Pour Barack Obama, la Liberté devrait éclairer le monde « en burqa »

1er mai 2013

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La Liberté éclairant le monde – Œuvre de l’architecte E. Viollet-le-Duc,
du
sculpteur A. Bartholdi, et de l’ingénieur G. Eiffel. La statue fut offerte par la France aux États-Unis d’Amérique en 1886.  (Liberty Enlightening the World)

Pour la Commission américaine des « libertés religieuses internationales »* nommée par le Président Obama et le Congrès, la liberté pour les femmes musulmanes se réduirait à « la liberté religieuse» du port du voile, du niqab et de la burqa.

♠ Elle consisterait pour les femmes, à vivre sous le joug d’une loi vieille de 1 400 ans, dite révélée par un dieu à un homme loi qui  les condamnerait éternellement  à la liberté d’être inférieure et soumise aux salafistes, aux frères musulmans, au père, au frère, au mari (polygame) et autres ayatollahs ;  loi de la liberté de choisir entre l’enfermement chez elle et l’enfermement sous le niqab et la burqa.

Et de s’offusquer, de  ce qu’ils appellent   la très agressive (sic)  laïcité française** qui laisse les religions aux seuls lieux de cultesans humilier, accabler, supplicier les femmes jusqu’à leur mort !

Le Président Obama et la Présidente de la Commission, Katrina Lantos Swett, tireraient grand profit de réviser nos philosophies des Lumières, l’histoire de nos révolutions sociales et humanistes,  afin de s’interroger sur l’archaïsme d’un dogme religieux islamiste aussi agressif  pour les femmes, et  que par déni ou lâcheté, ils appellent « la liberté des musulmanes« .

Ils se disent choqués par l’agressivité de notre loi centenaire de séparation de l’église et de l’État, choqués par l’agressivité de notre école laïque dans laquelle on n’accroche pas aux murs tous les dieux de la planète !

Mais M. Obama et Mme Lantos Swett  oseront-ils mettre en parallèle notre paisible laïcité avec l’interdiction agressive de toute religion autre que l’islam, sous peine de mort, en Arabie Saoudite, avec la terreur sanglante que les islamistes font subir aux chrétiens partout dans le monde, de l’Afrique au Pakistan, de l’Égypte au Liban, en Irak (sous les yeux de l’armée américaine), en Syrie, en Jordanie etc. … ?

Et auront-ils une pensée émue pour la population civile musulmane bombardée sauvagement par l’armée américaine en Irak ? Ou  nous expliqueront-ils cyniquement que ce n’était pas de l’agressivité, mais juste le meilleur moyen  de faire main basse sur leur pétrole ?

Si je résume, pour M. Obama, c’est  «la liberté religieuse» qui devrait éclairer le monde en burqa, avec une torche de pétrole irakien trempé dans le sang de milliers de morts d’une guerre de religion chiite contre sunnite, sous le régime de son vassal,  le chiite Nouri al Maliki ; une torche sanglante brandie par les assassins d’Al Qaïda.  

Les États-Unis d’Amérique ont leurs Tartuffes bien armés et bien agressifs qui voudraient nous donner des leçons d’humanisme comme leur groupe de pression  (lobby) qu’est le NRA /National Rifle Association – grâce auquel chaque mineur doit avoir le droit d’apporter un fusil d’assaut à l’école … pour avoir le droit au plaisir de tuer tous les élèves et tous les professeurs.

Cher Barack et Chère Katrina , votre vision agressive de notre laïcité française ressemble à une insupportable trahison du respect de la vie d’autrui et de la liberté des femmes, avec un satisfecit aux criminels de guerre, aux tueurs patentés et autres massacreurs religieux.

 ♠ Portrait de « femme libre »  selon la charia islamiste de son époux, l’imam égyptien, Abou Omar (de son vrai nom Oussama  Moustafa Hassan Nasr), selon les valeurs morales du Président américain Barack Obama.

CONCLUSION avec Bertolt Brecht et Yadh Ben Achour

 lire et/ou voir  la pièce de théâtre   La Résistible Ascension d’Arturo Ui   de  Bertolt Brecht  (1941) dont voici l’Épilogue :

 ÉPILOGUE
Vous, apprenez à voir, plutôt que de rester
Les yeux ronds. Agissez au lieu de bavarder.
Voilà  ce qui aurait pour un peu dominé le monde !
Les peuples en ont eu raison, mais il ne faut
Pas nous chanter victoire, il est encore trop tôt :
Le ventre est encore fécond, d’où a surgi la bête immonde
.

… et rapprochons cet épilogue de ce qu’écrit, soixante-dix ans plus tard, Yadh Ben Achour en 2011  : « La burqa est une croix gammée, une lapidation potentielle. Toutes deux sont porteuses d’un message clair : « Donne-moi la liberté que je la tue. » A moins d’accepter cette sentence de mort, un [une] démocrate doit se défendre. » 

 La Deuxième Fâtiha L’islam et la pensée des droits de l’homme p. 24  PUF 2011Yadh Ben Achour est Tunisien, professeur de droit public et philosophie du droit, membre de l’institut de droit international.

             ♦♦♦ Il est venu le temps de choisir entre la démocratie éclairée par la laïcité qui est  l’expression de la véritable Liberté de conscience et l’obscurantisme totalitaire, fascisant, «bête immonde» des terroristes d’al-qaida, des frères musulmans***, des salafistes, des talibans. et autres forcenés, à l’œuvre sur toute la planète.
 
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* Le Monde.fr avec AFP 1er mai 2013
** Mme Lantos Swett déclare que notre laïcité française « place les personnes religieuses dans des positions inconfortables et difficiles.»
C’est justement celle d’ une femme embronchée d’une burqa  : en effet, ce n’est pas la laïcité qui met la conductrice dans une position inconfortable et difficile ; c’est la burqa.
*** Frères musulmans des origines à nos jours  Amr Elshourabi, Égyptien docteur en sciences politiques Sorbonne, Khartala, 2009.
Le politique et le religieux dans le champ islamique Mohammed-Chérif Ferjani , ancien prisonnier politique en Tunisie, professeur à l’université Lyon-II, Fayard, 2005. [références : Le Point.fr 25.05.2013]
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Le « Pouvoir Mou » de France Culture

C’était un  dimanche, et le hasard a voulu que j’essaie d’écouter  l’émission le Pouvoir Mou de M. Frédéric Martel, producteur de notre chère radio publique culturelle.
Enfin, le vrai titre bobu de l’émission : Soft Power*  avait quelque peu aiguisé ma curiosité.

Auparavant, sur les mêmes ondes, M. Martel avait produit en 2006, une première émission, Masse critique ; mais après son« Enquête sur cette culture Mainstream (sic) qui plaît à tout le monde»**, ayant sûrement atteint le seuil ;-), il décida de la renommer en 2010, Soft Power.
Et tant pis, pour la traduction française de «soft power» parue au Journal officiel du 16/09/06, qui est «pouvoir de convaincre» ; elle ne l’a pas convaincu car le J.O. n’est pas une référence assez solide pour le Pouvoir mou.

Dans la présentation de son émission sur France Culture.fril use déjà  de son  Pouvoir mou pour nous convaincre : « Soft Power est le magazine global et bi-média  des industries créatives et des médias de France Culture. Le magazine des industries créatives, pour prendre au sérieux la culture commerciale «dite de divertissement», en présenter les acteurs, en décrypter les enjeux, en mesurer le poids économique (!) et en comprendre les mutations.»

Et comme illustration de la chose, ce jour-là, il fait l’éloge du groupe Fauve qu’il prononce Fove – pour annoncer « #kané» (les initiés de la communauté du Pouvoir Mou mettent le dièse du « hashtag (sic) » devant). On entend un chanteur susurrer  « j’t’ai dans la peau».  Le divertissement est relatif !  Il sent la resucée de  Mon Homme d’Édith Piaf «Je l’ai tellement dans la peau …».
De l’avis de son collègue expert de l’Express.fr,  Gilles Medioni, le chanteur serait un «crooner, entre électro blues, existensialo-bluesy et bluesy avec du bio (!) »
On est bien dans le Pouvoir Mou du bio des bobos parisiens !

Cependant, M. Martel complète  sa définition  de soft power : « c’est l’influence d’un pays par son cinéma, ses séries télévisées, ses jeux-vidéo (!), mais aussi à travers ses valeurs  (le contraire du « hard power », à savoir la force militaire et les pressions économiques classiques).».
il nous dit qu’il n’apprécie pas la force militaire, il pourrait nous dire s’il apprécie les trafics d’armes des mafias, des terroristes d’al-qaida ou des talibans (?) ;  et s’il n’aime pas les pressions économiques classiques,  pourquoi compter à la radio,  les milliards du capitalisme mondial classique des médias du divertissement ? Les valeurs du Pouvoir Mou du cinéma, des séries télévisées et des jeux vidéo ne seraient-elles pas celles du décervelage universel -dès l’enfance- pour mieux gouverner les peuples ?  

L’invitée du jour***  présente son livre Empowerment. Elle déclare que c’est intraduisible pour rester  dans l’amphigouri du Pouvoir Mou de l’élite bobue des médias s’adressant à la valetaille. Or,  la décision de publier un livre avec ce titre, dénie à l’éventuel lecteur, le premier acte d’un pouvoir penser un concept, ce qui lui donnerait ensuite toute liberté d’en discuter les fondements, la valeur, les domaines d’application etc.

Mais on l’a compris, ce ne sera pas avec l’émission Soft Power que l’on sortira du  Pouvoir Mou qui a pris  le Pouvoir (empowerment) dans certaines émissions de France Culture, comme dans la jungle de Canal Plus et de toutes les télévisions et de toutes les radios privées.
On n’y songe qu’à rentabiliser son capital et à refaire son petit monde sociétal, – ainsi la lutte finale pour leur mariage homosexuel avec le remboursement intégral par la Sécurité sociale de toutes leurs «procréations assistées»  etc.  – par le truchement du
Pouvoir Mou de milliardaires comme M. Pierre Bergé, pour faire une petite révolution molle de communautés de nantis …  

Tout un programme !
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♠ Illustration ♠

France Culture à l’avant-garde, a appris à ses auditeurs, le 5 février 2013, la création de la première salle d’injection d’héroïne ♠ à Paris.  Le Pouvoir Mou du Parti Stupéfiant et sa nouvelle directrice Mme Danièle Jourdain Menninger de la MILDT (Mission interministérielle de lutte contre les drogues et les toxicicomanies) ,  luttent désormais ensemble pour «le droit à la drogue dure».

C’est la lutte finale de M. Ayrault, premier ministre, et de sa ministre de la Santé, Mme Touraine ; avec 38 000 euros,  ils ouvrent un nouveau service hospitalier (sic) avec de l’héroïne afghane et des seringues,  qui ne guérira pas les malades drogués ; mais nos impôts paieront leur drogue, jusqu’à ce que mort s’en suive.

Les habitués du Pouvoir Mou  – pour ôter le vrai sens clair et fort des mots en  français  – disent en bobu mou : salle de shoot – traduction française  : antichambre légale de la mort.

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* 20 janvier 2013
** Flammarion 2010
*** Marie-Hélène Bacqué

« C’est du dernier bourgeois ! »

31 décembre 2012

Note relue le13 mai 2019

Du temps de Molière, les Précieuses ridicules (scène IV), en disant : c’est « du dernier bourgeois » nommaient le dernier degré de la vulgarité ; cela correspond bien au répertoire de M. Élie Yaffa, alias Booba,  «rappeur-en- bouillie -de -mots»,  frais médaillé de la Monnaie de Paris – chanteur préféré de Mme Aurélie Filipetti, ministre de la culture et de la communication.

Et des bourgeois aimant la vulgarité, il n’en manque pas dans le petit peuple de la culture et des médias !
De Laurent Ruquier qui l’invita  sur un plateau de France 2, aux membres du Conseil culturel  de la Monnaie de Paris, l’homme  a conquis la bourgeoisie ridicule,  la «bobofitude» toujours médusée par la grosseur d’un portefeuille.

Mme Véronique Cayla ,  Présidente de la chaîne de télévision franco-allemande Arte, siège dans ce Conseil culturel. On  savait déjà depuis Le mauvais goût du «Arte WebSlam» ,  combien la chaîne -par opportunisme- était perméable à la vulgarité des textes.
Pour la musique,  elle a pu compter sur son collègue, M. Jean-François Dubos,  Président du Directoire de Vivendi et administrateur de Canal Plus,  et néanmoins ami de Mozart, de la musique baroque et du  festival d’Art lyrique d’Aix-en-Provence. L’amateur éclairé a vite perçu tout l’intérêt qu’il aurait à flatter un tel génie de «l’art rappique» pour l’inscrire  dans son catalogue Universal.

Suivant leur conseil  avisé, la Monnaie de Paris a donc enrichi son  « programme culturel »  de la vente de médailles de l’encapuchonné, aux  bourgeois parisiens de la Nuit blanche 2012.
Puis, considérant qu’elle devait en faire plus pour, selon sa devise, « frapper les esprits  (sic) »,  elle a frappé très fort avec une médaille réalisée par Mohamed Bourouissa, portant l’effigie  de l’idole de Mme Filipetti et elle la vend au même prix que le Coffret du 70 ème anniversaire de l’Appel du 18 juin 1940.

Ainsi, pour M. Christophe Beaux, PDG de la Monnaie de Paris,  c’est vraiment « du dernier bourgeois » que de donner autant de valeur à des criailleries immatures  qu’à un appel à la Résistance  des Français contre les nazis.

Quand on entend  M. Élie Yaffa alias Booba nous seriner à l’oreille  « Quinze dans le chargeur / six dans le barillet », dans Tombé pour elle , on devine que l’homme aime surtout la musique des armes à feu ; à  tel point que le favori de la ministre les fait figurer dans ses armoiries.

En guise de conclusion navrée, l’ambition culturelle du quinquennat de M. Hollande sera-t-elle de gaver la jeunesse de la culture vulgaire des ignorants de la langue française et autres haineux violents ?  … juste pour faire plaisir aux bourgeois de Paris ?

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Mais parce que la poésie est lien fraternel – parce que le père d’ Élie Yaffa est un Sénégalais et sa mère une Française

parce que le «rappeur» encore jeune pourrait comprendre tout ce que l’on peut exprimer  de subtil, de bon, de fort et de généreux avec la langue française

– lisons ensemble ce poème du beaucoup plus grand que luiLéopold Sédar Senghor :

     Femmes de France                à Mademoiselle Jacqueline Cahour

Femmes de France, et vous filles de France

Laissez-moi vous chanter ! Que pour vous soient les
       notes claires du sorong*.

Acceptez-les bien que le rythme en soit barbare, les
accords dissonants

Comme le lait et le pain bis du paysan, purs dans ses
         mains si gauches et calleuses !

Ô vous, beaux arbres debout sous la canonnade
         et les bombes
Seuls bras aux jours d’accablement, aux jours de désespoir
          panique

Vous fières tours et fiers clochers sous l’arrogance du soleil de Juin
Vous clair écho au cri du Coq gaulois !
Vos lettres ont bercé leurs nuits de prisonniers de mots
      diaphanes et soyeux comme des ailes

De mots doux comme un sein de femme, chantants
       comme un soleil d’avril.
Petites bourgeoises et paysannes, pour eux seuls vous
       ne fûtes pas avares

Et leurs fronts durs pour vous seules s’ouvraient, et
      leurs mots simples pour vous seules
Étaient clairs comme leurs yeux noirs et la transparence
      de l’eau.

Seules vous entendiez ce battement de cœur semblable
     à un tam-tam lointain
Et il faut coller son oreille à terre et descendre de son
      cheval.

Pour eux vous fûtes mères, pour eux vous fûtes sœurs.
Flammes de France et fleurs  de France, soyez bénies !

(extrait du recueil Hosties noires 1948 / Œuvre poétique/ Gallimard)
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* mot employé chez les Peuls du Fouta Dyallong pour désigner une sorte de kôra

  Léopold Sédar SENGHOR  de l’Académie française

Grand-croix de la Légion d’honneur / Grand-croix de l’ordre national du Mérite / Commandeur des Arts et des Lettres
Commandeur des Palmes académiques / Grand-croix de l’ordre du Lion du Sénégal 
Chef d’État
Poète

NB   Pour commémorer en 2013, le cinquantième anniversaire de son Prix de la langue française (1963) et le trentième anniversaire de son entrée à l’Académie française (1983),

il reste au Conseil culturel à convaincre M. Beaux, PDG de la Monnaie de Paris, de rendre un bel hommage à Léopold Sédar Senghor, celui qui a tant aimé et tant magnifié la langue française – après le médiocre Élie Yaffa, alias Booba, honorer le grand maître.
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Rouen, ville aux cent, aux mille graffitis hideux

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Las !  Notre bonne ville de Rouen n’est plus la  ville aux cent clochers. Elle est devenue la ville aux cent, aux mille graffitis hideux.

En ces premiers jours d’octobre 2012, elle  offre aux yeux des promeneurs  le spectacle grisâtre et sale d’une ville – naguère  bombardée, saccagée, pendant la guerre de 1939-1945-  et  désormais sous les bombes de barbouilleurs ignares qui vandalisent en permanence chaque mur à pans de bois, chaque  mur en pierre ou en briques ; sans oublier, bien sûr, les murs académiques du Rectorat…

Le portail du Donjon (dit Tour Jeanne d’Arc)  n’est pas épargné, dans un environnement peu soigné de vieux fossé transformé en poubelle.

Près de l'emplacement du pont-levis du Donjon

En allant vers la place du Vieux-Marché – où la laideur des bâtiments centraux (église Jeanne d’Arc et halles) cache les maisons médiévales – on lit sur un mur,  la devise des barbares : anti france vaincra.
Place du Vieux-Marché

                L’actuelle ministre des Sports, Valérie Fourneyron, adjointe de 1995 à 2001, puis maire de Rouen de 2008 à 2012,  n’aurait-elle  pas été sensible à l’enlaidissement de sa ville ?
Yvon Robert qui lui succède  fera-t-il mieux qu’elle,  avec  Christine Rambaud, première adjointe chargée  de la Tranquillité publique et de la Propreté (sic) ?

Enfin,                      «  jusqu’au 28 novembre 2012, les élus municipaux discutent avec les habitants aux quatre coins de la ville. Solidarité, cadre de vie, démocratie locale, environnement, culture, propreté, etc. »

               En toute naïveté, il me prend à espérer, qu’à défaut de bonne vue,  ils aient – ainsi que l’autre enfant du pays, François Hollande  dit le bien-aimé de la favorite  de bonnes oreilles !
Le  patrimoine architectural et historique  de Rouen  vaut bien un sursaut de lucidité politique.

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Touche pas à mon pote mais laisse-moi brûler vive Sohane et lyncher Martin, Sofiane et Kévin

Note du 5.10.2012 / complétée le 24.09.2013 –
mise en avant le 13.12.2015 et le 11 novembre 2016

Parce que du PS (Parti Stupéfiant) à La République-en-marchearrière, rien ne change(ra), j’ai remis cette note en avant le 28 juillet 2018 et le 30 novembre 2020.

 

 Touche pas à mon pote mais laisse-moi battre mon ex-concubine à grands coups de pied dans le visage    !        

C’est le grand principe moral du président de SOS Racisme Flandre Côte d’Opale, Anthony Simati,  « membre du bureau national de cette structure [de la « diversité black blanc beur« ], fortement impliqué dans la prévention de la violence (sic)… lourdement condamné, avant-hier, en comparution immédiate, pour des violences commises sur son ex-concubine.»
Quand j’ai écrit la note « Touche pas à mon pote … » en octobre 2012 après le lynchage de Sofiane et de Kévin à Grenoble, je n’avais pas lu cet article de La Voix du Nord, signé A.C. du 10 août 2012.
On y apprend que « la victime, hôtesse d’accueil au casino de Dunkerque, âgée de 25 ans, a perdu quatre dents. Son visage a été recousu en plusieurs endroits et, lorsqu’elle a été admise aux urgences, dans la nuit de dimanche à lundi 6 août, elle était couverte de sang de la tête aux pieds. «Il est rare, même pour la justice, de voir une personne défigurée à ce point» a commenté le substitut du procureur.[ Le 14 février 2011, le même Anthony Simati l’avait déjà frappée d’un coup de pied au ventre.]»


(1) Photo de F. Hollande avec son « pote » A. Simati

Le « pote » de l’ex-secrétaire national du PS a été condamné à douze  mois de prison dont  quatre mois avec sursis. Il peut de nouveau arborer un sourire éclatant et retrouver les « potes » du PS pour envisager un brillant avenir politique, à Dunkerque  – sa jeune victime, elle, est défigurée à vie… Quant au président Hollande, il est toujours aussi ravi d’avoir pris la place de son «pote » D. Strauss-Kahn, bien connu des services de police de Lille.
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… On voit sur la photo suivante, Lilian Thuram, qui a touché des millions pour jouer au ballon avec le pied, et qui a aussi la main leste pour sa concubine,  décoré par M. Hollande, ravi de saluer  « son engagement en faveur de la diversité et contre le racisme. » ( Le Parisien.fr 18.09.13   © Etienne Laurent / AFP Sipa Media)

♠ Mon conseil aux jolies jeunes femmes de la « diversité black blanc beur » : Faites attention aux « potes » qui ne veulent  pas qu’on touche à leur pote ! Vous risquez  l’adversité de leurs décorations indélébiles ; et vous n’aurez pas l’accolade chaleureuse du président des « potes » .

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5 octobre 2012

Dans notre bonne ville de Grenoble, dans notre quartier de la Villeneuve – utopie de Cité radieuse (2), dans un magnifique parc de 13 hectares, au bord d’un lac, avec piscine et terrains de jeux, où l’on pensait bien vivre avec ses enfants, avoir une retraite paisible …- ; dans notre douce France, trois jeunes gens ont été lynchés par « une bande de  potes ».

Martin, en avril 2010, Kévin et Sofiane, le 28 septembre 2012,  n’ont  pas plu aux « potes »

                   Ils étaient trop corrects, trop calmes, trop instruits, trop sages, trop  citoyens,  pour accepter leur loi du plus fort, leur loi du  plus dangereux, leur loi du plus haineux.

L’idéologie dite « black blanc beur » du « Touche pas à mon pote » est à la dérive, emportée par la haine de l’autre. Cette idéologie est devenue, à l’opposé du vivre ensemble dans la diversité,  une démarche de  discrimination entre « le pote » et  l’autre -celui qui ne l’est pas, l’autre ( fille ou garçon) qui doit baisser son regard par soumission… sinon…

Et en ce XXIème siècle, l’idéologie s’est constituée en véritable machine de guerre ; elle devient même une menace envers notre société, car elle signifie  de plus en plus « Touche pas aux délinquants de ma bande (3) ».
Désormais, elle nous cible tous – « black blanc beur », si nous n’obéissons pas à leur loi de barbares ;  les  premiers, dans la ligne de mire de leurs armes de mafieux, étant nos si courageux policiers et  gendarmes qui eux, obéissent aux lois de notre République.

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1  Avec l’aimable autorisation de © Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info

À un  journaliste de France Culture, en septembre 2010,  R……  -« poteau » de Karim Boudouda, le braqueur du casino d’Uriage qui, en fuite avait tiré sur la police le 16 juillet 2010 – disait : « Ici, on a tout pour être heureux ».

3 Dans le journal Le Monde / B. Pavan/ du  6.10.12,  nous apprenons d’un policier qu’une « dizaine de caïds» – parmi lesquels on trouve  des potes de Karim Boudouda –  « sont toujours en place dans la cité. » 

               

Les dix commandements   « respect  à mon pote »  selon  le « petit caïdat
(salafiste) du quartier »   :

             Touche pas à mon pote         mais

1- Laisse-moi violer les filles  qu’elles soient black blanc ou beur avec mes potes.
2- Laisse-moi poignarder mon/ma professeur
qu’elles ou ils soient black blanc ou beur pendant que mon pote prend la photo.
3- Laisse-moi brûler mon quartier et massacrer qui je veux
  black blanc ou beur avec mes potes.
4- Laisse-moi vendre de la drogue aux  mineur(e)s 
qu’elles ou ils soient black blanc ou beur avec mes potes.
5- Laisse-moi tirer sur les policiers
qu’elles ou ils soient black blanc ou beur 
avec mes potes.
6- Laisse-moi brûler l’école publique
de mon quartier que les élèves soient black blanc ou beur  avec mes potes.
7- Laisse-moi brûler vives et lapider les filles
qu’elles soient black blanc ou beur avec mes potes.
8- Laisse-moi taper sur les chauffeurs de bus et les passagers
black blanc ou beur avec mes potes.
9- Laisse-moi casser les ascenseurs des immeubles pour habitants 
black blanc ou beur avec mes potes.
10- Laisse-moi faire «
le djihad » en France pour te tuer, toi, le ou la black blanc beur avec mes potes,  avec nos armes de guerre payées avec l’argent sale de la drogue immonde.

 

       Questions :        

            Jusqu’à quand ces dix commandements sanglants et criminels  seront-ils tolérés au sein du quartier de la Villeneuve, comme partout ailleurs en France,  par la Justice, par l’Assemblée nationale, le Sénat et par le Président de la République  ?
Quand
le ministère de la Justice, sera-t-il «sensibilisé»  au désastre annoncé des trafics de drogues et d’armes d’une jeunesse délinquante multirécidiviste ,  au désastre annoncé pour l’avenir de notre pays ?

 ♦ Pourquoi  toute cette indulgence et cette pusillanimité des politiciens et des juges envers  les « potes » mafieux, leur loi anti-républicaine, leur charia islamiste ? ? ? ?
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