« Du calame à l’écran tactile » – Regard critique sur l’astrologie

« Du calame à l’écran tactile », Bernard Pacory. Éditions Amalthée. 174 pages

Article de Pascal Landré : De l’astrologie au charlatanisme (NRCO- La Nouvelle République du Centre-Ouest / Indre-et-Loire) /13.03.2013

 « Bernard Pacory publie là son premier essai, dans lequel  il entend « démonter la mécanique de l’astrologie.»

On se demande encore pourquoi l’éditeur Amalthée, a refusé de faire suivre  le titre « Du calame à l’écran tactile » du sous-titre prévu par  l’auteur « Regard critique sur l’astrologie » parce que le propos de Bernard Pacory, ingénieur informaticien retraité, est on ne peut plus clair : démystifier l’astrologie par l’explication scientifique. Ce féru de sciences et de techniques a toujours voulu comprendre le fonctionnement du monde qui l’entoure.

 Après une discussion un peu animée sur les horoscopes, il décide de s’intéresser à l’astrologie. « Je n’y connaissais rien, c’était un sujet qui m’était indifférent. Du coup, j’ai voulu tout savoir et j’ai lu sur le sujet, toutes sortes d’ouvrages, pendant un an et demi. » Sa conclusion ? « L’astrologie est plus qu’une superstition, c’est une légende qui est devenue une croyance et qui, de tout temps, a profité à des charlatans. »
En opposant la science à la religion, la physique aux croyances, dans son souci de vérité, Bernard Pacory a mené une démarche pragmatique, non dénuée d’une certaine forme d’impertinence. Il  s’appuie sur l’histoire des constellations depuis l’Antiquité, les signes, planètes ou maisons, les concepts utilisés par l’astrologique ici inventoriés, présentés, expliqués.

L’auteur  admet que son propos qui entend « démonter la mécanique de cette croyance qu’est l’astrologie, pourra paraître polémique. C’est même presque blasphématoire, car c’est un acte militant, qui va au-delà de la simple observation. J’ai repris une phrase de Camille Flammarion qui disait que si l’astronomie est la première des sciences, l’astrologie est la première des religions. C’est une croyance. »

Voilà un essai qui entend démystifier l’histoire multimillénaire de l’astrologie, par la démonstration des connaissances. Et qui devrait rencontrer un large public, non seulement parce que l’ouvrage est facile à lire, mais surtout parce qu’il traite d’un sujet qui touche l’immense population de celles et ceux qui s’intéressent quotidiennement à leurs « horoscopes » mais ignorent à peu près tout de la pseudo-science qui se cache derrière. »

 

         

   Pour toute  information  sur le livre (14 euros – port compris),

utiliser le formulaire de contact sur  le site de l’auteur Jours de fête.fr

 

Arte, la chaîne bilingue : français – argot

16 novembre 2012

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Le mauvais goût *de la chaîne franco-allemande Arte est tenace.
On le retrouve dans l’émission : 28 minutes menée tambour battant par Élisabeth Quin qui a le style hautain d’une comtesse doublée d’une Oberführerin.
A l’heure où les enfants sages sont couchés, elle officie avec sa petite troupe qu’elle mène à la baguette, comme d’ailleurs ses invité(e)s  qu’elle interrompt à tout moment … parce que la vedette, c’est elle !

Ce 14  novembre 2012, son invitée était Mireille Ballestrazzi, nouvelle présidente d’Interpol, que Julien Dugast dans sa  rubrique « La une du jour » présenta à sa façon.
Dans son commentaire du défilé d’images, il claironna que Mme Ballestrazzi était « un grand flic »/on  échappa de justesse au grand keuf / puis il nous  interpella, ignorants que nous sommes :  » Mais vous allez m’ dire ques aco Interpol ? « , avant  de nous en présenter le site  : «  Attention, ça envoie ! » suivi d’un  » À Interpol, on s’la donne façon minority report  » avec un gros accent  de cow boy.
Ainsi le journaliste  manifestait  sa posture vis- à- vis de la répression des trafics internationaux de drogues et d’armes de guerre en minimisant, voire en ridiculisant son sujet.

Quelques instants plus tard, j’ai retrouvé Élisabeth Quin, en entretien avec Gustave Kervern, co-réalisateur avec Benoît Delépine, de  Mammuth (2009) co-produit par Arte France Cinéma  … et au programme de la soirée…

…. De telle façon que Mammuth et  Gérard Depardieu,  accompagnés d’une avalanche d’argot infligée par la si distinguée journaliste, n’en parurent guère  ragoûtants. Nous eûmes droit  à la touche far west du  » road trip  » et  » du road movie « , puis   » aux paperasses « ,  «  aux  picaillons « ,  » au  pajot « ,  » au  boss  » , pour finir par l’annonce alléchante, et tellement française,  «  il chat’ra  » .

                   De fait, Arte serait même trilingue, français-argot-bobu.

         Arte  a toujours le mauvais goût de penser que la culture pour le Grand Public doit être vulgaire, banale et bête. Le « petit peuple des médias » ne pensant égoïstement qu’à ses droits en espèces sonnantes et trébuchantes, oublie le respect de ses  devoirs envers le Peuple citoyen,  pour lequel il a le même mépris que Louis XVI et Marie-Antoinette !

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* Le mauvais goût du «Arte Webslam»

Le juron favori

 Note du 27 octobre 2012 / revue le 30 octobre 2015   

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La nouvelle série policière Caïn de France 2 m’était apparue intéressante dans ses premiers épisodes avec des scénarios ne nous infligeant ni trop d’autopsies ni trop de sévices, et des dialogues ne manquant ni d’esprit ni d’humour. Elle renouvelait le genre, nous changeait  de la balourdise ordinaire qui nous est servie à longueur de fictions, dont l’interminable « Plus belle la vie » est devenue l’archétype commercial pour les producteurs.

La mauvaise surprise m’attendait à l’épisode 7/8 Otages /26.10.12 pour lequel on nous avait concocté le sinistre meurtre d’un professeur de lycée des «  quartiers nord » de Marseille, achevé par sa collègue et amie, après avoir été furieusement battu par deux élèves, dont l’un – mineur- avait «fréquenté» la dite collègue … bref,  le réalisateur -scénariste pensait nous brosser un tableau  banal de notre jeunesse et de notre vie  en France.

Alors, comme le policier Fred Caïn était pris en otage par les deux garçons, nous avons eu droit pendant 52 minutes à un flot compulsif – une bonne cinquantaine de fois,  de  « putain – et casse-couilles » (1) – en alternance avec  » casse-couilles – et putain   »  pour exprimer toutes les nuances de leur réflexion ; la  variante   étant l’emploi subtil du verlan te-bé.  

Ce défoulement pathologique qui fait cracher sans répit le mot  « putain »  aux petits mâles (2),  en dit long  sur le niveau de respect qu’ils ont pour la gent féminine, considérée en permanence avec le mépris que l’on doit aux prostituées – dont pourtant la gent masculine – de l’ex -patron du FMI, ex- candidat favori des primaires PS, au petit peuple des  footballeurs, est si friande.

Nos « stars »,  millionnaires dans la catégorie « rap et  slam » – nouvelles « idoles » et références académiques de la langue française pour nos très savantes femmes ministres de l’Éducation nationale et de la Culture)-. répliqueront que « putain» rime bien avec « purin» et  «crottin». Je pense surtout que « putain  » rime avec « crétins » !

Mais enfin, s’il fallait jurer en crachant, comme des hommes, trafiquants, charretiers ou députés, on pourrait  prendre de la hauteur (sic)  dans les conversations, avec les bons vieux jurons d’antan qui, s’adressant à dieu, n’incriminaient point les femmes.

Bien sûr, les tenants des monothéismes triomphants  du XXIème siècle : évêques, rabbins ou imams crieraient au blasphème et menaceraient  à nouveau leurs ouailles du feu de l’enfer.
♠♠ J’entends déjà les imams islamistes du Val d’Oise enseigner à leurs frères, qu’avec le mot « putain » en français ou en arabe, ils ne risquent rien,  et que,  bien au contraire, jurer – comme on crache – sur un nom de femme est une  bonne façon, agréable pour eux, comme  pour dieu et son prophète, de les inférioriser à chaque fois, un peu plus … tout en gagnant son paradis.

                     Ah ! nom de dieu !

 

                                  Moralité

La politesse et le respect de l’autre voudraient que l’on s’abstienne de tout écart de langage et de toute imprécation. Mais puisqu’il faut se prononcer sur la vulgarité ambiante, j’ai donc, en cas d’émotion, un faible pour le  «sacré nom de dieu »  que l’on peut raccourcir de façon plaisante en « nom de dieu» ou en « bon dieu ».
… Comme dans quelques couplets de chanson de salle de garde (3)

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1  Pour nommer le défunt professeur.
2  Les filles, pour  être les égales des garçons dans la  vulgarité (?) ,  les imitent et en rajoutent.
En se cachant derrière les jurons sexistes et le verlan – version infantilisante se voulant subversive de l’argot des truands – filles et garçons manifestent leur fuite devant les vrais mots de la pensée rationnelle et humaniste. Cette vieille habitude (hébétude)   du « rap- slam– dans- les- écouteurs », qui bafoue (bafouille) la langue française, les enfonce jour après jour dans le crétinisme des auteurs.

3 France culture Avec ou sans rendez-vous  17 juillet 2012 (rediffusion du 28 décembre 2010)   Histoire de la salle de garde
Olivier Lyon-Caen recevait Patrice Josset auteur de La salle de garde. Histoire et signification des rituels de salle de garde du Moyen Age à nos jours  (Le léopard d’Or, 2010)

           chanson  interprétée par Les Frères Jacques
Premier couplet
« Au fond de l’Hôtel-Dieu   Nom de Dieu
  Y avait une surveillante (bis)
Solo Qu’avait tant d’amoureux Nom de Dieu
         Qu’elle ne savait lequel prendre Ah Nom de Dieu
Refrain
Sacré Nom de Dieu
quelle allure Nom de Dieu
Sacré Nom de Dieu
quelle allure ! » (bis)

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Notre précieuse jeunesse est en danger

27 août 2012  – note revue le 19 mai 2021

 

Note revue le 15 février 2013   …  À  Marseille,  à  Lyon , à  Paris  …    et dans toutes nos campagnes…  et dans toutes nos banlieues …   

Nos belles et bonnes villes de Marseille, Lille, Lyon, Rennes, Nantes, Toulouse ou Paris, puent la drogue et en crèvent.

 

            En 2012 comme en 1792   …

Certes en 1792, le danger venait des monarchies autrichienne et prussienne, alliées du roi Louis XVI  et de la reine Marie-Antoinette, alors tante de l’empereur d’Autriche Joseph II . . .


     Mais en 2012 « l’étendard sanglant» (1)  est celui des « haschischins » ces autres assassins, ces soudards de la drogue : le cannabis  qui arrive chaque jour du Maroc, comme la cocaïne d’Amérique ou l’héroïne d’Afghanistan, grâce aux soutiens politico-mafieux des ennemis de notre démocratie.

Ces soudards droguent et enrôlent les mineurs, les mettent aux avant-postes pour «guetter» les policiers, nos gardiens de la paix.

Nommés « prophètes (2) » après leurs séjours en prison et les prêches haineux de l’imam intégriste de service –  par le cinéaste J. Audiard,  ils furent acclamés en 2009 et en 2010, par « le petit peuple ultra -drogué  des médias » du Festival de Cannes et des César.

Leurs armes de contrebande
(par dizaines de milliers)  servent à braquer les banques  – à tuer  ceux qui oublient  le respect dû aux  chefs multirécidivistes – à  saigner les pègres rivales.

♠ Toute cette racaille est  la base du recrutement des réseaux terroristes  islamistes –exemple : le sinistre Mohamed Merah.

J’entends  ceux  qui nous servent le retour du religieux au XXI ème siècle.
Depuis des millénaires, les dogmes religieux ont été, ou sont toujours,  la fausse bonne conscience hypocrite des pouvoirs politiques.


      Les intégristes islamistes  promettent le paradis  aux  tueurs,  en condamnant  des millions d’innocents à vivre dans l’enfer de la terreur et de la charia.

                   Cherchez les bienfaits du retour du religieux !

      

     Jusqu’à quand les élus du peuple, les maires, les conseillers départementaux et régionaux, les députés, les sénateurs, les ministres, les présidents, et les élus des dieux, les cardinaux et les imams, se raseront-ils tous les matins, sans jamais penser à la pourriture qui gagne notre société (3) :

♦    à l’illettrisme,
♦♦  au crétinisme,
♦♦♦  à la démence, à la violence, à la mort qu’engendrent ces drogues
?

Notre précieuse jeunesse est en grand danger.

♠  Le président Hollande, conseillé(euh) par -Mme Duflot et les Verts  – MM. Boutih et Vaillant – et tous les drogués au pouvoir et dans les médias depuis trois générations – osera-t-il dépénaliser le cannabis pour démultiplier sa consommation, les décrochages scolaires, le crétinisme et les violences dans les  collèges et les  lycées  ?


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1     On pourrait transposer La Marseillaise de 1792 –

Ce serait  La Marseillaise 2012  pour  la jeunesse en danger de cinq arrondissements de Marseille, «territoires de non-droit républicain :
le Vème – le  XIII ème – le XIV ème – le XV ème et le XVI ème»,

résultat du lent pourrissement des politiques de MM. Gaudin et Guérini :


«
(…) Contre nous (de la tyrannie)  de la truanderie
           l’étendard sanglant est levé
 (bis)
Entendez-vous dans nos
(campagnes) quartiers
           mugir
(ces féroces soldats)  ces sinistres vauriens (…)»
Ils viennent jusque
(dans nos bras) dans nos caves 
installer leurs immondes trafics
…»
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2  Un prophète de J. Audiard – voir  ma note du 18 septembre 2009 :

Un prophète de mauvais augure

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3  L’inertie des gouvernements, et des ministères de l’Éducation nationale et de la santé,
devant les ravages du cannabis sur l’intelligence, est  sidérante.

♦  Illettrisme :

On note  rapidement un décrochage chez  les collégiens fumeurs de haschisch : « des troubles de la mémoire à court terme ou du langage, de l’attention, de la coordination perceptivo-motrice Les premiers signes sont un désintéressement vis-à-vis de l’entourage, et une diminution des performances scolaires ou professionnelles.» ». (Professeur Nordmann de l’Académie nationale de médecine) .  Cf. La nullité stupéfiante des médias face à la dangerosité du cannabis (29 juin 2010).

♦♦ Crétinisme :

• Baisse régulière du quotient intellectuel chez celles et ceux qui consomment du cannabis depuis le collège ( étude de Dunedin néo-zélandaise, américaine et anglaise sur une cohorte de 1037 enfants nés en 1972-73 – dernier test en 2010 : les fumeurs de cannabis réguliers depuis l’adolescence, ont perdu jusqu’à 8 points de QI (quotient intellectuel).

•• Diminution du cortex préfrontal  donnant des troubles de prise de décision et de contrôle de l’impulsivité  (étude du Professeur Churchwell de l’université de l’Utah en 2010). etc.

♦♦♦  Démence «Deux fois plus de troubles mentaux chez les fumeurs de cannabis » (étude de l’Office central néerlandais des statistiques rendue publique le 4 octobre 2010).

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A Nanterre, procès du petit peuple stupéfiant de la « culture » et des médias

»    ♦  Note  modifiée le 25 août 2012       _______________________

On avait remarqué, dans ce bloc-notes, l’admiration béate, stupéfiante du petit peuple ( people) du spectacle, de la culture, des arts et des médias envers le monde des trafiquants de drogues à l’école du grand banditisme dans un univers carcéral.
Le  film de J. Audiard, Un prophète avait en effet reçu, sous leurs acclamations, le Grand Prix au Festival de Cannes en 2009.
 Les journalistes, critiques de cinéma, avaient fait ensuite tant de louanges du film, dans de dithyrambiques articles, que l’on aurait pu penser à une sorte de reconnaissance  de leur part.
Et puis vint encore la reconnaissance de la corporation du spectacle avec Les neuf César stupéfiants que décrocha le film en 2010.
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    ♦ ♦           Deux ans après, il est intéressant de voir le traitement (mièvre et gentillet) de l’information sur les trafics et les usages  de la cocaïne dans et par le petit peuple des médias.

              Dans le journal Le Monde* lors du procès **de Jean-Luc Delarue pour «détention et acquisition de stupéfiants», les fournisseurs sont appelés «cinq petits trafiquants de 24 à 29 ans » même si leur chef, Farès Boughediri empoche  90 000 euros (96 000?) par an grâce à M. Delarue.
Ce dernier interpellé en septembre 2010, est toujours présenté comme le «client vedette (sic) qui, « outre son statut de VIP célèbre et riche consacre jusqu’à 8 000 euros par mois à son addiction à la cocaïne.» 
La seule dont on apprendra le nom est une galeriste consommatrice et  complice de Farès Boughediri.

»    ♦     Les autres  « petits trafiquants » ainsi que les douze consommateurs-clients
(évidemment on ne dit ni petits ni camésresteront dans un très pudique anonymat.
Bien sûr, ce serait maladroit de se fâcher avec l’un ou l’une d’entre eux ! »    ♦    Ce n’est que du beau monde : « des directeurs artistiques, des publicitaires, des directeurs de marketing, des producteurs, des galeristes, des agents de mannequins.»  »    ♦  
Alors comme disent les malfrats et autres tueurs de banlieue : respect.

              Dans Le nouvel Observateur*** encore plus prudent, on tait la profession des clients, mais M. Delarue reste «la star du petit écran». Par contre l’on apprend le surnom du chef et les codes pour les commandes de cocaïne.
«La drogue étant ensuite livrée à domicile par un fournisseur attitré (sic) Osias Anderson, 25 ans (récidiviste) déjà condamné en 2008 pour trafic de stupéfiants, [qui] a refusé [ omerta de la mafia ] de dire aux juges où il se procurait la précieuse (sic) poudre blanche».
 

             Quant à France TV info ****elle se contente de reprendre le premier article, en ne citant que le nom de Farès Boughediri.
Loi du silence ou omerta, comme à Naples ou à Villiers-le-Bel, pour  »    ♦   taire les noms des autres trafiquants et/ou les professions des personnalités que l’on invite régulièrement sur les plateaux de télévision…

La justice toujours clémente a requis de fortes amendes et des peines de prison de six mois à deux ans ferme contre les cinq hommes ; une  amende de 15 000 euros  et une peine de quinze mois avec sursis pour la galeriste. »    ♦ Des peines  requises contre « les directeurs artistiques, les publicitaires, les directeurs de marketing, les producteurs [de cinéma , de spectacles et de télévision], les galeristes, les agents de mannequins.»  on ne saura rien    ♦  

Le trafic de cocaïne, ses mafieux et ses consommateurs ont de beaux jours devant eux
…  Avec la garantie de la bienveillance de la justice française : la multirécidive sera même encouragée par  Mme Taubira  ministre de la justice du gouvernement PS.

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*Le dealer (revendeur) de cocaïne de JeanLuc Delarue décrit les exigences de son client vedette  Yves Bordenave Le Monde 4.07.2012
»    ♦    **Pour M. Delarue, malade d’un cancer de l’estomac et du péritoine – »    ♦    mort le 24 août 2012- »    ♦   le procès avait été renvoyé au 1er février 2013.
Cf. ma note  »    ♦   La répugnante recette de la cocaïne  et la page  »    ♦  Lexique de «people à trash – sniffer»
***  Nanterre : procès d’un vaste réseau de revendeurs de cocaïne sans l’animateur Jean-Luc, jugé en février 2013  Paris AP 2.07.2012
**** Delarue, un client « très pressé », selon son dealer (revendeur)  France TV info 3.07.2012