Série noire pour le harceleur Belattar

9 avril 2019

Yassine Belattar avait déjà été pris en flagrant délit d’insultes envers une policière aux Mureaux (Yvelines), le 20 février 2018, et mis en garde à vue, alors qu’il se disait invité –mais sans son carton d’invitation – par le président, lequel un mois plus tard, le nommait conseiller présidentiel des villes.

Le service de presse et de communication de l’Élysée, dirigé alors par Mme Sibeth N’Diaye, fit passer dans les médias, le point de vue d’« un proche du chef de l’État » selon lequel le « frère » du président n’avait pas (encore !) tenu de propos qui tombent sous le coup de la loi » ; et comme les vingt-quatre autres sélectionnés, il était « animé par un engagement, il était reconnu pour [son] expertise (sic) et chargé de nourrir la réflexion (sic) du président de la République sur la politique des villes ( !). » (1)

Cependant, son côté « frère musulman » avec ses excès de violence, avait déjà amené des directeurs de salles de spectacles  à ne plus l’accueillir.

Et c’est aussi logiquement, que le jour de sa mise en examen, jeudi 28 mars 2019, pour menaces de mort et harcèlement moral,   « les organisateurs d’un festival d’humoristes sur le thème du harcèlement (2)   ont annulé sa venue le 30 mars 2019, alors que l’animateur Yassine Belattar de Radio Nova était mis en retrait de la station dès jeudi soir« .

 

le vrai M. Belattar est enfin démasqué.


Côté comique grossier
, il a profité de sa popularité ( ?) pour jouer au père-la-pudeur et au frère-la-décence, en appelant au rassemblement du 13 avril 2019 ; il est de ceux qui exigent des femmes qu’elles se couvrent la tête avec le hijab islamique, tout en harcelant avec des obscénités celles de son entourage professionnel.

Côté conseiller présidentiel des villes, on retrouve l’archétype de l’homme musulman auquel la charia permettrait  d’infliger les pires excès, les pires violences, les pires humiliations aux mécréants.

Ainsi, quand il s’agit de considérer, dans chaque ville française, les situations de violence extrême de nuit comme de jour, voulues par des  harceleurs haineux , plus ou moins jeunes, et qui refusent tous d’obéir aux lois de notre République laïque, démultipliant les attaques de commissariats, les destructions et les incendies des biens publics, des gymnases, des écoles, comme des commerces, les agressions mortelles de policiers, de gendarmes et de pompiers …

… On   s’interroge  sur  la vraie valeur de ce « monsieur banlieues » qui aurait mérité les faveurs du président… pour ramener la sécurité et la paix civile dans nos quartiers…

Mais, par contre, l’on sait désormais que le harceleur moral, Yassine Belattar,  choisi  par un président Macron, allié du Conseil français du culte musulman contre la loi de 1905, avait leur double appui pour appeler au grand rassemblement de harcèlement islamiste radical  des femmes, place de la République, le 13 avril 2019.
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L’humoriste Yassine Belattar intègre le «Conseil des villes» de Macron 
Arthur Berdah, Le Figaro.fr, 14 mars 2018.
2 Le Parisien avec AFP, 29 mars 2019

Autre source intéressante déjà citée dans la précédente note :  Marianne.net  : Yassine Belattar au Conseil présidentiel des villes : qui Macron choisit-il d’écouter ? Céline Pina,16 mars 2018.

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