La patrie en danger – Nous sommes Samuel Paty

  4 – 10 février-  7 mars 2021note revue le 22 novembre 2021

 La  monstrueuse terreur islamique serait-elle plus puissante que notre République française, trahie par le misérable projet de loi Macron,  « confortant », non pas comme il dit, « les principes républicains », mais l’islam politique du  Conseil  français (?) du culte musulman*, dans le massacre des citoyens et de notre laïcité.  

Aurons-nous le même courage républicain qu’en 2015 ?

Celui que nous avions pour dire en 2015 : « JE SUIS CHARLIE »
pour défendre la liberté de penser, avec Charlie Hebdo,
 afin de défendre toujours la laïcité comme Samuel Paty,
dans  nos établissements scolaires laïques.

Aurons-nous encore  le même réflexe de courage républicain en 2021 ?

Face à la lâcheté  des  députés  d’une République -en- panne * *
Face à la lâcheté des membres du Conseil d’État
Face à la lâcheté du gouvernement Castex
Face à la lâcheté du président Macron

Le  courage de dire haut et fort :

 NOUS SOMMES SAMUEL PATY

NOUS SOMMES  CITOYENS
D’UNE RÉPUBLIQUE LAÏQUE,  DEPUIS
116 ANS

Nous  exigeons l’expulsion immédiate de tous les imams salafistes et frères  musulmans, celle des milliers de fichés S djihado-terroristes et celle de tous ceux qui sont sortis de prison depuis 2019 et ceux qui en sortiront en 2021. 

 LA PATRIE EST EN DANGER :

Un dispositif militaire doit pouvoir accompagner policiers et gendarmes dans la lutte contre le terrorisme islamique et sa subversion incendiaire, son vandalisme sans limites, toutes les nuits, dans toutes nos villes, autour de ses trafics de stupéfiants qui l’enrichissent pour acheter des armes de guerre.

  PARTOUT EN FRANCE

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Cf.  L’article de C. Ardid :  Pas de collège Samuel-Paty à Ollioules (proche de Toulon)  
p.4  Charlie Hebdo n°1489 / 3 février 2021

Extraits : « ( …) Nous avions obtenu l’accord de la famille du défunt, explique Robert Bénéventi, maire LR d’Ollioules. Même chose pour le conseil général, qui gère les collèges. Unanimité au sein du conseil municipal, à qui je souhaitais proposer une délibération samedi dernier. Et puis, tout s’est effondré.»
Sans avertir le maire, le principal de l’établissement lance un sondage en interne sur le site Pronote.
Les résultats tombent : 100% des profs, 89 % des parents et 69% des élèves refusent que leur collège [Les Eucalyptus] soit rebaptisé Samuel-Paty.
« Ça veut dire quoi , s’indigne Robert Bénéventi, que les terroristes ont gagné ? »
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* Lire aussi l’ article de Laure Daussy :  Conseil des imams – Le recteur [Chems-Eddine Hafiz] de la Grande mosquée de Paris, écœuré, lâche l’affaire
p.4
 Charlie Hebdo n°1484 / 30 décembre 2020
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* * Créée le 14 novembre 2019, à l’initiative du groupe Les Républicains,  la commission d’enquête du Sénat sur les réponses apportées par les autorités publiques au développement de la radicalisation islamiste et les moyens de la combattre a conduit ses travaux pendant huit mois.
Cf.  7 juillet 2020 Le rapport de Mme Jacqueline Eustache-Brinio :
Radicalisation islamiste : faire face et lutter ensemble
n°595 tome I (2019-2020) – 
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Cf. par  L’ingénue – 26 juin 2012   Un « printemps djihadiste » en France 

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Pour Samuel Paty, l’hommage de J. Jaurès, et celui des collégiens de Biguglia

25 – 27 décembre 2020 4 février 2021 note mise en avant le 15 octobre 2021

                   Note remise en avant, ce 15 octobre 2022. 
L’émotion est toujours aussi forte, deux ans après la mort de Samuel Paty.

Comme elle l’est pour les proches de toutes les victimes, depuis le début de ce sanglant XXIème siècle, qui résonne toujours du commandement de Mahomet, prêchant en 632 « la guerre sainte » contre tous les « païens », après avoir éliminé les juifs de Médine en 627.
C’est ainsi, que jour après jour en France, les islamistes mènent une guerre larvée contre tous les citoyens « païens » que nous sommes.

Ils vivent en France mais ils s’érigent en adversaires criminels de notre République française indivisible, laïque, démocratique et sociale.
Ils refusent, ils haïssent la laïcité qui assure pourtant la liberté sans discrimination, l’égalité et non la soumission, la fraternité pour l’avenir de notre nation.  
L’hommage qui sera rendu à Samuel Paty ne pouvait qu’exciter une fois de plus leur haine contre notre laïcité.
C’est ce qui s’est passé le 4 octobre 2022 pour un professeur
du lycée Scheurer-Kestner de Thann (Haut-Rhin) menacé de mort par l’oncle d’une élève, après un cours sur la laïcité ; et le 10 octobre 2022, pour un professeur destinataire d’un courrier adressé au lycée Georges Brassens d’Évry-Courcouronnes (Essonne), en ces termes :
                            « Votre professeur le sale juif  
                                doit arrêter de faire le malin.

                                On va lui faire une Samuel Paty à lui
                                et à son père le vieux rabbin sioniste.       
                                Les juifs on n’en veut pas dans les lycées.
                                Restez dans vos synagogues.
                               On va s’occuper de lui à la sortie du lycée. »

Lire « Les Territoires conquis de l’islamisme » 
sous la direction de Bernard Rougier /Presses Universitaires de France / 2ème édition, janvier 2021
Cf. p. 15 de l’Avant-propos :
« (…)
  l’ouvrage illustre (…) la cohérence du travail idéologique conduit par les islamistes sur une partie significative de la population musulmane en France, en particulier auprès de la jeune génération. (…)
Cette étude (…) explique pourquoi (…) « 74 % des Français musulmans de moins de 25 ans affirment placer l’islam devant la République. » [ Sondage IFOP pour Charlie hebdo et La Fondation Jean Jaurès, 2 septembre 2020.]

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En cette terrible année 2020, en ce temps de pandémie covid-19, il aura fallu, que jour après jour, dans tout le pays,  se démultiplient les assassinats, aux couteaux, aux marteaux, aux hachoirs, aux armes de guerre, tous les saccages, tous les incendies de voitures et de bâtiments publics, toutes les violences criminelles  de la minorité subversive anarcho-djihadiste (1).

Le peuple français  est leur cible.
Notre patrie est en danger . . .  et  le sang des citoyens en est le prix . . . dans l’indifférence totale de Macron, celui qui,  le 7 mai 2017, avait dit : « 
Je vous servirai avec amour (!)  »  alors qu’il ne voulait  qu’une majorité servile de députés.  

Et encore, le 16 octobre 2020, la décapitation de Samuel Paty, professeur d’histoire-géographie, près de son collège à Conflans-Sainte-Honorine, exécuté par un islamiste tchétchène Abdoullakh Anzorov, et ses complices  en France :  trois  djihadistes  pour acheter  les couteaux à Rouen, le père d’une élève du collège, des collégiens (futurs djihadistes ) pour désigner le professeur , un imam pour la fatwa de la mosquée de Pantin.

On ne pardonnera pas à Macron l’incohérence de son discours de la Sorbonne du 21 octobre 2020 (2). [ discours suivi le 29 octobre 2020 par deux égorgements et une décapitation de trois personnes, par l’hydre islamiste dans la Basilique de Nice.]

Le protocole de mise en scène de cérémonies d’hommage aux innocentes victimes de la terreur islamique est devenu pour Macron, «une banale routine», informé  qu’il est, depuis janvier 2020, par « la Direction générale de la sécurité intérieure  (DGSI)  des 150 quartiers [a minima] sous l’emprise de l’islam radical  » en France (3).
Il y fut égal à lui-même, lamentable ; comme le seront sa loi « dite de la sécurité globale », et son projet de loi sur  « le séparatisme (?)« , nouveau nom pour ne pas dire « djihad de  l’hydre islamiste »  contre la République laïque. 

Il avait pourtant clamé  « sa vigilance face à l’hydre islamiste » dans  son discours du 3 octobre 2019 (4) à la Préfecture de police de Paris après les égorgements de quatre policiers par Mickaël Harpon selon la fatwa de la mosquée de Gonesse (Val d’Oise).
[Alors que dans son discours  du 7  mai 2017 (5 ),  il  se déclarait notre « humble serviteur », on sait désormais qu’il est celui de son Conseil islamiste français (?) du culte musulman auquel l‘expression « hydre islamiste » aura déplu.] 

Un an après, le 21 octobre 2020, Macron le lâche a commencé par :

« Ce soir je n’aurai pas de mots pour évoquer la lutte contre l’islamisme politique, radical, qui mène jusqu’au terrorisme (?). Les mots, je les ai eus (?). Le mal, je l’ai nommé. Les actions (?), nous les avons décidées (?), nous les avons durcies (?), nous les mènerons jusqu’au bout (?). »

Pour oser dire à la fin :
« Alors, pourquoi Samuel fut-il tué ? Pourquoi ? Vendredi soir, j’ai d’abord cru à la folie aléatoire (?), à l’arbitraire absurde (?) : une victime de plus du terrorisme gratuit (??????)…»
Il a osé dire cela. 

Selon lui,  ayant déjà réglé le problème de  la sécurité des Français, il  pouvait faire celui qui s’étonnait comme un simple d’esprit, en disant qu’il n’y comprenait plus rien !

⇒  C’est surtout parce que notre paix civile violentée, jour après jour, depuis 2012 par les barbares islamistes, et aussi depuis 2017 par les black bloc et autres forcenés ne l’a jamais  concerné.

 Lui, qui avait été financé par des milliardaires pour obéir à leur ordre mondialiste, sous leur étendard de « la grande peur climatique ».

Lui,
chantre de « la transition écologique » qui avait été leur protégé, face aux désastres de notre  patrimoine national, à  ces pollutions monstrueuses, que furent les incendies djihadistes de Notre-Dame de Paris, le 15 avril 2019 et de l’usine Lubrizol, à Rouen, le 25 septembre 2019.

Lui, qui facilite les licenciements massifs, indifférent à la désespérance des chômeurs et à la paupérisation programmée des retraités dans son projet de réforme, pouvait déclarer :  « Tout cela n’est pas mon affaire ».
Car lui, sous « le haut- commandement allemand et américain de L’Union européenne » est déjà passé au projet Hercule de démantèlement d’ EDF,  qui mettra fin à la souveraineté énergétique de la France, en fragilisant le nucléaire français, dont il a déjà, sous leur ordre,  fermer la centrale  de Fessenheim  . . . pour rouvrir, « sans avoir peur », des centrales à charbon … comme celle de Saint-Avold.


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Enfin, retrouvons en cette période de Trêve des Confiseurs,  notre belle jeunesse des écoles, des collèges et des lycées, et leurs professeurs.

    En hommage au professeur Samuel Paty, le 2 novembre 2020,  elle a entendu la lecture d’un extrait de l’article vibrant du professeur de philosophie et plus jeune député Républicain,  Jean Jaurès, s’adressant   Aux Instituteurs et Institutrices, le 15 janvier 1888. (6)

     Mais pourquoi aura -t-il fallu  que « les plumes de l’ Élysée » en suppriment  quatre paragraphes, pour maintenir  le  paragraphe 2,  celui où  Jaurès déplorait que les écoliers du monde paysan soient moins assidus.

 Alors que chacun  sait que  leur absentéisme était lié à leur aide utile, à la ferme et aux champs, et que, pour la grande majorité d’entre eux, il n’aura pas nui à leurs apprentissages fondamentaux.

Ainsi, il était injuste et stupide de faire entendre aux jeunes  du XXIème siècle, que ces courageux enfants de la campagne qui participaient au dur labeur de leurs parents [faisaient] « souvent au sortir de l’école, des rechutes profondes d’ignorance et de paresse d’esprit. »
D’ailleurs, la qualité des lettres de nos valeureux grands-pères à leurs familles, pendant la guerre de 1914-1918, est là pour le prouver.

    Cet absentéisme  n’est en aucun point comparable à l’absentéisme des collégiens actuels, dans des familles qui se désintéressent de l’école républicaine laïque, là où leurs « modèles » et leurs « éducateurs » sont des  délinquants islamistes multi-récidivistes.

⇒ Mais hélas ! Désormais, cela correspond bien, dans d’innombrables quartiers à l’effondrement des savoirs en français et en mathématiques.

   Et c’est justement, parce que Jean Jaurès voulait que tous réussissent,  que son
article est une remarquable ode à la lecture, par laquelle, au fil des jours, l’enfant  développe son intelligence, sa compréhension et son désir d’apprendre toujours plus, pour comprendre toujours mieux.
D’où
l’importance de l’excellent apprentissage
d’alors, par la méthode syllabique qui facilitait – puisqu’à l’oral l’enfant les connaît bien –  l’acquisition  des mots écrits, leur écriture et leur orthographe.        L’apprentissage simple et rapide était là, pour permettre à l’enfant de goûter plus  vite au plaisir de lire, et d’écrire lui-même.

Comme l’écrit Jean Jaurès, et comme Samuel Paty  l’avait si bien compris :
«Les enfants ont une curiosité illimitée. (…)  Il y a un fait que les philosophes expliquent différemment suivant les systèmes, mais qui est indéniable : « Les enfants ont en eux des germes, des commencements d’idées. » Voyez avec quelle facilité ils distinguent le bien du mal (…).
 Il ne faut donc pas craindre de leur parler  avec sérieux, simplicité et grandeur.
Je dis donc aux maîtres, pour me résumer : lorsque d’une part vous aurez appris aux enfants à lire à fond, et lorsque d’autre part, en quelques causeries familières et graves, vous leur aurez parlé des grandes choses qui intéressent la pensée et la conscience humaine, vous aurez fait sans peine en quelques années œuvre complète d’éducateurs. Dans chaque intelligence il y aura un sommet, et, ce jour-là, bien des choses changeront.»


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Et regardons enfin la très sensible chorégraphie : « Je ressens quelque chose » , en hommage à Samuel Paty, créée pour les élèves de  6e du collège de Biguglia (Académie de Corse),  par Virginie Letellier et Françoise Simeoni, leurs deux  professeurs d’Éducation physique et sportive, sur une musique d’Armand Amar.

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1  Cf.  par  L’ingénue  17 mai 2018 La résistible extension de l’anarcho-djihadisme 

 Cérémonie d’hommage national à Samuel Paty à La Sorbonne 21 octobre 2020

3     Actu17.fr  20 janvier 2020  La DGSI a répertorié 150 quartiers sous l’emprise de l’islam radical  

Cérémonie nationale d’hommage aux victimes  de l’attaque du 3 octobre 2019 à la Préfecture de Police de Paris

 Cf. par L’ingénue   7 mai 2017   Macron 1er était en campagne devant la pyramide

6  Jean Jaurès  Aux Instituteurs et Institutrices, le 15 janvier 1888 dans La Dépêche

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Douloureuse apostille

Cf.  par L’ingénue  10 février – 7 mars 2021 

La patrie en danger – Il n’y aura pas de collège Samuel-Paty à Ollioules

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Il n’y aura pas de collège Samuel-Paty à Ollioules (proche de Toulon).

 La  monstrueuse terreur islamique est déjà plus puissante que notre République française trahie par le misérable projet de loi Macron,  « confortant », non pas comme il dit, « les principes républicains », mais l’islam politique du Conseil  français (?) * du culte musulman, dans le massacre de nos citoyens et de notre laïcité 

Cf.  L’article de C. Ardid :  Pas de collège Samuel-Paty  p.4  Charlie Hebdo n°1489 / 3 février 2021

Extraits : « ( …) Nous avions obtenu l’accord de la famille du défunt, explique Robert Bénéventi, maire LR d’Ollioules. Même chose pour le conseil général, qui gère les collèges. Unanimité au sein du conseil municipal, à qui je souhaitais proposer une délibération samedi dernier. Et puis, tout s’est effondré.»
Sans avertir le maire, le principal de l’établissement lance un sondage en interne sur le site Pronote.
Les résultats tombent : 100% des profs, 89 % des parents et 69% des élèves refusent que leur collège [Les Eucalyptus] soit rebaptisé Samuel-Paty.
« Ça veut dire quoi , s’indigne Robert Bénéventi, que les terroristes ont gagné ? »

* Lire aussi l’ article de Laure Daussy :  Conseil des imams – Le recteur de la Grande mosquée de Paris, écœuré, lâche l’affaire p.4 Charlie Hebdo n°1484 / 30 décembre 2020

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Macron sous la gouvernance  du Conseil français du culte musulman

2- 3 octobre 2020

M. Macron, « l’humble serviteur du peuple français » au soir de son élection en 2017, nous prouve qu’il est désormais le meilleur serviteur du Conseil politique du culte musulman, « tête française de l’hydre islamiste ».

Après leurs nombreuses rencontres amicales, MM. Ahmet Ogras et Mohamed Moussaoui, ancien et actuel président du CFCM  lui ont dicté un discours à cinq piliers comme pour l’islam , afin que le peuple français comprenne bien que l’allégeance de la-République-en marche de M Macron à « l’hydre islamiste » était totale.

Et c’est ainsi que  l’ancien (futur) banquier, dans son  discours aux Mureaux du 2 octobre 2020, a fait mille et une promesses, dont le coût n’a pas été communiqué, sauf celui de doter  l’hydre islamiste de « 10 millions d’euros (…) pour les études islamiques de haut niveau,  pour créer un institut scientifique d’islamologie, et au bénéfice de la loi sur l’enseignement supérieur et la recherche, pour créer  des postes supplémentaires pour la recherche sur la civilisation musulmane (…) ». 

Le banquier a décidément la mémoire courte …  

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Macron a pris la liberté d’écrire le magnifique mot « Fraternité » plus petit que « Liberté » et  « Égalité ».

 

Et il a pris aussi la liberté de ne pas ajouter le magnifique mot « Laïcité », puisqu’il commence son discours par un péremptoire :

« Le problème, ce n’est pas la laïcité ».

 

  • péremptoire  : Qui détruit d’avance toute objection ; contre quoi on ne peut rien alléguer, rien répliquer.

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Le communautarisme séparatiste est un déni de notre laïcité

 30 septembre -1er octobre 2020

 

  Alors que nous traversons des années terribles d’attentats, de guérillas et de destructions urbaines permanentes, d’incendies effroyables, ajoutés aux drames sociaux et familiaux dus à la pandémie, M. Macron louvoie avec « le séparatisme », sa dernière trouvaille pour masquer le vrai sens de la loi de 1905, notre plus belle loi laïque  sur la séparation des Églises et de l’État.

Le président Macron semble n’avoir d’oreille que pour M. Mohamed Moussaoui, l’actuel président du CFCM, qui exigeait en 2009, à Strasbourg, « 
l’extension du droit concordataire à l’islam en Alsace-Moselle » ; alors que la République française ferait mieux de supprimer enfin cette verrue  contradictoire à l’esprit de la loi du 9 décembre 1905.

   ♠ Nul dogme, nulle religion n’a le droit d’infliger aux citoyens et aux citoyennes des privations d’accès aux lois de liberté, [dont la liberté de penser et la liberté d’expression]d’égalité et de fraternité.
Les femmes et les hommes ayant tous et toutes [quelque soit leur religion ou leur absence de religion], les mêmes droits [y compris l’éducation, la culture et le sport]
et les mêmes devoirs.

  ♠ Nulle religion n’a le droit de laisser ses adeptes prendre des armes et des explosifs contre les citoyens et les citoyennes de notre pays, pour les tuer au nom de son dieu.
      La loi de 1905 doit s’appliquer désormais dans sa totalité, sans exception archaïque,  dans toute la France métropolitaine comme dans toute la France d’Outre-mer.

La loi de 1905 est définitivement le pilier de notre nation française et la gardienne de notre paix civile.

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Mais ce n’est pas « la République-en-marche- de M. Macron »
 qui obtiendra le retour au respect de l’égalité de toutes les femmes (quelque soit leur dieu), alors que le dogme  islamique intégriste et criminel, condamne les musulmanes à disparaître derrière leurs voiles.
[Cf. par L’ingénue, Le magnifique courage de l’Appel des 100 musulman(e)s de France novembre 2019.]

Ce n’est pas « la République-en-marche- de M. Macron », qui réussira à condamner et à expulser les chefs religieux intégristes de l’islam politique, ceux  qui prêchent, avec une  haine chaque jour décuplée,  depuis 30 ans, dans notre pays libre et paisible, « leur guerre sainte » contre nous, et nos écoles laïques, afin d’instituer dans notre République, le noyau d’un futur État islamique.

Ce n’est pas  « la République-en-marche – de M. Macron », qui rétablira dans toutes nos écoles, le calme et l’écoute du professeur, si nécessaires aux apprentissages fondamentaux, puis scientifiques et techniques, pour toute notre jeunesse qui ne demande qu’à  apprendre et qu’ à réussir.

Soyons lucides . . .   en écoutant le prochain  discours de « Macron, le serviteur  jésuite  du séparatisme »   .  .   .

La laïcité est bafouée dans notre pays, depuis des décennies, du retour au financement des écoles privées  de Debré à Mitterrand, avec en prime l’acceptation d’un signe ostentatoire de dogme islamique  dans un collège, aux pillages et aux incendies actuels des écoles laïques, avec désormais des écoles coraniques illégales,  par celles et ceux qui,  au XXI ème siècle, nous « traitant » d’islamophobes,  attisent la haine contre nous, tout en  soutenant les assassins, les réseaux de drogues et la délinquance criminelle.

Ainsi  M. Hadama Traoré, tête de liste  du groupe « Démocratie représentative (islamique) » pour l’élection des représentants français au Parlement européen des 25 et 26 mai 2019,  qui voulait organiser en Seine-Saint-Denis, le 10 octobre 2019, une manifestation « en hommage » à Mickaël Harpon, agent administratif de la direction du renseignement de la Préfecture de police (DRPP) qui avait poignardé quatre policiers et blessé grièvement une cinquième personne, au nom d’allah, le 3 octobre 2019.

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Quand Macron présentait ses voeux de bonheur aux Français

    11 juin 2020  Note [non publiée le 20 janvier 2020] relue et réécrite avant le énième discours du Père Ubu- Macron, le 14 juin 2020, pour soutenir « les candidats de son parti », lors du deuxième tour des élections municipales (28 juin 2020).
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Ce que le protocole élyséen appelait  la « cérémonie des vœux »  du 31 décembre 2019, n’avait été qu’une nouvelle mascarade présidentielle, car M. Macron avait la mémoire courte.

L’air toujours satisfait de lui-même et le ton paternaliste, il remercia celles et ceux qui « veillaient sur nous »
« Nos militaires, nos gendarmes, nos policiers, nos sapeurs-pompiers, nos personnels soignants (…)  » alors que, toute l’année,  ils avaient tous été, jour après jour, en première ligne, et qu’il était resté sourd à leurs revendications, en donnant la même consigne aux ministres,  Blanquer,  Castaner, Parly et Buzyn.

Lui, président, n’avait « veillé » sur personne,   et « nos militaires, nos gendarmes, nos policiers, nos sapeurs-pompiers, nos personnels soignants (…)  » n’avaient gagné que de l’épuisement, des blessures, du désespoir jusqu’au suicide, ou la mort dans un attentat.

      De 2019, lui, président, n’avait retenu que « des moments » (sic) ! « des moments d’épreuve » (?), « des moments de violences » (!) ou même « un moment d’émotion lors de l’incendie qui a embrasé Notre-Dame »,  le soir du lundi 15 avril 2019, (premier jour de la Semaine sainte pour les catholiques).
Une « émotion » telle, qu’il avait interdit – dans les heures qui suivirent-  toute enquête préliminaire de la police scientifique, afin d’ouvrir une enquête pour simple « destruction involontaire par incendie ».
Il avait même eu le cynisme de dire qu’ « à la vague d’émotion, avait immédiatement succédé une vague d’enthousiasme » !

Macron le banquier savait qu’il pourrait compter sur ses amis milliardaires pour le protéger de toute controverse, qu’ils aideraient au  financement de la reconstruction, pour éloigner encore plus, le risque d’émergence de la vérité d’un attentat islamiste.

 

M. Macron n’avait  pas « veillé » non plus  sur nos banlieues ravagées toutes les nuits, les écoles incendiées, les enseignants insultés, agressés, par des adolescents et des parents haineux acharnés contre l’Éducation nationale laïque,  les pompiers et les policiers attaqués dans une guérilla urbaine permanente sur fond de trafics d’armes et de drogues ;   les villes qui ont subi chaque samedi   la malfaisance  des bandes d’anarcho-terroristes [black bloc] de l’ultra-gauche ; et toujours les attentats , les massacres, les incendies de  l’hydre (*) djihadiste aux 40 000 têtes.

On avait déjà compris que pour cet ancien banquier d’affaires, c’était l’être l’humain qui n’était pas son affaire !

Aussi, comment imaginer qu’il pourrait se soucier de nos vraies vies d’êtres humains au travail, à la peine, au chômage, à la retraite ?

Comment lui, fondé de pouvoir chez Rothschild & Co,
[en 2012, et qui   savait surtout empocher 2,4 millions d’euros, grâce à une habile négociation de fusion-acquisition de la branche de laits infantiles de Pfizer par le PDG de Nestlé, juste avant de rentrer en politique comme secrétaire-adjoint de son prédécesseur],

Comment lui, président, pourrait-il veiller sur le peuple citoyen ?
Et comment lui, président, pourrait-il dire la vérité ?

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 Apostille pour  2019  « annus horribilis » 

Le 7 janvier 2019, jour sombre de la réception par M. Macron des « têtes de l’hydre islamiste » du Conseil français du culte musulman, pour parler du financement d’un islam  désormais sous l’obédience des Frères musulmans turcs avec Ahmet Ogras,
en lieu et place de l’hommage à rendre aux douze victimes de Charlie Hebdo tuées  et aux cinq autres, blessés grièvement par Chérif et Saïd Kouachi, salafistes djihadistes , ainsi qu’à la policière municipale et aux quatre victimes de l’Hyper casher, tués par l’autre complice terroriste islamiste, Amady Coulibaly, les 8 et 9 janvier 2015.

 On remarquera que pour la cinquième année de ce massacre, en ce 7 janvier 2020,  M. Macron a chargé le ministre de l’Intérieur et la ministre de la Justice de le représenter … Il avait trois rendez-vous beaucoup plus importants : Un entretien avec M. Bruno LASSERRE (?), Vice-Président du Conseil d’Etat ; un déjeuner avec M. Andrej Plenkovic (?),  Premier ministre de la République de Croatie ; et une cérémonie à ne jamais manquer : la réception des maitres boulangers pour l’Epiphanie.

Bis repetita  :  le 9 janvier 2020, jour anniversaire de la tragédie de l’Hyper Cascher, Macron « présentait ses vœux aux autorités religieuses dont le CFCM, conseil français du culte musulman ». 

Le 16 mars 2019, jour d’émeute urbaine d’une terrible violence sur l’avenue des Champs-Élysées ; 18ème samedi de manifestation (illégale car non déclarée en préfecture) des « gilets jaunes » infiltrés par les anarcho- « black bloc »- de l’ultra-gauche.  Cf. 16 mars 2019
Pendant ce temps-là, M. Macron se reposait à la Mongie, la paix civile, ce n’est pas « son affaire ».
[ L’on se souviendra aussi du samedi 1er décembre 2018, troisième sortie  des « gilets jaunes » rattrapés à Paris par les « black bloc » pour le saccage de l’Arc de Triomphe ].

Le 15 avril 2019, jour tragique de l’explosion incendiaire sur la noue de la cathédrale Notre-Dame de Paris ( les personnes présentes pour la messe du lundi de la semaine sainte (avant Pâques) ont entendu une explosion, mais pour M. Macron et Rémy Heitz, le procureur de Paris, c’était l’explosion d’un mégot mal éteint.

Le 1er mai 2019, jour sombre où les black bloc de l’ultra-gauche firent le pire au milieu du défilé pour la Fête du travail.

Le 26 septembre 2019, jour tragique du monstrueux incendie de Lubrizol à Rouen, incendie qui fut déclenché à l’extérieur du site certainement encore par l’explosion d’un mégot mal éteint, et non par celle d’un montage incendiaire, selon  M. Macron et le même Rémy Heitz, procureur de Paris (décidément bien utile).

Le 3 octobre 2019, jour sanglant où Mickaël Harpon, une autre « tête de l’hydre djihadiste »*, poignarda quatre de ses collègues policiers, et en blessa grièvement une cinquième, à la direction du renseignement de la Préfecture de Police de Paris.

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