Petit concours anti-bobu

 

                 Dans sa Chronique * intitulée Web- concours, Robert Solé  présente  le concours ouvert aux jeunes par  » le secrétariat d’Etat chargé de la coopération et de la francophonie (…)  pour trouver des substituts français à cinq anglicismes : buzz, chat, newsletter, talk et tuning (…)  par voie électronique à franco.mot@diplomatie.gouv.fr jusqu’au 7 février 2010.  »   

Et il poursuit :  » la jeunesse de France saura-t-elle relever ce challenge** ? …  qui permettrait de  » booster le vocabulaire et d‘upgrader la langue de Molière.  » 
Ce sympathique chroniqueur serait-il un brin bobu ou fait-il semblant   ?

Molière 1622-1673 Collection Comédie-Française

 Comme  il me semble qu’il suffirait à la jeunesse et aux bobus de parler aussi correctement la langue de Shakespeare que la langue de Molière, au lieu de bredouiller du français « à l’anglaise », j’ai plaisanté dans mon commentaire :

 Riez, cher Robert Solé ! Dans la bouillie médiatique des mots empruntés, on ne trouve que de la pensée molle, sans saveur ou à goût unique. Pourquoi nous obligerait-on à mâcher un tel brouet ? La langue française est un régal ! Vive la gourmandise, le péché mignon et le bon mot sur notre langue !

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*Le Monde 4.02.2010
** challenge défi …  pour booster enrichir ( ou encore  développer- affiner – nuancer   etc.)  et   upgrader embellir (ou encore réhausser –  exalter-  sublimer etc.) !

Mécontent Pendant ce temps-là, l’intelligentsia  de la presse ,  le directeur et  le comité de rédaction du journal Le Monde,     qui se soucient du concours comme d’une guigne,  nous ab(m)usent en poussant  leur cri  bobu sur la toile  :  buzzer !  Ils osent même nous proposer un debrief ! 
Ah ! le meilleur des mondes où il y a  ceux qui chattent et ceux qui buzzent, ceux qui buzzent en chattant et ceux qui chattent en buzzant !…  et  les abonnés, ces petits veinards, qui   reprennent du debrief   » pour ne rien manquer de l’actualité « .  

… quant à ceux qui écrivent la page de publicité sur Le Monde TELEVISIONS ( sans accent aigu sur les E)  pour la parution d’une série américaine, avec les louanges de Télérama et Le Monde,  et qui en oublient que le mot  événement – si cette série en est un – a deux accents aigus… / malgré la « pseudo réforme amphigourique» voulue  par M.  Rocard en 1990.

Et puis il y a aussi Arte.tv, qui se pique d’être l’intelligentsia télévisuelle et qui nous ordonne  : Chattez en direct !  en oubliant que Dialoguez en direct  a deux lettres de plus, mais deux lettres de noblesse  …
… sans  oublier la prestigieuse radio France Culture qui nous invite  à podcaster  ses émissions – télécharger n’est pas dans son vocabulaire, et confond encore live avec direct ou sur le vif !
 

  
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NB
Puisque nous fêtons le 40ème anniversaire de l‘Organisation internationale de la francophonie, saluons le courage et l’enthousiasme de son secrétaire général M. Abdou Diouf, ancien Président  du Sénégal, ayant succédé à M. Léopold Sédar Senghor. Invité dimanche 21 mars 2010, de l’émission  » Internationales  » TV5 Monde-RFI-Le Monde, il a appelé les francophones à « réagir » contre l’hégémonie de l’anglais et à défendre le rôle politique qu’entend jouer l’OIF. Il a affirmé :  » C’est la faute de l’intelligentsia (…) On a l’impression que ce combat n’est pas le combat des Français, que les Français ne sont pas francophones.  »

Abdou Diouf
Vous avez mille fois raison ;  merci à vous Cher Abdou Diouf, de nous redire cette vérité que toutes et tous, des politiques  aux journalistes des médias, en passant par les enseignants et la jeunesse  des écoles, des collèges, des lycées et des universités,  nous devrions pouvoir entendre et comprendre .

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Voir Les » bobos » et les « bobus »  /  Ou comment être bobu(e) ? /     Un chat n’est plus un chat  et  à la page  Humour  Nouvelles du  » chat «  / Penser…en char d’assaut (think tank)

Le choix entre la barbe … ou le voile

Note du 27 janvier 2010 – [ modifiée le 30 mars 2010, jour de la remise au Premier ministre par MM. Sauvé et Schrameck du rapport du Conseil d’Etat  sur le port du voile intégral pour les femmes en France ]

….. la loi sur l’interdiction de la burqa a été votée le 11 octobre 2010.
 

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En ce nouveau XXI ème siècle, où des sorbonnards se plaisent à gloser  sur le   » retour du religieux  » ,  le dieu des fondamentalistes islamistes en profite pour  réclamer  désormais, avec l’aide de  parlementaires et d’énarques éminents du Conseil d’Etat (1)le port du foulard et du voile intégral islamiques pour les femmes, dans tout l’espace public.

Ainsi,  la haute couture religieuse –  à la mode des frères musulmans et des talibans –   devrait  revenir pour s’imposer encore et toujours aux fillettes et aux femmes de chez nous.  Quelle sera leur  prochaine  loi   » à  la  mode islamique  «  et  toujours contre les femmes : le vitriol, le viol ou la lapidation ?

                 Qui nous fera croire que les femmes  sont  libres quand  leur choix obligatoire est : pile – rester cloîtrées chez elles / face :  sortir, mais déguisées en fantômes ?
Autrement dit, quel(le)s parlementaires  voteront  pour qu’en France  des imams extrémistes  ordonnent aux femmes de choisir entre se laisser pousser la barbe … ou mettre la burqa  ?

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1  Il faut remarquer que c’est déjà le Conseil d’Etat qui, le 27 novembre 1989 avait décrété que le port d’insignes religieux et/ou de foulards islamiques  n’était en aucun cas contraire à la laïcité (sic).  M. Lionel Jospin s’était incliné, alors que l’ argumentation de ces hauts fonctionnaires confondait déjà la manifestation ostentatoire des croyances  avec le respect du pluralisme et de la liberté d’autrui.
Il fallut alors attendre 15 longues années pour légiférer sérieusement avec la loi Fillon de 2004 sur l’interdiction du port d’insignes et de vêtements  religieux à l’école, au collège, au lycée et à l’université.

                Donc, nous le savons, les conseillers d’Etat –  (les « sages » ?)  ne sont pas infaillibles. Ils ne sont pas non plus à une contradiction près, puisque dans un arrêt de 2008*, ils avaient refusé la nationalité française à une Marocaine portant la burqa, car elle avait «  adopté, au nom d’une pratique radicale de sa religion, un comportement en société incompatible avec les valeurs essentielles de la communauté française et, notamment, le principe d’égalité des sexes« .

Pourquoi  alors retarder
le vote d’une loi qui  permettrait aux femmes musulmanes de France de  faire valoir leurs droits de citoyennes, et de se libérer définitivement de leur soumission aux dogmes inventés – spécialement pour elles– par les salafistes ?

                Faudra-t-il encore que les  » sages »  les fassent attendre jusqu’en 2025  ?

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* Le Monde 15.07.08 article de Stéphanie Le Bars La décision sur la burqa saluée à gauche et à droite  En italique les termes de l’arrêt

L’   Cf. Autres notes sur le même sujet :
Religion et Haute couture  2 juillet 2008
26 avril 2009   La Halde entre montre et burqa
27décembre 2009 L’une à Kandahar, l’autre à Evry
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La casquette des sauvageons

                 

A l’heure où tout choque, Nadine Morano* le 14 décembre 2009 a soulevé « un vent d’indignation »  chez  les moralistes, qui ont avalé de travers son allusion à  la casquette à l’envers et au verlan. 

C’ est officiel : appeler un chat un chat n’est plus politiquement correct ; et  pour accompagner « l’indignation » de M. Mohamed Moussaoui, président du  Conseil français du culte musulman et grand donneur de leçon de morale devant la République laïque,  il fallait celle de SOS racisme et du MRAP, celle de l’UNEF et celle de  l’Union des étudiants juifs de France, tous révulsés devant des propos aussi « abjects » et aussi « racistes » .

L’ effet  «  casquette à l’envers et verlan  »  rappelle celui que fit , dans le vieux XXème siècle, la très gentille expression les sauvageons de M. Chevènement, décrivant  une jeunesse mal éduquée et peu scolarisée alors que  SOS racisme utilisait en boucle les mots black, renoi, beur et rebeu – qui ont eux,  de vraies connotations racistes.
Croyait-on alors que le détour par l’argot serait la panacée ?  Au contraire,  cela n’a fait qu’attiser des formes insoupçonnées de haine entre les uns et les autres et envers les gaulois,  jambon beurre,  les porcs…  etc. (propos « abjects » ou « racistes » ?). 

Infantilisante  et éminemment  dangereuse, la haine  s’est imposée ainsi depuis une vingtaine d’années, avec une extrême violence dans certains textes  » rappés « **, comme seul et unique message à communiquer à la jeunesse. Et l’on  n’entend malheureusement pas les organisations moralisatrices ci-dessus nommées, se prononcer pour condamner de telles paroles. 
 
Alors la casquette ? racisme ou évocation d’un temps où les hommes soulevaient poliment leur casquette par la visière pour dire  bonjour… tout comme ils soulevaient leur chapeau ? Alors le verlan ?  je soutiens qu’appeler une femme une meuf est tout simplement de la muflerie… 

Mais  … se ralliant à la casquette à l’envers, la gauche unanime a vertueusement qualifié  « le débat [sur la casquette ?] de dangereux pour la cohésion nationale » et réclamé  son  arrêt.
A noter que la gauche échoue comme la droite,  dans les villes où les mots fête populaire du 14 juillet  et réjouissances de fin d’année  sont remplacés par les mots nique ta mère et voitures brûlées ; et qu’elle ferait bien aussi d’en débattre*** pour y voir clair derrière les querelles de vocabulaire.

L’élite intellectuelle (?) avec  M. Jean Rouaud**** nous assure par ailleurs sans barguigner que  » La nation a fait son temps !  »   car il a trouvé  » deux suspects  » :  »  la République et le citoyen  »  ainsi que la non moins  » suspecte  »  Marseillaise  des volontaires de Valmy.   
   
Personnellement, par grand beau temps, je préfère la visière devant …  alors le doute me vient, et si M. Moussaoui me trouvait raciste ?  Surtout  si comme en France tout se termine par des chansons, je venais à fredonner :  » As-tu vu la casquette, la casquette, as-tu vu la casquette des sauvageons ?  » 

 Allons  !  Il n’y avait  pas de quoi fouetter un chat  avec une visière de casquette !  

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*  d’après l’article de Sophie Landrin Le Monde 17.12.09
** Les auteurs se reconnaîtront. Larsen n’est qu’ un cas parmi beaucoup d’autres – Larsen, une pensée trop  » haschée « , trop  » rappée  »  
*** et mieux que ne sait le faire le député N. Mamère avec son lamentable  bras d’honneur devant l’Assemblée nationale.
**** écrivain  Le Monde  13/14.12.09

voir aussi sur le même sujet  Black, Blanc, Beur, une erreur ?    (novembre 2008)

Et revenons vers le poète  Victor Hugo en mai 1870

 » Je suis des bois l’hôte fidèle,
Le jardinier des sauvageons,
Quand l’automne vient, l’hirondelle
Me dit tout bas : Déménageons.

Après Frimaire, après Nivôse,
Je vais voir si les bourgeons frais
N’ont pas besoin de quelque chose
Et si rien ne manque aux forêts. « …

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L’une à Kandahar, l’autre à Evry

Note du 27 décembre 2009

Envoyé spécial France 2 –  Un reportage de Miyuki Droz Aramaki, Sylvain Lepetit et Anne Rochefort : La suite – Afghanistan, Tableau noir pour l’école, 4 ans après  7.09.2013. Ils ont retrouvé Shamsia …

                          

L’une  Shamsia* est afghane et musulmane ; elle a été vitriolée sous sa burqa à 16 ans parce que les talibans,  non seulement étouffent les jeunes filles sous un linceul, mais leur interdisent d’aller  à l’école.

L’autre Christelle**est française ; elle a suivi le cursus scolaire normal, puis s’est convertie à l’islam à 18 ans, et Soraya désormais, sort rarement  de chez elle ou bien sous une burqa noire  et avec des gants noirs ; et pour parler de la scolarité de son enfant, elle se présente ainsi devant le professeur.

L’une  a aujourd’hui 18 ans, ne songe qu’à son devoir de citoyenne : continuer ses études en bravant la charia des talibans qui brûlent partout les écoles de filles.

L’une veut  se cultiver, apprendre un métier,  devenir avocate …

L’autre arrête de travailler, se confine volontairement dans son appartement. Elle a lu le coran et pense qu’elle imite avec le voile intégral « les femmes du prophète » !

L’autre  dit qu’elle  » s’épanouit  » sous sa burqa parce que cela la protège, non pas de la violence des talibans – fort heureusement pour toutes les femmes et les fillettes d’Evry, il n’y a pas encore de talibans dans la préfecture de l’Essonne  mais du regard concupiscent – d’après elle – des hommes d’Evry.

L’autre se demande comment font les autres  femmes pour vivre à Evry en voyant des hommes qui les regardent. Qu’elle se rassure, c’est une habitude très ancienne dans ce vieux pays car déjà à Evry- Petit- Bourg, au XXème siècle, mais aussi au XIXème, au XVIII ème etc.,  les hommes regardaient les femmes et vice versa.

Et, à ces époques-là, il n’y avait dans Evry-Petit-Bourg qu’une petite église…  alors qu’ ont surgi des anciens champs de blé, géantes, immenses, une cathédrale et une mosquée  ;  la religion,  contrairement à ce que proclament les évêques et les imams, n’adoucirait donc pas les moeurs ? 

L’une veut se battre et résister pour reconstruire son pays, le libérer de la barbarie des talibans qui sont les ennemis de son peuple.

L’autre s’isole de sa propre famille,  s’emprisonne dans un dogme religieux, et en  se plaignant qu’en France «  l’égalité hommes-femmes n’existe pas « , elle renonce à tous ses droits et à ses devoirs de citoyenne en se soumettant aux imams salafistes. Pense-t-elle trouver l’égalité hommes-femmes dans les Etats théocratiques islamistes ?

L’une affronte fièrement la vie avec un courage et un espoir immenses ;  l’autre choisit craintivement l’isolement sans avenir, dans une soumission religieuse archaïque, quitte à  renoncer à son identité de jeune Française et à une vie sociale normale.

Si Soraya d’Evry voit  la burqa comme le signe de sa liberté, on devine ce  que lui répondra  Shamsia de Kandahar.

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* Retrouver Shamsia dans Ecoles, un tableau noir reportage de Gilles Jacquier Envoyé spécial.  Ce reportage a reçu le Grand Prix Jean-Louis Calderon au Scoop d’Angers 2009  (Festival International du Journalisme)

 3.09.09 Carnet de route en Afghanistan Ecoles, un tableau noir
          Reportage de Gilles Jacquier – France 2 Envoyé spécial dans la province de Kandahar, quand les talibans s’opposent par leur charia à la scolarisation des filles, vitriolant 16 jeunes filles qui allaient à l’école  sous la burqa, assassinant les femmes professeurs les unes après les autres, brûlant les écoles…  A l’hôpital, Shamsia 16 ans qui souffrait d’atroces brûlures au visage disait :  » Moi de toute façon je veux retourner à l’école, je veux reconstruire mon pays.  »
 En  mémoire  de  Gilles  JACQUIER   tué d’un tir d’obus de mortier de 81 mm venu d’un quartier sunnite rebelle  lors d’un reportage pour Envoyé spécial  à Homs (Syrie) le 11 janvier 2012).     

Cf.  Les talibans et l’enfance sacrifiée

** citations des paroles de Christelle-Soraya en italique d’après l’article de  Stéphanie Le Bars  Le Monde 17.12.09

NB  ajouté le 18 janvier 2016 après les massacres de janvier et de novembre 2015 perpétrés au nom de l’État islamique

M. Manuel Valls PS était en 2009 député maire d’Évry (Essonne).  Dès 2012 alors qu’il était ministre de l’Intérieur  avant d’être  Premier ministre,  il reçut l’ordre de lui président Hollande, d’interdire à la police et à la gendarmerie d’appliquer la loi du 11 octobre 2010 qui interdit le port de la burqa ……
⇒ Ironie de l’histoire que cette application de l’idéologie des sorbonnards de 1968 qui clamaient : « Interdit d’interdire ! »

……… ceux qui en rient le plus,  ce sont les djihadistes cachant sous ladite burqa, leurs kalachnikovs et leurs ceintures d’explosifs ……………….. 

La répugnante recette de la cocaïne

     note du 19 décembre 2009 ♦  complétée  le  8  avril  2011     

« Quand les gringos  vont voir comment on fait la drogue, ça leur passera l’envie d’en prendre !»

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A
lors
pour les fêtes de Noël et de fin d’année faire confiance à la drogue qu’ont concocté  les paysans esclaves des mafieux internationaux, les grossistes et leurs revendeurs en (Ile-s de) France, ce serait choisir d’être les dupes d’apprentis sorciers qui trompent, abusent et nuisent, en faisant payer aussi cher à la santé publique qu’à la démocratie tant il y a de risques de dépendance, de maladies mentales  et de corruptions.

  En effet ce n’est pas pour la bonne santé des gringos  que les chefs des cartels de la drogue font appel à des empoisonneurs dont les recettes épouvantables sortent tout droit des chaudrons de sorciers ;  d’infâmes mélanges de  feuilles de coca avec du kérosène et de la chaux, puis avec de l’ammoniaque, de l’acide sulfurique et  de l’acide chlorhydrique, sans oublier l’éther et  l’acétone.

Mais la cuisine n’est pas finie car il faut continuer à changer la poudre en  euros, en grosses voitures, en armes – de guerre,  en sociétés mafieuses ou en tourisme de luxe etc.  Le grossiste   la « coupe »  avec sa propre sauce exécrable à laquelle ses revendeurs ajouteront leur touche peu ragoûtante…  sans parler de celle qui provient du transit intestinal des passeurs…

Au menu de la « coupe », des médicaments, des antiparasitaires, de la peinture, de la mort-aux-rats et même de la fibre de verre pour faire saigner le nez qui renifle**.

♦ J’en conclus que si cette drogue a toujours été, selon la formule consacrée,« l’apanage de la jet-set» ,« la drogue préférée des stars », ou la machine à faire fonctionner ce que l’on appelle trompeusement « l’élite», c’est  que les unes et les autres ont depuis longtemps très mauvais goût, une absence totale d’esprit critique et de sens moral, et des relations  avec des trafiquants dont ils peuvent même tirer des profits crapuleux.        

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* Témoignages recueillis par les journalistes de France 3 Pièces à conviction Cocaïne, au coeur du trafic 16.12.09

** Commentaire en forme de témoignage de willd64  / 27 mars 2011 -Le Monde/  :  

« 5 ans de cocaïne tous les jours, et pas de petites doses. Une migraine qui m’a suivi 3 ans après l’arrêt, des parois nasales quasi inexistantes, des sinus grands ouverts et douloureux. Le nez sec ou coulant. Valium pour dormir. Je n’explique que le principal, alors c’est simple, ne touchez pas à ce poison …  plus rapide et destructeur que l’alcool. »

 

          MILDT   cocaïne   Si les dealers disaient la vérité