droit inviolable de l’identité de l’être humain et de l’égalité citoyenne sans le voile (pour cacher la chevelure) et sans  la burqa (pour cacher la chevelure, le visage, le corps de la femme).
Une telle aberration pour punir toutes les femmes est une monstruosité de la part de ceux qui l’ordonnent, et toujours sous la menace.
Il y va de la Liberté et de l’Égalité des femmes, de la paix sociale, de la Fraternité républicaine, tout simplement.

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[Cette note est parue -moins détaillée – dans les Chroniques d’abonnés (Lemonde.fr  22.10.09 )]
Cf. par L’ingénue 12 novembre 2019 Le magnifique courage de l’Appel des 100 musulman(e)s de France 
par L’ingénue  23 avril 2022     Le projet d’un « Président Macron » : bien achever la  » candidate Marine le Pen

 

1 par L’ingénue   23 septembre 2008  Charlie Hebdo, « C’est dur d’être aimé par des cons » 

2 par L’ingénue  25 août 2009             Les talibans et l’enfance sacrifiée 

3  par L’ingénue 27 décembre 2009   Shamsia  L’une à Kandahar, l’autre à Evry 

Habiba Sarabi La gouverneur(e) afghane  article de Frédéric Bobin
(Le Monde 25.08.09)
Sabrina Saqeb, députée à la pointe du combat des femmes en Afghanistan article de F. Bobin (Le Monde 13/14.09.09) /
Zakia, Jamila et les autres : des Afghanes entre désillusion et espoir
article de F. Bobin (Le Monde 19.08.09)

4  propos de Tarek Oubrou, imam de Bordeaux recueillis par Stéphanie Le Bars  (Le Monde 16.10.09)

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Apostille
27 septembre 2019

Extraits du livre Lettre aux femmes voilées et à ceux qui les soutiennent  Jeannette Bougrab pp.81-85  Éditions du cerf, 2019. 

  « Ce samedi 27 septembre 1997  à l’entour de 15h 30, il pleut sur le village d’Aïn Adden, près de Sfisef, dans le district de Sidi Bel Abbès. La classe vient de se finir et les onze institutrices que compte l’établissement scolaire franchissent en courant l’enceinte pour attraper le bus.
Là, en pleine rue elles sont arrêtées net par des membres d’un commando du GIA qui les frappent et les attachent avant de les égorger devant leurs élèves qui, hallucinés par l’horreur, pleurent et hurlent.
Un de leurs collègues, alerté par les cris des enfants, se précipite vers la scène du carnage mais tombe à son tour, abattu de plusieurs coups de feu par les djihadistes. Les corps des douze victimes baignent dans la mare vermeille qui recouvre l’asphalte.
Si pour Hamlet « le sang attire le sang », la tragédie algérienne aura été plus que shakespearienne au vu des scènes toujours plus morbides accumulées au fil des mois et des années de cette guerre de la terreur. Des milliers de femmes auront été assassinées.
Autant d’autres auront été violées collectivement, détenues comme esclaves sexuelles dans des casemates fichées au coin de maquis perdus et certains seront devenues mères d’enfants nés de leurs bourreaux. Les survivantes doivent vivre avec leurs blessures inguérissables, même si les pires méfaits dont elles ont eu à souffrir ne sont plus, collectivement, qu’un cauchemar passé.

L’islamisation des institutions, elle, a perduré. Depuis peu, une femme semble vouloir changer la donne. la courageuse ministre de l’Éducation, Nouria Benghabrit, une anthropologue francophone diplômée de l’université Paris V et membre du Conseil économique et social des Nations unies, a adopté en 2017, un arrêté pour interdire le voile intégral et du niqab à l’école, non seulement pour les élèves mais également pour tous les fonctionnaires qui en relèvent, les enseignants comme les agents.
Pour faire avaler la pilule aux fondamentalistes, la ministre a invoqué la lutte contre la tricherie aux examens.(…) Cela n’a pas empêché les islamo- conservateurs de dénoncer une « atteinte à la liberté des filles voilées » dans les écoles. Ils ne cessent de s’en prendre à cette scientifique de renom qui mène avec une main de fer une révolution tranquille. (…)

Le combat de Nouria Benghabrit reste cependant titanesque. Depuis 2005, l’enseignement de la charia est devenu obligatoire dans les filières du secondaire. Polygamie, répudiation, punissions corporelles, et hijab bien sûr, sont désormais au programme des cours d’instruction civique ! Le code de la famille algérien a d’ailleurs été réformé pour être conforme à la loi coranique.
(…)

« Dans cette épreuve de force, afin de miner le camp démocratique, il est vital pour les islamistes de rendre plus invisible le sexe féminin. (…)
Parmi ces campagnes, il y a celle lancée en 2014, par l’association Daawa qui vise la « hijabisation » des moins de quinze ans. Elle a été financée par des dizaines d’hommes d’affaires (…)

Commentant au XIIème siècle La République de Platon, le philosophe arabo-musulman Averroès dressait, lui, un plaidoyer en faveur de l’émancipation des femmes et de leur pleine participation à la vie de la cité.
Comment, en dix siècles (…) les esprits ont-ils pu être corrompus au point de systématiser un monde où les femmes sont réduites à une forme d’esclavage ?  Comment arrêter cette radicalisation, sinon radicalement ?(…)»

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Petite mythologie de l’ère Jupiter-Macron

12  – 20 août – 6 septembre  2019

Note relue et mise en avant le 14 mars 2021 et le 31 mars 2022 :
♦Il suffira de mettre Mercure – Dupond-Moretti, – Ministre de la Justice « dieu des voleurs et chef des larrons »  à la place de Minerve-Belloubetavant de retrouver  Vénus-Schiappa,  laquelle, ayant échoué sur l’égalité  hommes – femmes, [car nous avons vu que les hommes musulmans ne portaient toujours pas de voile], a été désignée par Jupiter-Macron, muse de «la Citoyenneté » auprès du Faune-Darmanin, désormais Ministre de l’Intérieur.

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Le dieu Jupiter-Macron a dans le gynécée de l’Olympe élyséen , trois déesses dont le rayonnement éblouit la France entière, bien au-delà du périmètre de sécurité des gendarmes, entre le palais de l’Élysée et le pavillon de la Lanterne.
Depuis qu’il nous les a présentées, les gazettes, les radios et les télévisions en font quotidiennement des portraits flatteurs et des éloges vibrants.

 

  ♦ Sa première déesse, Junon-Brigitte à l’éternelle jeunesse, riche héritière de la célèbre dynastie des Macarons, est aussi sa  première dame.
Elle compte parmi ses excellents amis et soutiens en espèces sonnantes et trébuchantes, des banquiers comme le baron de Rothschild et son épouse Olimpia (sic), ou autres milliardaires fort prisés, comme Arnault-de Vuitton-Moët- et- Chandon etc.
Comme son divin époux, elle aime les jeunes et beaux poètes (1), tels ceux qu’ils avaient invités dans leur Olympe élyséen, pour leur plus grand plaisir, lors de leur première Fête musicale.

 

  ♦♦   La deuxième déesse, Minerve-Belloubet, déesse de la Justice enchante le palais quand elle apparaît coiffée de son hijab masquant ses cheveux et son cou (sic), et portant sur le bras, l’abaya noire, offrande à Jupiter du prince héritier d’Arabie saoudite, Ben Salman (2).

Le satyre Belattar (3)  a reçu de Jupiter l’ordre d’accompagner Minerve-Belloubet, avec le bandeau de la Justice sur les yeux,  à chaque nouvelle épreuve sportive de l’Olympe.

Elle montre ainsi « l’exemple aux simples mortelles », suivant le précepte du faune Aurélien Taché, amoureux fou des nymphes « emburqinées » de la Sorbonne et des piscines olympiques municipales du Mont- de l’Olympe-Saint-Denis.

Ce faune, écho de Jupiter, Junon, Minerve et Vénus, les ravit quand il chante avec sa lyre :
                          « le hijab démocratise la pratique sportive ».

C’est lui qui prédit  que les prochaines championnes des Jeux olympiques de Paris, en natation, en course et en saut à la perche, seront des musulmanes en burqas et en burqinis de compétition.


           ♠ 26 août 2019   / La loi de création bioéthique d’orphelins et d’orphelines de père de Jupiter-Macron, réclamée par tous « les  marcheurs » (sic)  sera présentée le 24 septembre 2019, devant l’Assemblée nationale. 

♦ ♦ Car Minerve-Belloubet est aussi, avec son Jupiter-père-Macron, la déesse de la création bioéthique d’un orphelin de père par insémination artificielle, [bien connue des éleveurs d’animaux ]pour un couple de femmes, à l’état-civil : mère (1 )  et mère  (2) père inconnu.
C’est le mépris et le déni de la présence de son père pour l’enfant.

La mention : « de père inconnu » ne résonnera que plus tard dans l’oreille de l’enfant  …

Quant à la femme seule, pour la création bioéthique d’un orphelin de père, il suffira pour l’état-civil, de l’inscription : mère –  père inconnu
C’est le mépris et le déni de la présence de son père pour l’enfant.

La mention  » de père inconnu »  résonnera aussi plus tard, dans l’oreille de l’enfant … 

Vers 2020-21 (?). . .  viendra, à n’en pas douter  à l’ordre du jour,  la création bioéthique d’un orphelin de mère… pour un couple d’hommes, à l’état-civil : père (1 ) et père (2) mère inconnue 
Ce sera la grande victoire politique – à défaut d’être humaniste- des homosexuels en marche pour la gestation par mère porteuse pendant 9 mois.
C’est le mépris et le déni de la présence de sa mère pour l’enfant.

La mention : « de mère inconnue » ne résonnera que plus tard dans l’oreille de l’enfant   …

Ainsi, « le Parlement des marcheurs » aura décrété, avec sa majorité -de-la-république-bioéthique-en-marche  que :
   – Désormais, grâce à  Jupiter-Macron, l’enfant n’a plus besoin ni d’un  vrai père, ni d’une vraie mère, puisque le microscope du Comité national de bioéthique « a aperçu » pour lui, son père dans un spermatozoïde, ou sa mère dans un ovocyte.
  C’est le marquage d’une politique gouvernementale-en-marche vers une violation inouïe des droits de l’enfant, une privation  odieuse de son origine.

   Et la troisième déesse, mais non la moindre :

  ♦♦ ♦   Vénus-Schiappa, la déesse de l’Égalité entre les femmes et les hommes en France, toujours vêtue de tenues légères ou transparentes afin de prouver au monde …  combien elle est égale …  à elle-même.

Elle a un tel sens de l’Égalité  qu’elle en  perçoit l’absence, dans la présence « des hôtesses de podium » qui entourent et embrassent le coureur, vainqueur de l’étape dans le Tour de France ; alors qu’il n’y a pas « d’hôtes de podium  » pour une femme !
À noter cependant côté embrassade, que ces charmantes jeunes femmes avec bouquet ou peluche, en font beaucoup moins que Jupiter-Macron  tapotant, caressant, et bécotant sans se lasser.

Un autre dossier de Vénus-Schiappa, sans suite, celui-là, sera celui de l’excision rituelle des petites filles, mais la déesse de l’Égalité  a oublié que la circoncision rituelle des garçons, selon les religions juive et islamique (4) est tout aussi barbare. 
C’est encore une fois, pour notre XXIème siècle, en France, le marquage d’une politique gouvernementale-en-marche – comme pour le voile islamique, le hijab et la burqa pour les femmes, comme pour la PMA et la  GPA pour la procréation-, vers  la légalisation des supplices  archaïques, que les  monothéismes juif et islamique font subir depuis plus d’un millénaire, en hommage à leurs dieux et/ou aux coutumes  tribales, aux bébés, aux jeunes enfants et aux jeunes filles.
C’est encore une fois, le marquage de la nullité -politique- gouvernementale-en-marche, face aux violations des droits  fondamentaux de l’enfant, droit à l’intégrité de son corps, comme  le droit d’avoir ses vrais parents.

C’est ainsi que la déesse de l’Égalité reste totalement aveugle et insensible à l’insupportable inégalité femmes-hommes, que la très « virile et guerrière » religion islamique impose aux femmes qui ne peuvent se cacher …  derrière une barbe.

 En conclusion, jour après jour, dans l’Olympe de Jupiter-Macron, les dociles Vénus-Schiappa et Minerve-Belloubet officialisent à la fois, l’inégalité hommes-femmes et l’inégalité entre les femmes :
 La loi de la charia islamique du VII ème siècle pour les musulmanes  (5) et la liberté pour les citoyennes françaises laïques du XXI ème siècle.

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1 Cf. par L’ingénue : (3) La Résistible extension de la ligue des minorités sexuelles : 26 juin 2018- Paris

Cf. par L’ingénue : La chape de silence sur le crime quotidien dans l’espace public – 16 septembre 2018

Cf. par L’ingénue :  12 mars 2019  Humour noir … et sombre perspective pour les musulmanes


Cf. Wikipédia      Circoncision  
  L’ ingénue  :  Les cris du bébé m’ont glacé le sang.

 

5    Selon la sourate 96, al-Alaq (« l’adhérence »).   En 610, Mahomet avait  quarante ans, quand il vit apparaître, depuis la grotte de Hirâa, dans l’immensité du ciel,  Jibrîl (Gabriel), qui lui révéla les premiers versets du Coran.
 Extrait de  La vie de Mahomet  1ère partie – Charb -Zineb / hors-série Charlie Hebdo/ 2013.

Charb a été tué par les frères Kouachi  lors de l’attentat du 7 janvier 2015  –
Zineb El Razhoui  est depuis 2015 sous la menace de mort des tueurs islamistes.
Elle a été nommée en janvier 2021 pour le Prix Nobel de la Paix qui sera décerné en octobre 2021. 

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Apostille du 21 août 2019

♠   Tuer, poignarder, massacrer tous ceux et toutes celles qui s’expriment librement sur la religion islamique, incendier les églises et les synagogues sont « la Loi islamique du Vivre ensemble » selon les membres du Conseil français du culte musulman (CFCM) et de son président Ahmet Ogras ».

Pour montrer son adhésion radicale à « leur Loi islamique du Vivre- ensemble- en- guerre- de- religion », le dieu Jupiter-Macron les avait reçus chaleureusement avec  sourire et accolade,  le 7 janvier 2019, dans son Olympe élyséen, alors que se déroulaient les cérémonies du souvenir du massacre de Charlie Hebdo. 
Cf. par L’ingénue  9 janvier 2019 : Le président Macron, l’islam radical et la loi de 1905  

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Série noire pour le harceleur Belattar

9 avril 2019

Yassine Belattar avait déjà été pris en flagrant délit d’insultes envers une policière aux Mureaux (Yvelines), le 20 février 2018, et mis en garde à vue, alors qu’il se disait invité –mais sans son carton d’invitation – par le président, lequel un mois plus tard, le nommait conseiller présidentiel des villes.

Le service de presse et de communication de l’Élysée, dirigé alors par Mme Sibeth N’Diaye, fit passer dans les médias, le point de vue d’« un proche du chef de l’État » selon lequel le « frère » du président n’avait pas (encore !) tenu de propos qui tombent sous le coup de la loi » ; et comme les vingt-quatre autres sélectionnés, il était « animé par un engagement, il était reconnu pour [son] expertise (sic) et chargé de nourrir la réflexion (sic) du président de la République sur la politique des villes ( !). » (1)

Cependant, son côté « frère musulman » avec ses excès de violence, avait déjà amené des directeurs de salles de spectacles  à ne plus l’accueillir.

Et c’est aussi logiquement, que le jour de sa mise en examen, jeudi 28 mars 2019, pour menaces de mort et harcèlement moral,   « les organisateurs d’un festival d’humoristes sur le thème du harcèlement (2)   ont annulé sa venue le 30 mars 2019, alors que l’animateur Yassine Belattar de Radio Nova était mis en retrait de la station dès jeudi soir« .

 

le vrai M. Belattar est enfin démasqué.


Côté comique grossier
, il a profité de sa popularité ( ?) pour jouer au père-la-pudeur et au frère-la-décence, en appelant au rassemblement du 13 avril 2019 ; il est de ceux qui exigent des femmes qu’elles se couvrent la tête avec le hijab islamique, tout en harcelant avec des obscénités celles de son entourage professionnel.

Côté conseiller présidentiel des villes, on retrouve l’archétype de l’homme musulman auquel la charia permettrait  d’infliger les pires excès, les pires violences, les pires humiliations aux mécréants.

Ainsi, quand il s’agit de considérer, dans chaque ville française, les situations de violence extrême de nuit comme de jour, voulues par des  harceleurs haineux , plus ou moins jeunes, et qui refusent tous d’obéir aux lois de notre République laïque, démultipliant les attaques de commissariats, les destructions et les incendies des biens publics, des gymnases, des écoles, comme des commerces, les agressions mortelles de policiers, de gendarmes et de pompiers …

… On   s’interroge  sur  la vraie valeur de ce « monsieur banlieues » qui aurait mérité les faveurs du président… pour ramener la sécurité et la paix civile dans nos quartiers…

Mais, par contre, l’on sait désormais que le harceleur moral, Yassine Belattar,  choisi  par un président Macron, allié du Conseil français du culte musulman contre la loi de 1905, avait leur double appui pour appeler au grand rassemblement de harcèlement islamiste radical  des femmes, place de la République, le 13 avril 2019.
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L’humoriste Yassine Belattar intègre le «Conseil des villes» de Macron 
Arthur Berdah, Le Figaro.fr, 14 mars 2018.
2 Le Parisien avec AFP, 29 mars 2019

Autre source intéressante déjà citée dans la précédente note :  Marianne.net  : Yassine Belattar au Conseil présidentiel des villes : qui Macron choisit-il d’écouter ? Céline Pina,16 mars 2018.

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Humour noir … et sombre perspective pour les musulmanes

12 – 16 mars –  Apostille  – 18 mars 2019
Note mise en avant le 14 avril 2022
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Mardi 12 avril 2022
, M. Macron était en campagne électorale, à Strasbourg, pour le second tour de son élection présidentielle du 24 avril 2022, déjà  officialisée et acclamée dans tous les médias de son pouvoir.
Dans la cohue de son bain de foule -sans masque-,  il y avait  une jeune femme avec son voile islamique, qu’il a vite repérée (
était-ce préparé ?). À ses questions sur l’égalité hommes-femmes et sur le féminisme,  elle a répondu que son voile était le signe de l’égalité hommes-femmes (?) et la victoire du féminisme (??).
Il était ravi de la féliciter, et en même temps, ravi de féliciter tous ses amis salafistes de Strasbourg ! M. Macron – le- mondialiste  n‘a toujours pas compris que la laïcité était l’un des piliers de notre République française :
«La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale»
Cf. par L’ingénue  12 novembre 2019 :
Le magnifique courage de l’Appel des 100 musulman(e)s de France  
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Humour noir avec M. Belattar …

Pour Yassine Belattar, la dignité des femmes est dans le droit au  « hijab ».
Le retrait de la vente du « hijab » de running par Décathlon, a pris la barbe de M. Belattar « à rebrousse-poil.

Désormais, il s’affiche, non seulement comme le frère musulman (sic) du président Macron,  « grand défenseur » de la décence des femmes, « grand gardien » de leur chasteté, au titre de « grand eunuque » de l’islam radical wahhabite en France, même si,  dans ses « spectacles », le comique aime bien répéter « je m’en bats les c……. » ! …
… Il faut ajouter que M. Belattar,
[coreligionnaire de M. Benalla – bien connu des sénateurs et de la directrice de la prison de la Santé] a aussi été choisi par le président Macron comme « conseiller »(1).

C’est ainsi que M. Belattar, furieux, courroucé et rebroussé du poil, a lancé un appel au rassemblement pour la défense des victimes de l’enseigne ; et il compte bien leur faire battre le pavé de la place de la République, le 13 avril 2019, avec leur « hijab » no running -de-tous- les -jours,  pour qu’elles soient décentes.

Celles qui viendront avec le  drapeau vert au sabre de l’Arabie saoudite et le drapeau noir au sabre du djihad islamique, avec en plus le niqab et la burqa ou l’abaya, seront acclamées pour leur soumission à la « charia ».

Sans oublier que les gros bras des barbus  discrimineront les femmes dignes avec « hijab »,  des femmes indignes avec capuche, ces dernières seront huées pour non-respect de la charia.

Chacun sait que le capuchon avec la cagoule sont les couvre-chefs des hommes anarcho-djihadistes et autres islamo-gauchistes, qui feront l’animation avec leurs feux de voitures et de poubelles et leurs hurlements antisémites.

Puis, les gros bras des barbus  voudront remplacer le bonnet phrygien, symbole de la Liberté de Marianne, notre symbole féminin de la République française, par un « hijab » islamique, qui est leur symbole de la soumission des femmes …

Qui sait, si MM. Macron et Castaner n’auront pas dit au préfet de police,  de leur prêter une échelle ce jour-là ?

Aux côtés de M. Belattar, l’autre alliée du sérail est Mme la ministre de la Justice-  en-marcheavec le Conseil français du culte musulman (CFCM) de M. Ahmet Ogras et le Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF) de Mme Lila Charef, proche des frères musulmans-   qui « regrette l’hystérisation du débat ».

Là où « le célèbre humoriste (sic) » avait senti « la pression des populistes sur Décathlon (2)» ;   Mme Belloubet,  avec son bandeau (car la justice est aveugle), avait aussi  reconnu les populistes hystériques, avec l’entonnoir qu’ils ont sur la tête.
Et Mme la ministre de la Justice-aveugle-en-marche avait ajouté l’argument ad hoc avec son bandeau :
« Je ne vois pas pourquoi les femmes se contraindraient elles-mêmes à porter ce type de vêtement. (?) »(3)

 

 … Et sombre perspective pour le « toilettage » de la Loi de 1905 sur la laïcité…

À l’évidence, Mme Belloubet n’a  jamais lu la presse, qui suit au XXIème siècle, la longue et douloureuse marche des Saoudiennes, des Iraniennes, des Pakistanaises, des Afghanes… vers leur émancipation, vers leur droit de devenir des vraies citoyennes libres, des citoyennes libérées de l’implacable tutorat masculin, toujours en liaison avec les sordides polices religieuses, Mutawa en Arabie, Gasht e Ershad en Iran …

MONTAGNE PASCAL/SIPA

Elle n’a pas lu sur RFI (4) le témoignage émouvant de Julia (prénom d’emprunt), le 1er février 2019.
« Julia est Saoudienne et elle a obtenu en 2014,  le statut de réfugiée en France (…) ».

« Son histoire est celle d’une jeune femme mariée de force, ce qu’elle n’a jamais accepté. Elle a donc décidé de s’échapper durant son voyage de noces à Paris, il y a cinq ans. La jeune femme et son mari viennent d’atterrir et c’est à l’aéroport, au moment du contrôle des passeports que tout bascule :« Je me suis dit c’est le moment ou jamais, raconte Julia. D’un coup, je me suis tournée vers le policier. Comme je pleurais, il ne comprenait pas ce que je voulais.
J’ai dit : « Aidez-moi, sauvez-moi la vie, je demande l’asile ! Je demande l’asile ! » Il m’a dit de me calmer, il a compris qu’il se passait quelque chose. Il a repoussé mon mari et lui a demandé mon passeport. Il lui a pris mon passeport et a demandé à mon mari de quitter l’aéroport immédiatement. A ce moment-là, j’ai enlevé mon hijab et mon abaya [vêtement noir que portent les femmes dans les pays du Golfe] et j’ai tout jeté à la poubelle. Mon mari m’a vue le faire et il était furieux !
Je pleurais de joie. A ce moment, j’ai réalisé que j’étais vivante, je n’avais pas 27 ans, je venais de naître…
En fait, c’est le vrai jour de ma naissance…»
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En insistant lourdement, sur le retrait de la vente du « hijab de running», en accusant des « populistes fous (?) »  M. Belattar et Mme Belloubet, augmentent toujours plus la pression des intégristes sur les musulmanes en France.
Et c’est ce prosélytisme exacerbé , délirant, incessant, qui est l’insupportable pression pour renforcer toujours plus la volonté de domination de la charia de l’islam radical sur nos lois citoyennes laïques.

⇒ M. Macron le lâche, M. Belattar le comique, frère du précédent, Mme la ministre au bandeau, veulent mettre les femmes musulmanes de France, sous hijab, à l’heure de l’horreur salafiste.

 


Ainsi  Israa al-Ghomgham,  la jeune femme saoudienne, militante chiite des Droits de l’homme, emprisonnée depuis 2015,  a été condamnée à mort en 2018.
Pour l’AFP, il n’y a eu aucune annonce officielle de sa mort par la justice wahhabite du prince héritier Mohamed ben Salman, alors que Fatma Tnani de L’Économiste maghrébin cite « des sources non officielles, déclarant qu’elle avait été décapitée, le dimanche 19 août 2018 », et cite ses dernières paroles : « On me tue alors que je suis innocente – Je demanderai justice à Dieu. »
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 … Apostille …

… La loi de 1905 est la seule qui puisse s’opposer à ce prosélytisme islamique permanent…
Ce prosélytisme, qui s’est encore accru depuis le début du XXIème siècle, depuis qu’Al-Qaïda et l’État islamique ont déclaré la guerre à tous les peuples  de la terre, y compris aux peuples musulmans.
Ce sont ces intégristes qui, en appelant 
(comme le frère Belattar)  les femmes à porter voiles et  burqas, se servent des femmes, comme armes de propagande  islamique.
Ces femmes voilées, armes du prosélytisme belliqueux financé par  des théocraties au pouvoir absolu   …   ces femmes sont maintenues à des années-lumière de nos avancées démocratiques. 

La  vraie dignité des femmes musulmanes est dans leur droit à la liberté de citoyenne, non dans « le droit divin » des hommes, dont M. Belattar est le complice, et qui les prive de cette liberté.

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« Yassine Belattar au Conseil présidentiel des villes »
Céline Pina, marianne.net, 16 mars 2018.
2   oumma.com      27 février 2019

3   atlasinfo.fr    27 février – 3 mars 2019.
4 « Saoudienne réfugiée en France : « Je me suis dit : c’est le moment ou jamais » RFI, N. Falez, A.M. Bissada, 1er février 2019.

Autres sources :
Arabie saoudite: des militants des droits des femmes vont être jugés
RFI, 2 mars 2019
Droit de conduire des femmes en Arabie saoudite, la militante Loujain al Hathloul persécutée  Amnesty.fr, 30 mai 2018
Arabie Saoudite: Les femmes fuient le pays et la tutelle des hommes
Lucie Bras, 20 minutes.fr  23 mars 2017
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Humour noir et point de vue sur l’imbécillité

7 février 2019 – 21 février 2019

 

L’équipe d’information matinale de Radio Classique avait lu l’article sur Les Échos du 6.02.2019 (1) et le répéta mot pour mot sur la chaîne qui venait de recevoir le bras droit du président de la Société générale ; lequel avait minimisé tout naturellement l’absence d’imposition sur les bénéfices du capital.

Très en verve, le gentil présentateur nous apprit que « l’ex – bras droit de l’islamophobe hollandais Geert Wilders » s’était converti à l’islam, et reprit la formule de son confrère des Échos :

« Il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis » !

 

◊ C’était d’une grande finesse, tant il me semble bien vrai
que ni les 45 000 islamistes radicalisés antisémites fichés S,
ni la troupe de djihadistes antisémites qui débarque en France,
ni MM. Castaner et Macron et « leur pseudo-majorité de la République – soumise à l’islam- antisémite-en-marche » avec leur déni de la vraie laïcité fraternelle, leur déni de la loi de 1905, pour satisfaire le CFCM de M. Ogras,
ne sont des types prêts à changer d’avis.

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 » Ca (sic ! – Les Échos ont perdu la cédille) se passe en Europe… » Les Echos.fr – Didier Burg – 6.02.2019

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Cf. par L’ingénue  l’autre clin d’œil du jour : Humour et foi d’animal

et  l’humour noir du 22 février 2019 :  et conseil de la ministre de la Santé en 2019