« Faut bien la préparer votre fête de mécréants »

Note du 9 décembre 2015 revue le 28 décembre 2015 
              ⇒   Note remise en avant le 5 janvier 2019 en pensant à l’année sanglante que fut 2015 en France

 Note mise en avant par L’ingénue le 29.12.2018, après les nuits de violences incendiaires et dévastatrices de « purge djihadiste » des forces de l’ordre, par des dizaines de cagoulés islamistes pour « fêter » Halloween en novembre 2018, à la veille de la Toussaint, et pour « fêter  Noël, la fête des mécréants » le 25 décembre 2018, à Joué -lès- Tours, « en hommage » au tueur Chérif Chekatt du marché de Noël, le 11 décembre 2018, à Strasbourg.
On remarquera que M. Castaner parle de Chérif Chekatt comme M. Cazeneuve parlait de Bertrand
(Bilal) Nzohabonayo.

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« …Faut bien la préparer votre fête de mécréants »avait écrit Bertrand (alias Bilal) Nzohabonayo sur sa page facebook, le matin du 18 décembre 2014 – deux jours avant de tenter d’égorger trois policiers – aux cris d’allah akbar  – dans le commissariat  de Joué-lès-Tours (Indre-et-Loire) ;  et il avait mis,  à côté de sa photo, le drapeau salafiste de l’État islamique.

Le drapeau des salafistes EST le drapeau de l'Etat islamique
Bertrand Nzohabonayo

Selon M. Cazeneuve, ministre de l’Intérieur qui s’était déplacé à Joué :  » Il était connu pour des actes de délinquance (3) ;  il n’était  pas connu pour son implication dans des actes terroristes et sa situation n’avait pas été judiciarisée ; il ne faisait pas l’objet d’un suivi particulier. »

Mais ce que M. Cazeneuve savait et qu’il tut :

– c’était  que son frère Brice Nzohabonayo était  fiché S par la DGSI, qu’ils se rendaient tous les deux souvent en Afrique. Le Service national de renseignement (SNR) du Burundi avait, dès 2013  « signalé  les deux frères – comme « suspects » à leurs homologues français, en raison de leur intégrisme religieux (3) ;
C’est d’ailleurs le SNR qui interpella le 20 décembre 2014, le jour même, Brice Nzohabonayo à Bujumbura. Il avait quitté la France avant le passage à l’acte de Bilal. Le SNR  et la police burundaise les surveillaient afin d’anticiper une préparation d’attentat sur leur sol.

– c’était que l’imam Mohamed François (4) de la mosquée de Joué, lieu de prières de la fratrie, était connu pour ses prêches haineux contre les mécréants, ses invitations d’imams radicaux, autant d’appels au djihad « local ».

Sur le moment,  l’enquête ouverte par le  procureur de la République de Tours, Jean-Luc Beck, s’était orientée  vers un attentat « motivé par l’islamisme radical (2), avec  la sous-direction antiterroriste de la police judiciaire,  la direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) et  la direction interrégionale de la PJ d’Orléans pour « des chefs de tentative d’assassinat et d’association de malfaiteurs en lien avec une entreprise terroriste « …

 Et…  il y eut la semaine sanglante du 7 au 9 janvier  2015

Que fit la Justice de M. Hollande et de Mme Taubira ? Rien.
Elle n’instruisit pas le dossier Nzohabonayo avec les trois directions de sécurité intérieure.
La Justice voulut  passer sous silence le parcours de l’agresseur français de 20 ans, chrétien converti et radicalisé à Joué,  et la gravité de l’attaque de  trois policiers blessés dans leur commissariat.
Elle fit semblant d’ignorer l’existence  des milliers d’autres Merah- Kouachi et Nzohabonayo  convertis et/ou radicalisés dans les quartiers « sensibles » et dans les prisons.
Et  le jeudi 2 juillet 2015, le procureur de la République de Tours  annonça  qu’il classait  l’affaire sans suite.

Alors que tous les signaux d’alerte étaient allumés, la Justice de M. Hollande et de Mme Taubira n’était que non-assistance à citoyens en danger.

Mais aussi, quel bel encouragement pour les islamistes de Tours, après l’ordre de l’État islamique sur facebook  d’« exporter la guerre dans les rues en France ».
Cela ne tarda pas.
À l’approche de la fête nationale, dans la nuit du vendredi 10 juillet 2015, un  incendie  embrasa  des tas de vieilles traverses  sous le pont de chemin de fer de l’avenue de Grammont à Tours, supprimant toute circulation de trains, voitures, trams et bus et occasionnant des travaux qui durèrent jusqu’en septembre pour un montant en millions d’euros (5).

C’est ainsi que le même procureur de la République de Tours, neuf jours après avoir classé l’enquête  sur l’attaque islamique de Joué, ouvrit une nouvelle enquête.
On ne trouvera aucune occurrence de cette enquête, ni d’une quelconque recherche des incendiaires. Le procureur  dira tout comme Noémie G. dans son article de France bleu.fr « Le feu est parti des traverses de bois » (6). L’affaire sera classée sans suite….

….. Cependant nous connaissons la suite sanglante de cette guerre contre nous, les mécréants, dans la nuit du vendredi 13 novembre 2015  dans les rues de Paris, les cafés, les restaurants, les terrasses, au Bataclan  et à Saint-Denis,  et qui  fit  480 victimes.

Pour terminer sur l’incendie du pont, il faut savoir qu’il se trouve dans le quartier du Sanitas (sensible, comme classé S par la DGSI ) qui a connu des émeutes et des voitures brûlées fin 2012. On y trouve le même islam radical qu’à Joué, à La Riche, à Saint-Pierre-des-Corps etc. Les salafistes  et les prédicateurs du Tabligh y font partout du porte à porte (1). Les femmes en burqa et voiles noirs sont leurs étendards djihadistes ambulants.

Et l’on trouve avec Mohamed François, l’exemple d’un imam qui prêche pour  déchaîner cette fureur incendiaire, à l’approche d’une fête nationale, ou  d’un jour férié lié à nos traditions chrétiennes, ou simplement le 31 décembre et la nouvelle année fêtée partout dans le monde.
Ainsi dans sa vidéo « information culte musulman / ICM – avec le titre : « Qu’as-tu préparé pour ton réveillon ? » (4)
L’imam brandit la menace. Il rappelle la fatwa dans les pays musulmans : « Sachez que la célébration d’une fête qui n’est pas la nôtre (…) fait de nous des gens qui appartiennent à une autre communauté. (…) Comment peux-tu oser fêter une fête qui n’est pas la tienne et qui ne correspond en rien à tes références religieuses ?

Donc, mon frère, ma sœur, je te conseille (…) la crainte d’allah en ce 31 décembre, ne réveillonne pas, ne fais pas partie des gens qui célèbrent cette fête, par laquelle dieu n’a fait descendre aucun texte, ni aucune preuve. (…)     Sinon ?
Rappelle-toi qu’il y a trois fêtes : l’aïd-el-fitr (…) l’aïd oul afta (…) et l’aïd oul aouzbour (…)  aucune autre fête n’est légiférée en islam, ceci est un rappel pour toi mon frère et toi ma sœur. »    Sinon ?

Voilà un prêche explicite, illustré par la séquence au début de la vidéo, où l’on voit d’abord une voiture qui flambe, puis un mécréant (ou koufar), se servant un verre, ensuite de bons musulmans hurlant allah akbar, suivi d’un fondu enchaîné pour suggérer le lancement d’un cocktail Molotov sur une voiture qui s’enflamme !

L’imam ne l’a pas dit mais  il rappelle que le devoir du musulman est de brûler et tuer ce qui est d’une autre communauté – notre nation française donc chrétienne- alors qu’elle est laïque-  qu’il doit haïr et dévaster.

Voilà le message fort  des imams des mosquées, des rues, et des prisons.
Voilà ce que les chefs religieux des organisations islamiques de France nomment dans leur double langage  « leur bien vivre ensemble en France » mais sans nous.
 Se  pourrait-il  encore que les djihadistes « locaux et/ou envoyés »  nous préparent bien  Noël, et bien le 31 décembre 2015 ? …en attendant de nous souhaiter une bien bonne année 2016 mais  sans nous,  façon an 3 de la terreur islamique ?

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Sources :

1   À Tours, les renseignements surveillent une quinzaine d’extrémistes potentiellement dangereux  /Pierre-Alexandre Bouclay   22.12.2014 Valeurs actuelles

Portrait de Bilâl Nzohabonayo, l’auteur de l’attentat contre trois policiers de Joué-lès-Tours   /Jean-Patrick Grumberg  21.12.2014 Dreuz.info

3   Le frère de l’assaillant de Joué-lès-Tours arrêté au Burundi /  Libération AFP 22.12.2014
Nota  Les chefs d’inculpation de Bertrand Nzohabonayo étaient  : « Trafic de stupéfiants, extorsion, vol et recel »  –  comme les fils des ministres Fabius, Taubira, Touraine, et celui de l’ex-favorite Trierweiler.  Cela expliquerait aussi  les manquements graves d’une justice  aux ordres du pouvoir.

4   La grande mosquée de Joué-lès-Tours, où le terroriste Bilal Nzohabonayo s’est radicalisé   / Alain Léger  Dreuz.info  21.12.2014
« Qu’as-tu préparé pour ton réveillon ? »
demande l’imam Mohamed François.

5   L’incendie d’un pont isole Tours sur la route des vacances  /La Nouvelle République.fr Synthèse Denis Daumin, enquête François Bluteau   12.07.2015

6   La circulation va rester perturbée après l’incendie qui endommage le pont de Verdun  /France Bleu Touraine  Noémie Guillotin 11.07.2015

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