Les Françaises musulmanes

     Note modifiée le 12 avril 2012           

  ♦ Actualité  octobre 2011    La  violence intégriste en Tunisie   à  15 jours des élections    
 

Les  Françaises musulmanes ont un rôle social et politique déterminant à jouer   dans notre société démocratique et laïque 

soit  elles  y  vivent  voilées  et soumises comme  si  elles  étaient  des Afghanes  sous  le  régime  de  terreur  des  talibans, et c’est la régression terrible dans l’obscurantisme d’un autre âge,  

        
  soit  elles  choisissent de devenir citoyennes libres et égales dans la laïcité. Elles représenteront alors  une véritable  force  émancipatrice  et  libératrice, faisant barrage avec nous tou(te)s les laïques (chrétiens, athées, juifs, agnostiques etc.) au sein de la société française, au prosélytisme criminel des salafistes, des frères musulmans et d’Al-Qaida.
 Elles seront le signal tant attendu 
         par toutes  les  femmes  du Printemps arabe 2011 :
  les Tunisiennes, les Égyptiennes, les Libyennes, les Yéménites, les Syriennes …
         par toutes celles des autres pays musulmans :
  les Algériennes, les Mauritaniennes, les Marocaines, les Libanaises, les Jordaniennes, les Palestiniennes,
les  Saoudiennes, les Koweitiennes,  les Turques, les Iraniennes, les Pakistanaises, les Irakiennes, les Guinéennes, les Somaliennes, les Tchadiennes, les Sénégalaises, les Soudanaises, les Nigériennes, les Nigérianes …
et depuis avril 2012 par les Maliennes (visées par Ansar Dine et le mouvement islamique de libération de l’Azawad)
                             …
et évidemment les héroïques Afghanes*.  


*
voir la note L’une à Kandahar, l’autre à Evry du 29.12.2009

   _______________________________    10 octobre 2011            

En Tunisie, le parti islamiste Ennadha  a été légalisé par l
e gouvernement de transition.
Le parti des intégristes salafistes Tahrir se sent donc autorisé à pratiquer ses méthodes violentes à coup de pierres, de bâtons et de couteaux comme seules participations au débat électoral avant les élections de l’ Assemblée constituante, le 23 octobre 2011.
Et quand Samir Dilou, membre du bureau politique dEnnahda déclare que « les gens doivent garder leur calme »* sans incriminer les dits salafistes, on comprend qu’il est de leur côté.

 La conquête de la laïcité et de l’égalité citoyenne des femmes tunisiennes a en face d’elle des ennemis mortels bien identifiés. Ce sont les salafistes qui passent aux actes criminels en attaquant la Faculté des Lettres de Sousse contre l’interdiction du niqab, en attaquant le cinéma qui programme le film de Nadia El-Fani sur la laïcité, en attaquant le siège de la télévision Nessma qui diffuse le film Persépolis de Marjane Satrapi, suivi d’un débat sur l’intégrisme religieux.

* Une chaîne tunisienne attaquée par des islamistes pour avoir diffusé Persépolis   LeMonde.fr avec AFP et Reuters 10.10.11

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2 avril 1871 : Décret de la séparation de l’Eglise et de l’Etat

1er mai 2011 / 23 mai 2016

              

Qui furent ceux qui composèrent le gouvernement de la Commune de Paris, gouvernement  qui dura à peine  le temps du Printemps 1871, du 28 mars au 28 mai  ?

Edmond de Goncourt écrivait dans son  « Journal »  qu’il n’en connaissait  aucun, et les méprisait tous, avec le dédain de l’aristocrate. En effet, dans quels salons de la « bonne société » du Faubourg Saint-Germain, aurait-il pu rencontrer ces élus républicains  ?

              Eugène Varlin – ouvrier relieur-,  Charles Gérardin – comptable -, Louis Chalain – tourneur en bronze-,  ou Benoît Malon – ouvrier teinturier- élus du 17ème arrondissement ( Batignolles-Monceau) ?
Auguste Blanqui  – fils de sous-préfet mais ayant surtout fréquenté  les prisons du royaume et de l’empire pendant 33 ans – ,  Albert Theisz – ouvrier ciseleur sur bronze-, Simon Dereure – cordonnier-, Jean-Baptiste Clément – poète et chansonnier- Théophile Ferré – clerc d’avoué -, ou  Auguste Vermorel – homme de lettres, journaliste- élus du 18ème arrondissement ( Butte-Montmartre) ?
ou encore Jules Bergeret – correcteur d’imprimerie -, Gabriel Ranvier – ouvrier décorateur -, et Gustave Flourens – biologiste, Professeur au Collège de France  -élus du 20ème arrondissement ( Ménilmontant)  ? … etc…

Comment en effet, M. de Goncourt aurait-il pu croiser Eugène Varlin ou Benoît Malon « au fond de la courette du 44 rue des Gravilliers dans le 3ème arrondissement, au cœur du vieux Paris des artisans, dans un atelier de quatre mètres de long sur trois mètres de large **», dans ce qui fut le premier bureau de la  Commission parisienne de l’Association Internationale des Travailleurs  appelée la Première Internationale ?

Mais revenons au  28 mars 1871,  jour de la proclamation de la Commune,  jour de fête,  où l’on pensa que la guerre civile venait d’être évitée grâce au verdict du suffrage universel*.

          Jules Vallès ( élu du 15ème arrondissement -Vaugirard) l’a décrit  avec  fougue et  lyrisme : « Quelle journée ! Ce soleil tiède qui dore la gueule des canons, cette odeur de bouquets, le frisson des drapeaux ! Le murmure de cette Révolution qui passe tranquille et belle comme une rivière bleue, ces tressaillements, ces lueurs, ces fanfares de cuivre, ces reflets de bronze, ces flambées d’espoirs, ce parfum d’honneur, il y a là de quoi griser d’orgueil et de joie l’armée victorieuse des Républicains !*** »

Pendant ce temps-là,  Adolphe Thiers et son gouvernement dit de«  Défense nationale » n’avaient d’autre intention que de livrer Paris aux Prussiens. Nommé commandant en chef de l’armée versaillaise, Mac-Mahon réorganisait une armée de 100 000 hommes, aidé en cela par Bismarck qui libérait les prisonniers.
La bourgeoisie d’affaires  avait alors un leitmotiv qui rappelle lugubrement celui  de 1936 : « Plutôt Hitler que le front populaire »  ; celle de 1871 proclamait : « Plutôt les Prussiens et perdre l’Alsace et la Lorraine, que les communards ! »
De chaque crise, de chaque guerre qui anéantit  les pauvres, l’internationale capitaliste sort toujours victorieuse et féconde.
 

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C’est pourquoi, dans la confusion du  débat actuel sur la défense de la laïcité,  pour retrouver les fondamentaux de notre République si chèrement acquis dans le sang des Républicains de 1789, de1830, de 1848 et de 1871,   il faut se souvenir du 2 avril 1871,  – alors que commençait le second siège de Paris ordonné par  Thiers, quand retentissaient « les premiers coups de canon tirés par Vinoy sur les banlieues et quartiers périphériques*».

      
   
Il faut se souvenir de ce jour où « le Conseil de la Commune
présidé par Gustave Lefrançais ( instituteur-  élu du 4ème arrondissement – Hôtel de Ville), vota  à l’unanimité, un décret séparant l’Église et l’État. Il comportait quatre « considérants ».
Deux sur quatre de ces considérants se référaient à la notion de liberté. Ils stipulaient que le premier des principes est la liberté et que la liberté de conscience est la première des libertés. Le troisième considérant s’attaquait au budget des cultes, qualifié de contraire au principe, puisqu’il impose les citoyens contre leur propre foi. Le quatrième accusait le clergé d’avoir été le complice de la monarchie contre la liberté. A chacun de ces considérants correspondait dans le corps du décret un article.

          Ces quatre articles se lisaient comme suit :

Article premier. –  L’Église est séparée de l’État.
Art. 2. –  le budget des cultes est supprimé.
Art. 3. – Les biens dits de mainmorte, appartenant aux congrégations religieuses, meubles et immeubles, sont déclarés propriété nationale.
Art. 4.-  Une enquête sera faite immédiatement sur ces biens pour en constater la nature et les mettre à la disposition de la nation.

Ce faisant, les élus de la Commune n’innovaient pas : ils revenaient aux sources de la Révolution française.»*

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Grande histoire de la Commune  Georges Soria  (Introduction de Henri Guillemin) éditions Robert Laffont pour le Livre Club Diderot  1970
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Eugène Varlin Militant ouvrier, révolutionnaire et Communard Jean Bruhat Éditeurs Français Réunis 1975
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Jules Vallès  Le Cri du Peuple Mardi 28 mars 1871 /  Œuvres complètes tome III Livre Club Diderot 1969

La Goutte-d’Or, perle de l’islamisme ?

  4 avril 2011

                

Et pour faire bonne mesure, et montrer que son sujet sera parfait pour le vernissage à l’Institut des cultures d’islam, Martin Parr, le photographe,  a  trouvé  à la Goutte d’Or « des musulmanes en foulard »  !  Etonnant, non ?

En effet, comment la culture d’islam se concevrait-elle  autrement en France ?
Et… pour longtemps encore –  à en croire (sic) les prêches des imams du XVIII ème arrondissement  de Paris (1) –  les femmes resteront  affublées du  foulard et de la burqa, les esclaves de leurs maris, et  prieront « dans les endroits réservés aux femmes ».

Car les imams en Goutte d’Or ont la bénédiction du maire PS, de Tariq Ramadan et des frères musulmans, de « Respect Mag » et des bobos (2)  qui, préparant leurs vacances au Maroc, y  font du tourisme culturel,  et s’émerveillent de ce petit peuple , qui  accepte,  depuis des siècles, l’insupportable injustice du dogme islamique, tant il est accablé de menaces et de terreurs.

Silence ! Dans le quartier de la Goutte d’Or !

                   Ici La religion fait son obscure et vieille besogne dans les esprits et dans les mœurs.

Silence !  Ceux qui veulent parler d’égalité, de citoyenneté et de  laïcité !

                   Ici  on ne veut entendre que  les prêches intégristes des Frères musulmans le vendredi.

Silence la République !

                  Ici on reste muet devant  le communautarisme islamiste qui a sa  loi anti-républicaine,  la « charia ». 

La Goutte d’Or fera-t-elle déborder le vase ?

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1« L’imam avait «briefé» (sic) ses fidèles à l’avance » : Martin Parr s’infiltre à la Goutte d’Or  / dixit Claire Guillot /Article du Monde 3-4 /04/2011
2   bobos qui en profitent d’ailleurs pour rapporter haschisch et cocaïne à  leurs bons amis et autres gogos parisiens.

L’école primaire selon les exigences des pouvoirs religieux

    Note complétée le 25 mai 2012     

En cette période où l’on reprend la réflexion sur la semaine de 4 jours, il faut rester lucide, et considérer l’impact des enjeux de  pouvoir  (religieux et communautariste – politique- médiatique – financier – économique et syndical) sur le fonctionnement de notre école publique et laïque. Il faut discerner l’étroitesse d’esprit, les égoïsmes et la démagogie  qui ont imposé, depuis une quarantaine d’années,  le rétrécissement de la semaine scolaire avec le rallongement ad libitum  des vacances,  jusqu’ à 225 jours par an pour les 3-11 ans.

Malgré l’optimisme que l’on voudrait afficher, il apparaît que cette lourdeur aux couleurs de l’indifférence (voire de la satisfaction devant la médiocrité culturelle qui nivelle par le bas) des classes dirigeantes privilégiées, s’interposera une nouvelle fois, et mettra son veto sur toute volonté de  redonner aux plus jeunes du temps pour les apprentissages scolaires,  l’étude de notre belle  langue française,  le goût de la lecture, de la culture littéraire et scientifique.

Commençons  par  les égoïsmes communautaristes des pouvoirs religieux.

La mission d’information créée par la Commission des affaires culturelles et de l’éducation  sur les rythmes de vie scolaire en avril 2010 a déposé son rapport en décembre 2010 à l’Assemblée nationale*.
Les député(e)s de la mission ont reçu pour une audition le 8 juin 2010, Monseigneur Antoine Hérouard, secrétaire général de la Conférence des évêques de France**, et organisé une table ronde le 10 juin 2010, avec les représentants des confessions juive, musulmane et protestante : M. Charles Sulman, vice-président du Consistoire central des Israélites de France ; M. Mohammed Moussaoui, président du Conseil français du culte musulman, Madame Isabeau Beigbeder, membre du Conseil scolaire de la Fédération protestante de France.

Que pensent-ils d’une réhabilitation de la semaine à 4 jours 1/2 ou à 5 jours – bref que pensent-ils de la semaine scolaire continue ?

♣ Monseigneur Hérouard pose, comme un coin immuable dans la semaine, la confiscation définitive du mercredi matin. C’est pour lui, le temps du catéchisme –  symbole pour l’église catholique de la liberté d’expression religieuse ; le catéchisme qui concerne 25% d’enfants du CE1 au CM2.
Et  dans un raisonnement en boucle, il ajoute que justement, le mercredi matin, les dames catéchistes « qui sont souvent des mères » ne travaillent pas. Pour Mgr Hérouard, « une organisation de la semaine scolaire sur quatre jours et demi serait susceptible de « reléguer » l’exercice de cette liberté dans le domaine privé, la réduisant à un choix personnel entre diverses formes d’occupation » ; car insiste-t-il « si le choix – évident pour des enfants – devait être fait entre le football et la catéchèse, cette liberté fondamentale deviendrait « illusoire ». 
♦♦♦ Exigence des évêques  : En clair, Mgr Hérouard prescrit la vacance du mercredi matin,  pour ne pas laisser le choix  aux garçons – afin de garantir les vocations de séminaristes et  la pérennité de sa catéchèse.                            

♣ M. Moussaoui présente un enseignement musulman concernant les 6-15 ans et durant de trois à cinq heures par semaine. « S’il dure plus de deux heures, il peut avoir lieu le mercredi et le samedi ou le dimanche. (…)  Ceci explique que les familles rigoristes tiennent beaucoup au mercredi, surtout dans le primaire » ; auxquelles on ajoutera « la majorité des familles musulmanes qui sont attachées au week-end de deux jours » Et M. Moussaoui rappelle aux députés «  quelques demandes de certains membres (sic) de la communauté musulmane pour que les élèves soient libérés pour la prière communautaire du vendredi 12h-13h30 l’hiver ; 13h-14h l’été. ***»

♣ Pour les protestants et les juifs, l’enseignement religieux n’interfère pas avec  la semaine continue, les premiers avec « l’école dominicale » pour les 7-15 ans,  et les seconds  avec « l’enseignement dit le « Talmud Torah »  le dimanche de 9h à 12h pour les 7-13 ans.»  ;  leurs deux religions ne mettent pas d’obstacle à une réflexion nationale.

Il reste que d’inquiétantes questions sont posées  :

♣ Combien les exigences de M. Moussaoui et de Mgr Hérouard, concernant l’école laïque,  pèseront-elles dans les délibérations des députés et dans les décisions gouvernementales ?

           Et sachant que le principe laïque est de tenir les élèves de  l’école primaire publique hors des communautarismes religieux, pour créer une égalité fraternelle entre eux :
♦ Pourquoi l’école laïque devrait-elle s’interdire de travailler le mercredi et/ou le samedi matin  ?
♦ Pourquoi devrait- elle se soumettre aux volontés des représentants de dieu(x) et de leurs dogmes ?
♦ Sommes-nous toujours dans l’Ancien Régime : «  au bon plaisir »  des  évêques, et de surcroît  « aux ordres » des imams ?

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* Rapport d’information présenté par MM. Xavier Breton et Yves Durand – députés. Les extraits du rapport sont « entre guillemets » et les mots des intervenants en italique .
**
Direction nationale de l’Enseignement privé catholique aux frais de la République . Mgr Antoine Hérouard est «l’autre mininistre cultuel» de l’Éducation nationale,« l’Éminence grise » de l’actuel ministre, Vincent Peillon.
*** Exigence des imams :  suppression du mercredi matin plus suppression du samedi matin plus suppression du vendredi après-midi, ce qui équivaudrait à trois jours et demi d’école par semaine.  Décidément pour eux, il y aura  toujours trop de notre école laïque !

Le banquet républicain et laïque

           

1er janvier 2011

Le banquet républicain qui réunit les citoyens, sans allégeance aucune, aux dogmes religieux et à leurs innombrables interdits alimentaires, le banquet républicain et laïque a-t-il encore de l’avenir ?
L’étau des notions de « péché »  et d’ «impur »  se refermerait-il à nouveau sur les consciences fragilisées par des discours d’imams intégristes ? Ceux-là  mêmes qui appellent à manifester pour le Hamas (1),  parti religieux terroriste au pouvoir à Gaza, et pour lequel tuer n’est jamais un péché.
J’en veux pour preuves tragiques les attentats terroristes 
perpétrés par les islamistes intégristes dans leurs propres pays, et contre les populations de religion  musulmane : Algérie, Pakistan, Afghanistan etc.

Un jeune militant politique déclarait fin 2010, que lorsqu’il serait élu député de Seine-Saint-Denis,  il fêterait l’événement au restaurant rapide halal, près de la Mairie de Saint-Ouen, en buvant un breuvage marron.
On savait ainsi qu’il excluait mentalement de sa  fête, les autres électeurs, citoyens « non-halal » et le Coq de la Maison blanche (2) !  Il était facile de deviner son futur programme de député anti-laïque de Seine-Saint-Denis.

Le communautarisme religieux est définitivement une entrave à la fraternité républicaine.

Notre Assemblée Nationale n’a plus de partis cléricaux représentant des dieux dans le gouvernement de la France, c’est ce qu’on appelle depuis 1905, la séparation de l’église et de l’état, et c’est aussi ce qu’on rappellera, en l’appelant la séparation de la mosquée et de l’état !

Bonne chance au jeune militant, qui  j’espère, aura compris qu’il lui faut mettre  de l’eau dans… sa boisson marron, et devenir  militant laïque, avant d’espérer devenir député de la République.

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1  Yasser Arafat (chrétien) s’est toujours opposé au Hamas, créé par la mouvance intégriste des Frères musulmans. Dès 1994, il a  condamné leurs attentats-suicides en Israël. C’est le Hamas qui a bloqué sine die le processus de paix entre Palestiniens et Israéliens, et « justifié »  la construction du mur.

 « Paris 18ème arrondissement- 25 décembre 2009 : Prière rue Myrha filmée par Maxime Lépante pour Riposte Laïque. Vous entendrez la voix de l’imam qui, en guise de prêche, appelle à manifester pour le Hamas. On ne pourra pas dire que l’on ne savait pas. La laïcité n’est pas « une difficile question »,  c’est une LOI. La République n’est plus soumise depuis 1905 aux pouvoirs religieux. La rue est un espace public (le vendredi aussi) et non un lieu de culte.»
/c’était mon commentaire de l’article  » Le PS prend position sur les prières de la rue de la Goutte d’or. /16.12.10  lemonde.fr/
 

2  Bon souvenir d’une fête de famille dans les années paisibles où je faisais le chemin du métro Mairie de Saint-Ouen à l’avenue Michelet, au bord d’un terrain vague avec L’étoile du Red Star qui brillait au loin !

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