J’écris ton nom : République

27 avril – 1er mai 2016

Sur le lien du document officiel, à savoir l’Arrêté daté du 6 janvier 2016, émanant du Cabinet du Préfet de police de Paris, on voit écrit  :

  Arrêté   n° 2016-00023   interdisant l’occupation de la place de la  République

Doit-on à l’absence d’un Français lors de la discussion internationale sur les lettres avec accents, le A avec un tilde à et un copyright © pour faire le é de République ?

OU le doit-on au si grand désintérêt des pouvoirs exécutif et législatif, qu’ils négligent la mise en conformité de l’informatique et acceptent le déni de la langue française ?

Ainsi,  il y a le mot mais qu’en est-il de l’esprit de la République ?
L’heure est grave, et si nous a
vons perdu l’accent aigu, nous pouvons garder l’esprit vif,  le président, le premier ministre et le ministre de l’intérieur aussi.

Et de même que le gouvernement avait demandé au Préfet de police d’interdire l’occupation de la place de la République par les migrants, pour des raisons de sécurité liées à l’état d’urgence, du 7 au 21 janvier 2016 ; mais aussi  pour que le peuple citoyen vienne rendre hommage aux  500 victimes des attentats djihadistes de 2015  et réaffirmer ses valeurs laïques, fraternelles et républicaines ;

On attend  que l’esprit de la République l’ éclairant,

Le gouvernement

vu la prorogation de l’état d’urgence jusqu’au 26 mai 2016,
vu l’urgence
Considérant les troubles à l’ordre public
Arrête :
L’occupation illégale de la place de la République par le groupe « Nuit debout »  est interdite durant  la durée de l’état d’urgence.
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Mais pour cela, il faudrait un courage politique que F. Hollande n’a pas, car non seulement, depuis le 31 mars, il ignore les riverains et les policiers qui sont les premières victimes, mais pire encore, il joue sa dernière carte en laissant  le groupe « nuit debout » allumer la mèche toutes les nuits,  convaincu (?) que mettre en danger la  paix sociale lui apportera des voix  !

Et dans la nuit … La République écoute
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Les « nuit debout » ou les qui nuiront ?

Note du 10 avril 2016     Actualisée le 18 avril 2016

 suite à l’émission spéciale « Dialogues citoyens », avec M. Hollande, sur France 2, jeudi 14 avril 2016.

Je m’interroge sur la situation actuelle :

– un président de la République qui n’obéit pas aux lois républicaines, en particulier à  la loi n° 2010-1192 du 11 octobre 2010 interdisant la dissimulation du visage dans l’espace public / son décret d’application   circulaire du 2 mars 2011

– un président de la République qui n’interdit pas des attroupements nocturnes, avec trafics de drogues et incitations à la haine et à la violence  (comme ces voix pâteuses qui traitent Alain Finkielkraut de « fasciste »…)

– un président de la République qui  tolère ainsi que des centaines d’hommes cagoulés  sèment la peur et la casse dans les quartiers de Paris, la nuit du 14 avril 2016, blessant des policiers,

– un président de la République qui laisse beugler le fameux slogan éculé  : « CRS  SS »  chers aux  petits bourgeois  trotskistes menés par Cohn-Bendit en 1968,

                               ALORS  que la France  de 2016 est en État d’urgence,  et que le devoir du président est de veiller  à la sauvegarde de sa population, dont la sécurité est assurée par nos courageux militaires,  gendarmes et  policiers, qui luttent quotidiennement contre le terrorisme islamique.

Un tel président de la République n’est-il pas passible  de destitution ?
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Ils sont arrivés… Ils sont là (1)…  Mais qui sont-ils  les « nuit debout » ?
Des « qui n’ont pas besoin de se lever tôt » ? ou  des  « qui nuiront », qui  lanceront des émeutes, attendues avec impatience par les islamistes ? Avec encore plus de saccages,  plus d’incendies dans nos villes, plus de victimes, avec encore plus de policiers et de gendarmes blessés  et cela pendant un état d’urgence ?

Qui sont ces noctambules qui veulent nous faire croire qu’ils changeront la société, la nuit, en s’égosillant et en fumant un joint ?   La nuit ?  quand seuls déambulent des fêtards alcoolisés, des proxénètes et des trafiquants ?
Mais « l’opération » fonctionne grâce à « la collaboration » des rédactions des médias, presse, radios et télés qui  envoient chaque nuit des journalistes, qui nous « informeront » au petit matin … La ficelle est un peu grosse !

En cette période si difficile pour des millions de familles de chômeurs, de salariés précaires, de retraités pauvres …

En cette période si douloureuse où les émirats islamistes financent le groupe état islamique, pour qu’avec sa haine anti- française, anti-laïque et anti- républicaine, une jeunesse aux ordres des mosquées salafistes, vienne nous assassiner, à Charlie Hebdo, dans nos rues, nos cafés, nos stades…

Mais, l’autre jour (1), dans l’émission C’est dans l’air, M. Revault d’Allonnes, « chargé de l’Élysée (sic) » au journal Le Monde, nous expliquait comment le président Hollande avait été dans une excellente position – après le massacre aux 480 victimes du 13 novembre 2015 – pour envisager sa réélection.

Faut-il  encore du sang et des larmes pour faire réélire M. Hollande ?

Qui a intérêt à créer encore plus de chaos en France ? À qui obéissent-ils, les « nuit debout » ? Seraient-ils les alliés objectifs des islamistes, qui selon l’expert, seraient les meilleurs alliés de M. Hollande ?

Il se pourrait que les « nuit debout » (mais aussi les groupes violents qui nuisent au bon déroulement des manifestations revendicatives des syndicats), soient comme les islamistes, des oiseaux de mauvais augure et qu’ils nuisent gravement à notre paix civile , à notre liberté citoyenne…


Réveillons-nous !

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1 Ils ont joué à « Jacques Facebook a dit ». Mais qui est donc ce « Jacques » qui mène le jeu ?
Serait-ce encore la CIA comme en 1968  avec M. Cohn-Bendit, dont les médias français  assurent à nouveau la promotion ?

2  30 mars 2016   France 5

 

« Faut bien la préparer votre fête de mécréants »

Note du 9 décembre 2015 revue le 28 décembre 2015 
              ⇒   Note remise en avant le 5 janvier 2019 en pensant à l’année sanglante que fut 2015 en France

 Note mise en avant par L’ingénue le 29.12.2018, après les nuits de violences incendiaires et dévastatrices de « purge djihadiste » des forces de l’ordre, par des dizaines de cagoulés islamistes pour « fêter » Halloween en novembre 2018, à la veille de la Toussaint, et pour « fêter  Noël, la fête des mécréants » le 25 décembre 2018, à Joué -lès- Tours, « en hommage » au tueur Chérif Chekatt du marché de Noël, le 11 décembre 2018, à Strasbourg.
On remarquera que M. Castaner parle de Chérif Chekatt comme M. Cazeneuve parlait de Bertrand
(Bilal) Nzohabonayo.

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« …Faut bien la préparer votre fête de mécréants »avait écrit Bertrand (alias Bilal) Nzohabonayo sur sa page facebook, le matin du 18 décembre 2014 – deux jours avant de tenter d’égorger trois policiers – aux cris d’allah akbar  – dans le commissariat  de Joué-lès-Tours (Indre-et-Loire) ;  et il avait mis,  à côté de sa photo, le drapeau salafiste de l’État islamique.

Le drapeau des salafistes EST le drapeau de l'Etat islamique
Bertrand Nzohabonayo

Selon M. Cazeneuve, ministre de l’Intérieur qui s’était déplacé à Joué :  » Il était connu pour des actes de délinquance (3) ;  il n’était  pas connu pour son implication dans des actes terroristes et sa situation n’avait pas été judiciarisée ; il ne faisait pas l’objet d’un suivi particulier. »

Mais ce que M. Cazeneuve savait et qu’il tut :

– c’était  que son frère Brice Nzohabonayo était  fiché S par la DGSI, qu’ils se rendaient tous les deux souvent en Afrique. Le Service national de renseignement (SNR) du Burundi avait, dès 2013  « signalé  les deux frères – comme « suspects » à leurs homologues français, en raison de leur intégrisme religieux (3) ;
C’est d’ailleurs le SNR qui interpella le 20 décembre 2014, le jour même, Brice Nzohabonayo à Bujumbura. Il avait quitté la France avant le passage à l’acte de Bilal. Le SNR  et la police burundaise les surveillaient afin d’anticiper une préparation d’attentat sur leur sol.

– c’était que l’imam Mohamed François (4) de la mosquée de Joué, lieu de prières de la fratrie, était connu pour ses prêches haineux contre les mécréants, ses invitations d’imams radicaux, autant d’appels au djihad « local ».

Sur le moment,  l’enquête ouverte par le  procureur de la République de Tours, Jean-Luc Beck, s’était orientée  vers un attentat « motivé par l’islamisme radical (2), avec  la sous-direction antiterroriste de la police judiciaire,  la direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) et  la direction interrégionale de la PJ d’Orléans pour « des chefs de tentative d’assassinat et d’association de malfaiteurs en lien avec une entreprise terroriste « …

 Et…  il y eut la semaine sanglante du 7 au 9 janvier  2015

Que fit la Justice de M. Hollande et de Mme Taubira ? Rien.
Elle n’instruisit pas le dossier Nzohabonayo avec les trois directions de sécurité intérieure.
La Justice voulut  passer sous silence le parcours de l’agresseur français de 20 ans, chrétien converti et radicalisé à Joué,  et la gravité de l’attaque de  trois policiers blessés dans leur commissariat.
Elle fit semblant d’ignorer l’existence  des milliers d’autres Merah- Kouachi et Nzohabonayo  convertis et/ou radicalisés dans les quartiers « sensibles » et dans les prisons.
Et  le jeudi 2 juillet 2015, le procureur de la République de Tours  annonça  qu’il classait  l’affaire sans suite.

Alors que tous les signaux d’alerte étaient allumés, la Justice de M. Hollande et de Mme Taubira n’était que non-assistance à citoyens en danger.

Mais aussi, quel bel encouragement pour les islamistes de Tours, après l’ordre de l’État islamique sur facebook  d’« exporter la guerre dans les rues en France ».
Cela ne tarda pas.
À l’approche de la fête nationale, dans la nuit du vendredi 10 juillet 2015, un  incendie  embrasa  des tas de vieilles traverses  sous le pont de chemin de fer de l’avenue de Grammont à Tours, supprimant toute circulation de trains, voitures, trams et bus et occasionnant des travaux qui durèrent jusqu’en septembre pour un montant en millions d’euros (5).

C’est ainsi que le même procureur de la République de Tours, neuf jours après avoir classé l’enquête  sur l’attaque islamique de Joué, ouvrit une nouvelle enquête.
On ne trouvera aucune occurrence de cette enquête, ni d’une quelconque recherche des incendiaires. Le procureur  dira tout comme Noémie G. dans son article de France bleu.fr « Le feu est parti des traverses de bois » (6). L’affaire sera classée sans suite….

….. Cependant nous connaissons la suite sanglante de cette guerre contre nous, les mécréants, dans la nuit du vendredi 13 novembre 2015  dans les rues de Paris, les cafés, les restaurants, les terrasses, au Bataclan  et à Saint-Denis,  et qui  fit  480 victimes.

Pour terminer sur l’incendie du pont, il faut savoir qu’il se trouve dans le quartier du Sanitas (sensible, comme classé S par la DGSI ) qui a connu des émeutes et des voitures brûlées fin 2012. On y trouve le même islam radical qu’à Joué, à La Riche, à Saint-Pierre-des-Corps etc. Les salafistes  et les prédicateurs du Tabligh y font partout du porte à porte (1). Les femmes en burqa et voiles noirs sont leurs étendards djihadistes ambulants.

Et l’on trouve avec Mohamed François, l’exemple d’un imam qui prêche pour  déchaîner cette fureur incendiaire, à l’approche d’une fête nationale, ou  d’un jour férié lié à nos traditions chrétiennes, ou simplement le 31 décembre et la nouvelle année fêtée partout dans le monde.
Ainsi dans sa vidéo « information culte musulman / ICM – avec le titre : « Qu’as-tu préparé pour ton réveillon ? » (4)
L’imam brandit la menace. Il rappelle la fatwa dans les pays musulmans : « Sachez que la célébration d’une fête qui n’est pas la nôtre (…) fait de nous des gens qui appartiennent à une autre communauté. (…) Comment peux-tu oser fêter une fête qui n’est pas la tienne et qui ne correspond en rien à tes références religieuses ?

Donc, mon frère, ma sœur, je te conseille (…) la crainte d’allah en ce 31 décembre, ne réveillonne pas, ne fais pas partie des gens qui célèbrent cette fête, par laquelle dieu n’a fait descendre aucun texte, ni aucune preuve. (…)     Sinon ?
Rappelle-toi qu’il y a trois fêtes : l’aïd-el-fitr (…) l’aïd oul afta (…) et l’aïd oul aouzbour (…)  aucune autre fête n’est légiférée en islam, ceci est un rappel pour toi mon frère et toi ma sœur. »    Sinon ?

Voilà un prêche explicite, illustré par la séquence au début de la vidéo, où l’on voit d’abord une voiture qui flambe, puis un mécréant (ou koufar), se servant un verre, ensuite de bons musulmans hurlant allah akbar, suivi d’un fondu enchaîné pour suggérer le lancement d’un cocktail Molotov sur une voiture qui s’enflamme !

L’imam ne l’a pas dit mais  il rappelle que le devoir du musulman est de brûler et tuer ce qui est d’une autre communauté – notre nation française donc chrétienne- alors qu’elle est laïque-  qu’il doit haïr et dévaster.

Voilà le message fort  des imams des mosquées, des rues, et des prisons.
Voilà ce que les chefs religieux des organisations islamiques de France nomment dans leur double langage  « leur bien vivre ensemble en France » mais sans nous.
 Se  pourrait-il  encore que les djihadistes « locaux et/ou envoyés »  nous préparent bien  Noël, et bien le 31 décembre 2015 ? …en attendant de nous souhaiter une bien bonne année 2016 mais  sans nous,  façon an 3 de la terreur islamique ?

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Sources :

1   À Tours, les renseignements surveillent une quinzaine d’extrémistes potentiellement dangereux  /Pierre-Alexandre Bouclay   22.12.2014 Valeurs actuelles

Portrait de Bilâl Nzohabonayo, l’auteur de l’attentat contre trois policiers de Joué-lès-Tours   /Jean-Patrick Grumberg  21.12.2014 Dreuz.info

3   Le frère de l’assaillant de Joué-lès-Tours arrêté au Burundi /  Libération AFP 22.12.2014
Nota  Les chefs d’inculpation de Bertrand Nzohabonayo étaient  : « Trafic de stupéfiants, extorsion, vol et recel »  –  comme les fils des ministres Fabius, Taubira, Touraine, et celui de l’ex-favorite Trierweiler.  Cela expliquerait aussi  les manquements graves d’une justice  aux ordres du pouvoir.

4   La grande mosquée de Joué-lès-Tours, où le terroriste Bilal Nzohabonayo s’est radicalisé   / Alain Léger  Dreuz.info  21.12.2014
« Qu’as-tu préparé pour ton réveillon ? »
demande l’imam Mohamed François.

5   L’incendie d’un pont isole Tours sur la route des vacances  /La Nouvelle République.fr Synthèse Denis Daumin, enquête François Bluteau   12.07.2015

6   La circulation va rester perturbée après l’incendie qui endommage le pont de Verdun  /France Bleu Touraine  Noémie Guillotin 11.07.2015

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11 novembre 1940 : la jeunesse citoyenne donnait l’exemple

11 novembre 2015

C’était il y a 75 ans dans un pays appelé « État français » gouverné depuis le 16 juin 1940 par le maréchal Pétain (1) qui s’était « engagé dans la voie de la collaboration » avec le caporal Hitler pour en finir avec la République française, bâillonner et affamer son peuple, le livrer à la barbarie nazie et à ses nervis de la Milice.

Les armées hollandaise, belge, luxembourgeoise, britannique et française n’avaient pu s’opposer  à l’offensive allemande. La « Bataille de France »  dura 45 jours, du 10 mai au 14 juin 1940, jour mémorable où les soldats de la Wehrmacht et leurs blindés défilèrent dans Paris, ville ouverte.

Le 17 juin,  Pétain décréta le cessez-le-feu et demanda l’armistice tandis que le même jour, le général de Gaulle (2) s’envola pour l’Angleterre où le lendemain 18 juin 1940, il devait par son Appel à tous les Français fonder le premier acte de Résistance.  Le 22 juin, l’armistice était signé à Rethondes et le 10 juillet, dans le casino de Vichy,  sur les 666 présents, 569 députés et sénateurs votèrent les pleins pouvoirs à Pétain , 80 (SFIO- radicaux  et divers) votèrent contre et 17 s’abstinrent. (les  députés communistes ayant été déchus de leurs mandats).
Après cette séance parlementaire inaugurale de la collaboration , Pierre Laval pouvait dire à de la Pommeraye : « Et voilà, mon cher, comment on renverse une République ! », et Jacques Doriot, crier en pleine rue de Vichy, à Marx Dormoy (3) :  » Nous aurons ta peau , ça ne tardera pas ! »

Le 24 octobre 1940, Pétain fut si réjoui de sa poignée de main au bourreau nazi à Montoire qu’il la conta ainsi le 30 octobre à Radio Paris :  » Français, j’ai rencontré jeudi dernier le chancelier du Reich. C’est librement (sic) que je me suis rendu [dans le Loir-et-Cher !] à l’invitation du Führer ».
La terrible collaboration était scellée.

L’arrestation par la gestapo le 30 octobre 1940 des professeurs Langevin et Rivet à l’École supérieure de physique et de chimie, relevés de leurs fonctions et emprisonnés, fut dans le milieu enseignant et étudiant l’autre signal fort pour entrer en Résistance.

Et quand Pétain  supprima  le jour férié  du 11 novembre et interdit toutes cérémonies commémoratives  « pour ne pas offenser la Wehrmacht »,  les étudiants, toutes tendances confondues, rédigèrent un tract exemplaire de lucidité, de courage et de citoyenneté :
Étudiant de France
Le 11 novembre est resté pour toi jour de
         Fête nationale
Malgré l’ordre des autorités opprimantes
           il sera
         Jour de Recueillement
Tu n’assisteras à aucun cours
Tu iras honorer le Soldat Inconnu
Le 11 novembre 1918 fut le jour
        d’une grande victoire
Le 11 novembre 1940 sera le signal
          d’une plus grande encore (…)

Le 11 novembre 1940  fut une journée historique pour la France ; une journée de « la Montée à l’Étoile » où les 3000 enseignants, lycéens et étudiants furent rejoints par des milliers de personnes en fin d’après-midi et entonnèrent tous ensemble, sous l’Arc de Triomphe, une formidable Marseillaise ; une journée qui augurait par son enthousiasme, sa ferveur et sa jeunesse, tout ce que notre peuple allait entreprendre et souffrir, pour se libérer, pour vaincre, pour retrouver sa dignité et sa République.

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1  Président du conseil nommé par Albert Lebrun, dernier Président de la Troisième République.
2  Secrétaire d’État à la Défense.
3 Ancien ministre de l’Intérieur – proche de Léon Blum. Il sera assassiné à Montélimar dans l’explosion d’une bombe, le 25 juillet 1941.
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Sources
La Résistance Chronique illustrée 1930-1950 Tome 2 et Tome 3 Alain Guérin Livre Club Diderot 1973
Documentaire  Les Rebelles du 11 novembre 1940  G.-M. Benamou

Vive le Collectif des femmes sans voile …. et les Algériennes en bikini !

  Note du 15 juillet 2015  mise en avant le 2 août 2017

2-3 août 2017

Vive « les opérations bikini » sur les plages en Algérie !

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Vive la magnifique détermination et le beau courage de  milliers de femmes algériennes qui disent NON à l’esclavage de la loi islamique qui génère en plus  le harcèlement sexuel !

On lit dans Le Parisien.fr du 3 août 2017 :
« Plage de Sidi-Fredj, près d’Alger (Algérie). Porter un bikini sur la plage n’est pas interdit dans le pays. Mais c’est mal vu (sic) et la pression sociale (sic) s’intensifie. »

Le même harcèlement ou « loi du mâle »  sévit dans tous nos quartiers islamisés – en Seine-Saint-Denis, dans les quartiers nord de Paris ou de Marseille … dans toute la France.

Vive le Collectif des femmes sans voile  et son Comité Laïcité République !

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Cf. En Algérie, les femmes organisent « la révolte du bikini » BFMTV  Clothilde Bru 26.07.2017
Sur les plages algériennes, le bikini pourrait faire évoluer les mentalités   La Croix  Salomé Parent 19.07.2017
 Des « opérations bikini » contre le harcèlement sexuel en Algérie  Le Figaro Mylène Bertaux  20.07.2017

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15 juillet 2015

Et si les vraies citoyennes « féministes » françaises du XXI ème siècle étaient dans le Collectif des femmes sans voile d’Aubervilliers  ?

Par leur volonté, leur ténacité, leur persévérance, leur courage quand elles affrontent seules les intégristes, frères musulmans ou salafistes de Seine-Saint-Denis, elles sont exemplaires.

Alors qu’elles sont ignorées par les médias nationaux, presse- radios -télévisions privées ou publiques – régentés par des godillots  PS,

Alors qu’elles sont indignement lâchées  par un gouvernement Valls qui a fait « l’erreur 404 » d’effacer  de son site la belle présentation de  La  République se vit à visage découvert  : « Pour plus d’informations, un site internet est à votre disposition : www.visagedecouvert.gouv.fr. »
 

Alors que dans son rapport remis au Premier ministre en juin 2015, M. Malek Boutih écrit, p. 35 que
« le djihadisme est la partie la plus avancée de la radicalité politico-religieuse de l’islamisme« , que
« les islamistes ont élaboré une méthode pour s’implanter, élargir leur sphère d’influence et recruter sur tout le territoire » et p. 36 que
« la première étape du mécanisme de la radicalisation islamiste est de commencer par planter un drapeau, autrement dit afficher ouvertement l’existence d’individus radicalisés. C’est là le rôle du voile puis de la burqa ou des barbes non taillées et des vêtements traditionnels, voire de codes comme le port permanent de pantalons courts laissant voir les chevilles. » (…)

Aussi, le député de l’Essonne comme l’ancien maire d’Évry * savent-ils  depuis longtemps qu’autour de chaque femme en voile ou en burqa gravite une sphère d’influence islamiste et qu’une bonne application de la loi aurait mis au jour, dès les massacres de Merah en 2012, les réseaux de radicalisation.

Mais on le voit, le double langage des organisations islamiques de France a déteint sévèrement sur le député et le Premier ministre ; le premier ne tire aucun enseignement pour conseiller la plus grande fermeté vis à vis du respect des lois sur le voile et la burqa  qu’il nomme cependant  « drapeaux de l’islamisme », le second rejette la loi hors de son site parce qu’il a donné l’ordre de ne  pas l’appliquer.

Reniant la Déclaration des droits de l’homme et de la femme et les lois de la République, complice des frères musulmans et des salafistes de l’UOIF et du CFCM, le gouvernement laisse libre cours à l’islamisation ciblant les femmes, alors qu’il sait, comme nous, comment arrivés au pouvoir,  les talibans, Al-Qaïda, l’État islamique ou Boko Haram  les  traitent : après la burqa, les viols, la séquestration, le mariage forcé, l’esclavage sexuel, le vitriol pour celles qui veulent étudier, la lapidation, la pendaison… la mort.

Ce gouvernement depuis 2012, trahit les femmes laïques, libres, égales et fraternelles, qui défendent les lois républicaines et se battent contre ces « drapeaux de l’islamisme » en France.
Elles sont la fierté de la République française !
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*  Cf. « L’une à Kandahar, l’autre à Évry / 27.12.2009

Enfin,  l’on a retrouvé notre belle Marianne  illustrant la loi du 11 octobre 2010 entrée en vigueur le 11 avril 2011.

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27 juillet 2015     Apostille
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♠ C’est l’été, pensez ! un 22 juillet 2015,  dans le beau parc Léo Lagrange de Reims !
Comment imaginer qu’une jeune femme en maillot de bain interpellée aux cris de « Allez vous rhabiller, c’est pas l’été (sic) »  ait été agressée si brutalement par cinq filles,  qu’elle se retrouve au CHU souffrant de blessures justifiant quatre jours d’incapacité totale de travail  ?
Banale affaire pour la commissaire de permanence qui a précisé  à l’AFP que  c’est parce que « la femme ainsi interpellée ne s’est pas laissée faire [que] cela a dégénéré en violences.» Ben voyons ! quand on vous tape dessus, il faut se laisser faire !
Et le parquet de Reims affirme à la presse locale qu’il n’y a eu « ni mobile religieux [ni] mobile moral qui aurait déclenché l’altercation», donc pas de  bonne raison (sic). (Sources Le Figaro.fr 27.07 et Libération.fr 26.07.2015)

J’en conclus  simplement que cinq filles (musulmanes mais tolérantes – nous dit-on(!) qui voient une fille en maillot de bain ont une vraie mauvaise raison pour pratiquer un lynchage en règle de cette dernière : c’est pour la punir.
Et à Reims comme à Téhéran, le juge et la commissaire donnent raison aux matrones de la police des mœurs.

Et une fois de plus, un journaliste de Libération.fr épingle  la « fachosphère »- c’est-à-dire nous CHARLIE, citoyens fraternels –  qui pensons que faire mal pour faire peur et soumettre est une pratique criminelle de la terreur islamique.
Elle se met en place à Reims comme à Aubervilliers.

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♠  2.08.2017 Ajout de la note du  31 décembre 2016 dans  « La Seine-Saint-Denis, c’est comme au bled. »

Je ne pouvais finir l’année 2016
sans évoquer le naufrage de l’égalité des droits des femmes en Seine-Saint-Denis, et partout où s’est imposée par la menace de mort, la loi islamique de la soumission des femmes.

♠♠ Au moment où l’on apprend qu’en Afghanistan – à Latti, dans la province de Sar-e-Pul, au nord du pays, sous contrôle taliban- une  femme de 30 ans a été décapitée par une bande armée, « au motif qu’elle se promenait, seule, dans un magasin« (1) ; deux femmes avaient filmé à Sevran ♦(en caméra cachée) l’interdit qui leur était opposé  de s’asseoir dans un café.
Et pour qu’elles comprennent qu’elles n’étaient plus en France (sic) et n’avaient pas le droit d’être dans un lieu public,  le patron leur avait asséné la formule :  » Dans le 93, c’est comme au bled. »
À Sevran donc, un patron de café pour hommes musulmans, obéit exactement et en même temps,  à la même logique barbare que les talibans de Latti : aucune femme dans un lieu public.

Ainsi, à la question que je posais, le 19 novembre 2013 : « La Seine-Saint-Denis est-elle déjà un territoire d’Outre-République laïque? »(2), le patron (3) et ses clients avaient répondu OUI.
À Sevran, la loi républicaine ne s’applique plus,  c’est l’islam intégriste, c’est la loi du bled qui l’ont supplantée, et malheur à celles qui n’obéiront pas !

Ce soir,  F. Hollande  nous présentera  pour la cinquième et dernière fois, ses vœux de président,  on constatera une fois de plus, combien il excelle dans l’art de la tartufferie.
C’était déjà le cas, dans  ses confessions de coquefredouille sur sa pratique du pouvoir (4),  avec sa sentence sur  » la femme voilée d’aujourd’hui [qui] sera la Marianne de demain ».
Mais il a fait tout le contraire ; par l’absence de volonté républicaine assumée, et sur le détestable modèle de l’Arabie saoudite,  il les a laissées se soumettre à l’obligation du port du voile, quand ce n’est pas à celui de la burqa, alors que les menaces salafiste et frériste devenaient de plus en plus violentes.

Il faut bien constater l’impuissance de cette majorité de gouvernement PS depuis 2012, et se tourner vers l’exécutif du Conseil départemental de Seine-Saint-Denis, exclusivement PS-PC-EELV sous la présidence de M. Troussel PS, avec ses sept vice-présidents PS, et ses quatre vice-présidents PC-Front de gauche pour une transformation sociale et écologique.

Il y a bien une vice-présidente chargée de la jeunesse et de la lutte contre les discriminations et une conseillère départementale déléguée chargée de l’égalité femmes-hommes et de l’Observatoire départemental des violences faites aux femmes, mais nulle part, n’ont été défendues  l’idée que la citoyenneté des femmes est menacée, l’idée d’une « transformation sociale » vers  plus de liberté et d’égalité pour les femmes. L’exécutif en Seine-Saint-Denis a été et demeure totalement impuissant face au pouvoir des intégristes.

Pour la Primaire de la gauche de janvier 2017, où se présentent ceux qui ont contribué à ce déni de la République fraternelle et laïque, on attendra qu’ils nous déclarent :
… si,  oui ou non, en Seine-Saint-Denis, mais aussi partout en France, avec un président PS,  ils veulent pour notre avenir, que les femmes françaises, déjà exclues à Sevran,  subissent le même sort que cette jeune Afghane en décembre 2016, à Latti, chez les talibans …

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1   28.12.2016  Une Afghane décapitée  Baptiste Erondel   Le Figaro.fr

2 La Seine-Saint-Denis est-elle déjà un territoire d’Outre-République laïque?     19.11.2013