Quand l’Arabie wahhabite fait sa loi en France …

17 août 2016

en interdisant même les bienfaits du soleil d’été, aux femmes sur les plages de notre pays !
Aussi devraient-elles s’affubler de la tête aux pieds d’une tenue nommée burqini, selon la litote journalistique, comme leurs « athlètes féminins » (1) !

Ainsi le calife de Riyad  mène  la vie dure aux Saoudiennes en leur INTERDISANT… tout simplement d’exister…
Chez les Wahhabites,  tout  est interdit aux femmes -faire du sport comme conduire une voiture …

TOUT leur est interdit  SAUF LEUR SERVITUDE !

Évidemment l’Arabie saoudite n’a pas pu présenter de véritable délégation olympique féminine, aux JO 2016 ; elle est au ban (2) de toutes les Nations  civilisées …. Est-ce elle qui devrait faire sa loi en France ?

Désormais, chez nous, tous les imams salafistes des mosquées relaient les ordres de Riyad ; depuis 2012, un gouvernement PS comme servile, obéit au calife  en n’appliquant pas la loi sur l’interdiction de la burqa et se rend complice, jour après jour, de  l’asservissement  proto- djihadiste des musulmanes qui se met en place dans notre société laïque.

M. Chevènement, fraîchement évoqué comme président d’une fondation de l’islam de France (?)  marque déjà l’abîme de sa confusion, entre ce qu’il appelle  « la liberté des femmes »  et  l’interdiction pour chacune de vivre simplement en vacances, au cœur de l’été, sur nos plages, entre bains de mer et bains de soleil … dans la beauté du monde.

À quand, pour les salafistes et pour le futur président de la fondation de l’islam de France, les eunuques chargés de surveiller chaque femme et de la ramener le soir  – suant sous son suaire-  dans le sérail  conjugal  ?

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1 RFI 29.07.2016 Jeux de Rio quatre femmes représenteront l’Arabie saoudite.
2 « Mettre un pays au ban des nations, le déclarer indigne, le dénoncer au mépris public » Le Grand Robert p. 1193

Cf. mes notes  : La burqa – croix gammée et étoile jaune- devant la Cour européenne des « Droits de l’homme » du 27 novembre 2013 – revue le 8 août 2014 – et  L’égalité citoyenne sans le voile et sans la burqa  20 octobre 2009

et la page Burqa l’hiver, burqini l’été, signaux de haine…
17 – 23 août 2016

Ici, le groupe Etat islamique égorge … là, les frères musulmans bâtissent une mosquée

1er août 2016  –   Un an après …   note avec ajout mise en avant le 31 juillet 2017

 25 octobre 2019
Trois ans après, avec le président Macron, MM. Philippe et Castaner, le gouvernement-en-marche-vers-l’islamisation, se voile la face pour ignorer les violations de notre laïcité.
Combien de victimes innocentes leur faudra-t-il encore?
À quand la loi de séparation de la charia islamique et de l’État ?

 Cf. par L’ingénue  9 janvier 2019 :  Le président Macron, l’islam radical et la loi de 1905

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... Ici, c’était mardi 26 juillet 2016 en l’église Saint-Étienne de Saint-Étienne-du-Rouvray, le père Jacques Hamel égorgé pendant la messe.

…  Là-bas, à Mulhouse,  les mêmes qui financent le groupe État Islamique, à savoir le Qatar, le Koweit, l’Arabie saoudite,  ajoutent leurs dons à ceux des musulmans à l’appel de M. Amar Lasfar, président de  l’Union des organisations islamiques de France (UOIF) afin de construire la mosquée-cathédrale (sic) An-Nour,  sous le parrainage du cheikh Youssef al-Qardhawi, savant idéologue des frères musulmans, selon MM. T. Ramadan et Amar Lasfar.

On entrevoit déjà ce que seront les prêches des imams qataris et leurs injonctions pour le dressage  intégriste des fidèles  avec toujours plus de messages de haine envers la société française laïque et républicaine.

Ici, à Saint-Étienne-du- Rouvray, le jour de ses quatre-vingt-neuf ans, un paroissien était poignardé* à la veine jugulaire, au poumon et à la colonne vertébrale, les deux tueurs l’ayant obligé à photographier le père Hamel vomissant le sang ………

… Là-bas, dans les studios d’Al Jazeera (1), la chaîne favorite de la plupart des familles musulmanes en France, le cheikh al-Qardhawi, âgé aussi de quatre-vingt-neuf ans se réjouit encore de cette attaque sanglante du groupe État islamique, qui fait selon l’idéologie criminelle des frères musulmans, des deux assassins, des martyrs.

……………..   Jusqu’à quand serons-nous en France, les victimes annoncées des bourreaux islamiques et de leurs complices dans les mosquées ?

Jusqu’à quand  l’UOIF et les frères musulmans feront-ils  la loi dans nos quartiers, dans nos collèges, dans nos lycées, dans nos prisons … en exigeant  2 000 mosquées soumises aux théocraties de l’Arabie saoudite, du Qatar et du Koweit -afin de créer un parti politique islamique à leur solde, pour réduire à néant nos valeurs laïques de fraternité, bref, exécuter 1 400 ans après, les ordres de leur prophète ?

Jusqu’à quand le pouvoir PS politique et judiciaire de MM. Hollande  et Valls fera-t-il semblant de ne rien voir, de ne rien entendre (2) et de ne rien comprendre ?

               ♠ 31 juillet 2017
Jusqu’à quand le pouvoir LREM
(La République En Marche)
politique et judiciaire de MM. Macron, Philippe et  de Mme Belloubet  fera-t-il semblant de ne rien voir, de ne rien entendre et de ne rien comprendre ?  

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* Le vieux monsieur de 89 ans est en convalescence. (15 août 2016)

1 La chaîne de télévision Al Jazeera, est une chaîne de télévision satellitaire qatarie en arabe, en anglais, en turc et en serbo-croate.

2 On soulignera comment M. Hollande a été à l’écoute de la théocratie saoudienne et a exécuté son ordre, dans la matinée du mercredi 2 mars 2016 : décorer (de toute urgence !)  le prince héritier, Mohammed ben Nayef ben Abdelaziz al-Saoud, Grand Officier de la Légion d’Honneur, le 4 mars 2016.

♦Lire le détail des courriels entre Riyad et l’Élysée tel que restitué par Grégory Lassus-Debat dans Causette /10.03.2016[source RFI / 11.03.2016].

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—– Cf. la note : 7 janvier- 7 juillet 2015   / 7 juillet 2015 – complétée le 21 novembre 2015  et le 31 juillet 2017

et la note  La Seine-Saint-Denis est-elle déjà un territoire d’Outre-République laïque ? / 19-26 décembre 2013

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« Faut bien la préparer votre fête de mécréants »

Note du 9 décembre 2015 revue le 28 décembre 2015 
              ⇒   Note remise en avant le 5 janvier 2019 en pensant à l’année sanglante que fut 2015 en France

 Note mise en avant par L’ingénue le 29.12.2018, après les nuits de violences incendiaires et dévastatrices de « purge djihadiste » des forces de l’ordre, par des dizaines de cagoulés islamistes pour « fêter » Halloween en novembre 2018, à la veille de la Toussaint, et pour « fêter  Noël, la fête des mécréants » le 25 décembre 2018, à Joué -lès- Tours, « en hommage » au tueur Chérif Chekatt du marché de Noël, le 11 décembre 2018, à Strasbourg.
On remarquera que M. Castaner parle de Chérif Chekatt comme M. Cazeneuve parlait de Bertrand
(Bilal) Nzohabonayo.

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« …Faut bien la préparer votre fête de mécréants »avait écrit Bertrand (alias Bilal) Nzohabonayo sur sa page facebook, le matin du 18 décembre 2014 – deux jours avant de tenter d’égorger trois policiers – aux cris d’allah akbar  – dans le commissariat  de Joué-lès-Tours (Indre-et-Loire) ;  et il avait mis,  à côté de sa photo, le drapeau salafiste de l’État islamique.

Le drapeau des salafistes EST le drapeau de l'Etat islamique
Bertrand Nzohabonayo

Selon M. Cazeneuve, ministre de l’Intérieur qui s’était déplacé à Joué :  » Il était connu pour des actes de délinquance (3) ;  il n’était  pas connu pour son implication dans des actes terroristes et sa situation n’avait pas été judiciarisée ; il ne faisait pas l’objet d’un suivi particulier. »

Mais ce que M. Cazeneuve savait et qu’il tut :

– c’était  que son frère Brice Nzohabonayo était  fiché S par la DGSI, qu’ils se rendaient tous les deux souvent en Afrique. Le Service national de renseignement (SNR) du Burundi avait, dès 2013  « signalé  les deux frères – comme « suspects » à leurs homologues français, en raison de leur intégrisme religieux (3) ;
C’est d’ailleurs le SNR qui interpella le 20 décembre 2014, le jour même, Brice Nzohabonayo à Bujumbura. Il avait quitté la France avant le passage à l’acte de Bilal. Le SNR  et la police burundaise les surveillaient afin d’anticiper une préparation d’attentat sur leur sol.

– c’était que l’imam Mohamed François (4) de la mosquée de Joué, lieu de prières de la fratrie, était connu pour ses prêches haineux contre les mécréants, ses invitations d’imams radicaux, autant d’appels au djihad « local ».

Sur le moment,  l’enquête ouverte par le  procureur de la République de Tours, Jean-Luc Beck, s’était orientée  vers un attentat « motivé par l’islamisme radical (2), avec  la sous-direction antiterroriste de la police judiciaire,  la direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) et  la direction interrégionale de la PJ d’Orléans pour « des chefs de tentative d’assassinat et d’association de malfaiteurs en lien avec une entreprise terroriste « …

 Et…  il y eut la semaine sanglante du 7 au 9 janvier  2015

Que fit la Justice de M. Hollande et de Mme Taubira ? Rien.
Elle n’instruisit pas le dossier Nzohabonayo avec les trois directions de sécurité intérieure.
La Justice voulut  passer sous silence le parcours de l’agresseur français de 20 ans, chrétien converti et radicalisé à Joué,  et la gravité de l’attaque de  trois policiers blessés dans leur commissariat.
Elle fit semblant d’ignorer l’existence  des milliers d’autres Merah- Kouachi et Nzohabonayo  convertis et/ou radicalisés dans les quartiers « sensibles » et dans les prisons.
Et  le jeudi 2 juillet 2015, le procureur de la République de Tours  annonça  qu’il classait  l’affaire sans suite.

Alors que tous les signaux d’alerte étaient allumés, la Justice de M. Hollande et de Mme Taubira n’était que non-assistance à citoyens en danger.

Mais aussi, quel bel encouragement pour les islamistes de Tours, après l’ordre de l’État islamique sur facebook  d’« exporter la guerre dans les rues en France ».
Cela ne tarda pas.
À l’approche de la fête nationale, dans la nuit du vendredi 10 juillet 2015, un  incendie  embrasa  des tas de vieilles traverses  sous le pont de chemin de fer de l’avenue de Grammont à Tours, supprimant toute circulation de trains, voitures, trams et bus et occasionnant des travaux qui durèrent jusqu’en septembre pour un montant en millions d’euros (5).

C’est ainsi que le même procureur de la République de Tours, neuf jours après avoir classé l’enquête  sur l’attaque islamique de Joué, ouvrit une nouvelle enquête.
On ne trouvera aucune occurrence de cette enquête, ni d’une quelconque recherche des incendiaires. Le procureur  dira tout comme Noémie G. dans son article de France bleu.fr « Le feu est parti des traverses de bois » (6). L’affaire sera classée sans suite….

….. Cependant nous connaissons la suite sanglante de cette guerre contre nous, les mécréants, dans la nuit du vendredi 13 novembre 2015  dans les rues de Paris, les cafés, les restaurants, les terrasses, au Bataclan  et à Saint-Denis,  et qui  fit  480 victimes.

Pour terminer sur l’incendie du pont, il faut savoir qu’il se trouve dans le quartier du Sanitas (sensible, comme classé S par la DGSI ) qui a connu des émeutes et des voitures brûlées fin 2012. On y trouve le même islam radical qu’à Joué, à La Riche, à Saint-Pierre-des-Corps etc. Les salafistes  et les prédicateurs du Tabligh y font partout du porte à porte (1). Les femmes en burqa et voiles noirs sont leurs étendards djihadistes ambulants.

Et l’on trouve avec Mohamed François, l’exemple d’un imam qui prêche pour  déchaîner cette fureur incendiaire, à l’approche d’une fête nationale, ou  d’un jour férié lié à nos traditions chrétiennes, ou simplement le 31 décembre et la nouvelle année fêtée partout dans le monde.
Ainsi dans sa vidéo « information culte musulman / ICM – avec le titre : « Qu’as-tu préparé pour ton réveillon ? » (4)
L’imam brandit la menace. Il rappelle la fatwa dans les pays musulmans : « Sachez que la célébration d’une fête qui n’est pas la nôtre (…) fait de nous des gens qui appartiennent à une autre communauté. (…) Comment peux-tu oser fêter une fête qui n’est pas la tienne et qui ne correspond en rien à tes références religieuses ?

Donc, mon frère, ma sœur, je te conseille (…) la crainte d’allah en ce 31 décembre, ne réveillonne pas, ne fais pas partie des gens qui célèbrent cette fête, par laquelle dieu n’a fait descendre aucun texte, ni aucune preuve. (…)     Sinon ?
Rappelle-toi qu’il y a trois fêtes : l’aïd-el-fitr (…) l’aïd oul afta (…) et l’aïd oul aouzbour (…)  aucune autre fête n’est légiférée en islam, ceci est un rappel pour toi mon frère et toi ma sœur. »    Sinon ?

Voilà un prêche explicite, illustré par la séquence au début de la vidéo, où l’on voit d’abord une voiture qui flambe, puis un mécréant (ou koufar), se servant un verre, ensuite de bons musulmans hurlant allah akbar, suivi d’un fondu enchaîné pour suggérer le lancement d’un cocktail Molotov sur une voiture qui s’enflamme !

L’imam ne l’a pas dit mais  il rappelle que le devoir du musulman est de brûler et tuer ce qui est d’une autre communauté – notre nation française donc chrétienne- alors qu’elle est laïque-  qu’il doit haïr et dévaster.

Voilà le message fort  des imams des mosquées, des rues, et des prisons.
Voilà ce que les chefs religieux des organisations islamiques de France nomment dans leur double langage  « leur bien vivre ensemble en France » mais sans nous.
 Se  pourrait-il  encore que les djihadistes « locaux et/ou envoyés »  nous préparent bien  Noël, et bien le 31 décembre 2015 ? …en attendant de nous souhaiter une bien bonne année 2016 mais  sans nous,  façon an 3 de la terreur islamique ?

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Sources :

1   À Tours, les renseignements surveillent une quinzaine d’extrémistes potentiellement dangereux  /Pierre-Alexandre Bouclay   22.12.2014 Valeurs actuelles

Portrait de Bilâl Nzohabonayo, l’auteur de l’attentat contre trois policiers de Joué-lès-Tours   /Jean-Patrick Grumberg  21.12.2014 Dreuz.info

3   Le frère de l’assaillant de Joué-lès-Tours arrêté au Burundi /  Libération AFP 22.12.2014
Nota  Les chefs d’inculpation de Bertrand Nzohabonayo étaient  : « Trafic de stupéfiants, extorsion, vol et recel »  –  comme les fils des ministres Fabius, Taubira, Touraine, et celui de l’ex-favorite Trierweiler.  Cela expliquerait aussi  les manquements graves d’une justice  aux ordres du pouvoir.

4   La grande mosquée de Joué-lès-Tours, où le terroriste Bilal Nzohabonayo s’est radicalisé   / Alain Léger  Dreuz.info  21.12.2014
« Qu’as-tu préparé pour ton réveillon ? »
demande l’imam Mohamed François.

5   L’incendie d’un pont isole Tours sur la route des vacances  /La Nouvelle République.fr Synthèse Denis Daumin, enquête François Bluteau   12.07.2015

6   La circulation va rester perturbée après l’incendie qui endommage le pont de Verdun  /France Bleu Touraine  Noémie Guillotin 11.07.2015

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Quand l’Agence fait visiter son Petit Maghreb du XVIIIème arrondisement de Paris

1er septembre 2015

Sur le site du Comité départemental du tourisme de Seine-Saint-Denis (sis à Pantin), était annoncée pour le samedi 22 août 2015, par l’Agence de Promotion des Cultures et du Voyage (APCV), une Balade-repas dans le Petit Maghreb Barbès-Goutte d’Or (1) du XVIIIème arrondissement de Paris
Dans sa notice l’Agence évoquait une véritable « découverte de la communauté maghrébine qui fait vivre le quartier» dans des ruelles embaumées des senteurs d’épices, tissus, bazars et narguilés…aux couleurs orientales et méditerranéennes.»

On pouvait deviner que pour les habitants du premier département musulman de France par sa population, comme pour ceux de Saint-Denis- La -Mecque de l’islam de France (2) »,  l’effet « découverte » d’une « communauté maghrébine » serait quelque peu … atténué.

Et on devinait aussi que cette balade ne serait pas une visite-conférence sur l’histoire de l’ancien village de La Chapelle-Saint-Denis, ses croix de pierre ou Montjoies, ses moulins de la Butte des Couronnes et ses vignes dont «  l’appellation Goutte d’Or existait déjà en 1474 ; elle venait soit d’un lieu-dit où l’on cultivait la vigne, soit de l’enseigne d’un cabaret débitant un vin blanc cultivé à cet endroit. La Ville de Paris eut coutume au Moyen Âge d’offrir au roi de France, au jour anniversaire de son couronnement, quatre muids du vin réputé de la Goutte d’Or (3)».

Néanmoins, la notice de l’Agence promettait  « une ambiance Médina sur Seine  (…)  pour percer les mystères de ce quartier bouillonnant ».

Tiens ! Des mystères ? Cela méritait l’attention avant le rendez-vous de 10 h au métro Château Rouge (4), à deux pas de la rue Dejean, pour notre « voyage au cœur du Maghreb ».

Très vite, un premier « mystère » est éclairci car « le Petit Maghreb » du marché Dejean (et non pas Saint-Jean comme sur la notice), est plutôt connu sous le nom de « la Petite Afrique ». C’est même ce que les ethno-sociologues appellent « une centralité africaine ». Il s’agit de « commerces spécifiques pour les populations d’Afrique subsaharienne de toute l’Île-de-France et dont l’implantation est grandissante depuis les années 90. Ce furent d’abord la rue Dejean avec la rue Poulet et la rue des Poissonniers, puis les rues de Panama et Suez, puis les rues Labat et Marcadet puis la rue Doudeauville qui perdirent tous leurs commerces traditionnels au profit de commerces communautaires de gros et demi-gros. (…)
La foule des consommateurs a généré le phénomène des ventes à la sauvette de produits exotiques et de produits de contrefaçon [ou volés]. (5)»

Là où l’Agence annonce une balade dans des « ruelles embaumées des senteurs d’épices », les riverains de la rue Dejean qui ont créé, en 2013 leur association la Vie Dejean, sont exaspérés par le marché illégal qui rend leur rue invivable, les encombrements permanents de véhicules, de cartons et de détritus, les nuisances sonores, la saleté innommable avec des odeurs d’urine et d’immondices, et en prime un climat d’agressivité croissante.
Eux souhaiteraient pouvoir simplement vivre dans une ambiance paisible qui serait un heureux retour à l’atmosphère chaleureuse mais respectueuse des droits et devoirs de chaque citoyen en France, un retour à cette citoyenneté fraternelle que les enfants de toutes nationalités vivent et apprennent à l’école primaire Doudeauville comme dans les huit autres écoles du quartier.

L’année 2014 a vu aussi le Collectif Château rouge Goutte d’or – créé il y a une quinzaine d’années- constituer la liste Pari citoyen pour Paris 18 aux élections municipales avec un Programme – Manifeste pour les quartiers populaires du 18ème arrondissement , bel exemple de sérieux, d’esprit citoyen et de lucidité.

Si l’Agence évoque la communauté maghrébine et la douceur de vivre dans une «  ambiance Médina sur Seine », c’est pour mieux dérober à notre vue le deuxième « mystère de ce quartier vraiment chaud bouillonnant ».
En effet, le quartier «Petit Maghreb Barbès-Château-Rouge Goutte d’Or » est classé par le gouvernement et M. Valls, depuis septembre 2012 (dans la première vague et le premier pour Paris) en Zone de Sécurité Prioritaire (ZSP).
Ce qui signifie que le pouvoir politique sait que « ce quartier est touché par la dégradation de l’ordre et de la tranquillité publics : cambriolages, vols avec violence, installation durable de vendeurs à la sauvette dans des secteurs touristiques, implantation de trafics de stupéfiants dans des halls d’immeubles ou dans les squares publics (6) etc. ».
Cet etc. est lourd de silence hypocrite car il  masque la présence des réseaux criminels de prostitution de mineures, le spectacle des héroïnomanes et autres drogués dans leurs pratiques, les incendies de voitures et d’immeubles, les émeutes, l’encerclement de policiers…

En cette rentrée des classes, il faut souligner le beau courage des enseignants pour accomplir leur mission, et comprendre que pour les enfants et les adolescents de la Goutte d’or, le spectacle permanent et sordide des noirceurs, des délires, des bassesses et des violences inouïes des adultes, dès la petite enfance, met en péril leur équilibre, leur développement, leur sens moral, leur devenir.

Suivrait la découverte d’autres « lieux symboliques ». Ainsi rue Dejean «   le café social , lieu convivial des Chibanis » , dédié aux seuls migrants âgés ; puis la rue Myrha où l’on pourrait « visiter les boutiques et  découvrir que l’une d’entre elles vend des poules. » !

Mais le troisième « mystère », c’est bien ce que cache la visite de « l’Institut des Cultures d’Islam de Paris » car il a été créé en violation réelle et non pas symbolique de la loi de 1905 (7) par une escobarderie de jésuite avec le « r » qui substitue culturel à cultuel (8).
De fait, la mairie de Paris de M. Delanoë a investi un budget de 13,5 millions d’euros pour la construction d’une mosquée sous la pression de l’UOIF et du CFCM qui faisaient venir des centaines de musulmans d’Île-de-France pour prier dans les rues Polonceau et Myrha.

Et dans le même temps que bien chauffées par T. Ramadan , les frères musulmans et autres salafistes de Saint-Denis, les organisations islamiques  orchestraient  la subversion anti-laïcité des hommes musulmans dans les rues, elles  infligeaient aux femmes musulmanes (comme le font les talibans, les ayatollahs iraniens, l’émir d’Arabie saoudite,  l’État islamique ou Boko Haram etc.) la punition des voiles et des burqas dans l’espace public – autre subversion  du prosélytisme islamiste.

La Société des Habous et lieux saints de l’islam (sous tutelle algérienne) propriétaire de la Grande Mosquée de Paris, aurait- nous dit-on– versé 2,2  millions d’euros et règne en despote en s’arrogeant  le droit cultuel  de régenter  le culturel. Les expositions seront sélectionnées à l’aune de la charia. Ainsi, après six semaines d’ouverture, « la photographie d’une danseuse du ventre relativement dénudée a été interdite (9)».
Évidemment, sous le camouflage du « culturel », les organisations islamiques prévoient déjà  de multiples interventions dans les établissements scolaires laïques de la Goutte d’Or.

♠ En ce temps de si grand danger djihadiste, en ce temps où 5000 individus « S » djihadistes potentiels  prient dans les mosquées, en ce temps où  « l’imam Larbi Kerchat, figure historique de l’islam de France, Algérien, de l’Association cultuelle islamique de la mosquée Adda’wa, dit ne pas se souvenir des frères Kouachi : « Ce n’est pas mon rôle de les détecter (sic)»(10), il est bon de savoir que l’Agence a prévu la visite un samedi car elle sait que le vendredi l’Institut culturel est encore plus une mosquée.
En conséquence, pas de visite de l’exposition du rez-de-chaussée le vendredi,  car les organisations islamiques ont obtenu de la mairie de Paris qu’elle serve de salle de prières supplémentaire pour les hommes – les femmes (elles ont moins de péchés) se contentant de la petite salle au 1er étage, séparée par un épais rideau de la grande salle des hommes.

Alors qu’en France, on peut entrer le dimanche dans l’église Saint-Denis de La Chapelle, même pendant la messe, sans se faire jeter, dans  « le Petit Maghreb du 18 ème », les visiteurs repérés non- musulmans (!) sont forcément refoulés le vendredi, même si leurs impôts locaux ont financé ledit Institut culturel de la mosquée.

Le Petit Maghreb de Barbès – Goutte d’Or  – comme la Seine-Saint-Denis- sombre, depuis vingt-cinq ans en Outre-République – hors du champ de la citoyenneté, de la fraternité  et de la laïcité.

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Les extraits de la notice sont en italique. Il est bon de savoir que pour cette Agence, les recherches associées sur Google dirigent vers : l’Union des organisations islamiques de France (UOIF) / l’Association des projets de bienfaisance islamique de France / le Centre socio-culturel Tawhid (orientation politique : Frères musulmans Qardhawi- T. Ramadan- AKP- Ennahda) / l’Institut européen des sciences humaines (IESH) rattaché à l’UOIF / l’Association cultuelle islamique de la mosquée Adda’wa (Paris 19 ème – C’est la mosquée et l’imam des frères Kouachi).  

2 Cf. Gilles Kepel Quatre-vingt-treize Chapitre 1, p. 37 (Gallimard 2012)

3 Un muid ou la futaille qui contient la mesure d’un muid (environ 270 litres). Connaissance du Vieux Paris Rive droite Rive gauche & les Îles – Les Villages. J. Hillairet.

4 Ce fut une belle demeure en brique et pierre édifié en 1780 au milieu d’un vaste parc ; puis le bal public et champêtre du Château Rouge, en vogue de 1848 à 1864. (Source Dictionnaire historique des rues de Paris J. Hillairet Tome 1)

5 Source : Collectif Château rouge Goutte d’or 

6 Voir sur Gouvernement.fr   2 septembre 2015  Les incendiaires  criminels multirécidivistes (dont un Algérien trafiquant de drogues)  de la rue Myrha qui ont brûlé vives huit innocentes victimes (dont deux enfants) et dont les cris, les appels au secours et la défenestration de deux d’entre elles, seront gravés pour longtemps dans la mémoire collective, prouvent le niveau de grande criminalité sauvage des mafias du « Petit Maghreb ».

7 «  La République ne reconnaît, ne salarie ni ne subventionne aucun culte. En conséquence, (…) seront supprimées des budgets de l’Etat, des départements et des communes, toutes dépenses relatives à l’exercice des cultes. »

8 escobarderie : hypocrisie, fourberie avec des mots ambigus pour tromper. (du nom d’Escobar – célèbre casuiste jésuite espagnol XVIIème siècle).

9  L’ICI Goutte-d’Or, où le culturel avoisine le cultuel Léa Ducre Le Monde.fr 17.01.2014

10 [Source B. Zagdoun Francetv info 10.01.15]

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1er septembre 2015 (revu le 3 septembre)

Je suis Charlie En  mémoire

Du massacre à Paris par les frères Kouachi, djihadistes de la mosquée Adda’wa (Paris 19 ème – imam :  Larbi Kerchat) 

le 7 janvier 2015

Des dessinateurs de CHARLIE HEBDO : CHARB  CABU  WOLINSKI  TIGNOUS  HONORÉ,  des collaborateurs  Mustapha OURRAD, Elsa CAYAT, Frédéric BOISSEAU, du journaliste Bernard MARIS, de l’invité Michel RENAUD, des policiers Franck BRINSOLARO  Ahmed MERABET.
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Cf. par
L’ingénue
« La Seine-Saint-Denis, c’est comme au bled. »  31 décembre 2016
En passant devant l’université Paris VIII Saint-Denis  23 février 2017

 

 

Vive le Collectif des femmes sans voile …. et les Algériennes en bikini !

  Note du 15 juillet 2015  mise en avant le 2 août 2017

2-3 août 2017

Vive « les opérations bikini » sur les plages en Algérie !

Résultat de recherche d'images pour "les Algériennes en bikini" geopolis.francetvinfo.fr

Vive la magnifique détermination et le beau courage de  milliers de femmes algériennes qui disent NON à l’esclavage de la loi islamique qui génère en plus  le harcèlement sexuel !

On lit dans Le Parisien.fr du 3 août 2017 :
« Plage de Sidi-Fredj, près d’Alger (Algérie). Porter un bikini sur la plage n’est pas interdit dans le pays. Mais c’est mal vu (sic) et la pression sociale (sic) s’intensifie. »

Le même harcèlement ou « loi du mâle »  sévit dans tous nos quartiers islamisés – en Seine-Saint-Denis, dans les quartiers nord de Paris ou de Marseille … dans toute la France.

Vive le Collectif des femmes sans voile  et son Comité Laïcité République !

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Cf. En Algérie, les femmes organisent « la révolte du bikini » BFMTV  Clothilde Bru 26.07.2017
Sur les plages algériennes, le bikini pourrait faire évoluer les mentalités   La Croix  Salomé Parent 19.07.2017
 Des « opérations bikini » contre le harcèlement sexuel en Algérie  Le Figaro Mylène Bertaux  20.07.2017

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15 juillet 2015

Et si les vraies citoyennes « féministes » françaises du XXI ème siècle étaient dans le Collectif des femmes sans voile d’Aubervilliers  ?

Par leur volonté, leur ténacité, leur persévérance, leur courage quand elles affrontent seules les intégristes, frères musulmans ou salafistes de Seine-Saint-Denis, elles sont exemplaires.

Alors qu’elles sont ignorées par les médias nationaux, presse- radios -télévisions privées ou publiques – régentés par des godillots  PS,

Alors qu’elles sont indignement lâchées  par un gouvernement Valls qui a fait « l’erreur 404 » d’effacer  de son site la belle présentation de  La  République se vit à visage découvert  : « Pour plus d’informations, un site internet est à votre disposition : www.visagedecouvert.gouv.fr. »
 

Alors que dans son rapport remis au Premier ministre en juin 2015, M. Malek Boutih écrit, p. 35 que
« le djihadisme est la partie la plus avancée de la radicalité politico-religieuse de l’islamisme« , que
« les islamistes ont élaboré une méthode pour s’implanter, élargir leur sphère d’influence et recruter sur tout le territoire » et p. 36 que
« la première étape du mécanisme de la radicalisation islamiste est de commencer par planter un drapeau, autrement dit afficher ouvertement l’existence d’individus radicalisés. C’est là le rôle du voile puis de la burqa ou des barbes non taillées et des vêtements traditionnels, voire de codes comme le port permanent de pantalons courts laissant voir les chevilles. » (…)

Aussi, le député de l’Essonne comme l’ancien maire d’Évry * savent-ils  depuis longtemps qu’autour de chaque femme en voile ou en burqa gravite une sphère d’influence islamiste et qu’une bonne application de la loi aurait mis au jour, dès les massacres de Merah en 2012, les réseaux de radicalisation.

Mais on le voit, le double langage des organisations islamiques de France a déteint sévèrement sur le député et le Premier ministre ; le premier ne tire aucun enseignement pour conseiller la plus grande fermeté vis à vis du respect des lois sur le voile et la burqa  qu’il nomme cependant  « drapeaux de l’islamisme », le second rejette la loi hors de son site parce qu’il a donné l’ordre de ne  pas l’appliquer.

Reniant la Déclaration des droits de l’homme et de la femme et les lois de la République, complice des frères musulmans et des salafistes de l’UOIF et du CFCM, le gouvernement laisse libre cours à l’islamisation ciblant les femmes, alors qu’il sait, comme nous, comment arrivés au pouvoir,  les talibans, Al-Qaïda, l’État islamique ou Boko Haram  les  traitent : après la burqa, les viols, la séquestration, le mariage forcé, l’esclavage sexuel, le vitriol pour celles qui veulent étudier, la lapidation, la pendaison… la mort.

Ce gouvernement depuis 2012, trahit les femmes laïques, libres, égales et fraternelles, qui défendent les lois républicaines et se battent contre ces « drapeaux de l’islamisme » en France.
Elles sont la fierté de la République française !
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*  Cf. « L’une à Kandahar, l’autre à Évry / 27.12.2009

Enfin,  l’on a retrouvé notre belle Marianne  illustrant la loi du 11 octobre 2010 entrée en vigueur le 11 avril 2011.

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27 juillet 2015     Apostille
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♠ C’est l’été, pensez ! un 22 juillet 2015,  dans le beau parc Léo Lagrange de Reims !
Comment imaginer qu’une jeune femme en maillot de bain interpellée aux cris de « Allez vous rhabiller, c’est pas l’été (sic) »  ait été agressée si brutalement par cinq filles,  qu’elle se retrouve au CHU souffrant de blessures justifiant quatre jours d’incapacité totale de travail  ?
Banale affaire pour la commissaire de permanence qui a précisé  à l’AFP que  c’est parce que « la femme ainsi interpellée ne s’est pas laissée faire [que] cela a dégénéré en violences.» Ben voyons ! quand on vous tape dessus, il faut se laisser faire !
Et le parquet de Reims affirme à la presse locale qu’il n’y a eu « ni mobile religieux [ni] mobile moral qui aurait déclenché l’altercation», donc pas de  bonne raison (sic). (Sources Le Figaro.fr 27.07 et Libération.fr 26.07.2015)

J’en conclus  simplement que cinq filles (musulmanes mais tolérantes – nous dit-on(!) qui voient une fille en maillot de bain ont une vraie mauvaise raison pour pratiquer un lynchage en règle de cette dernière : c’est pour la punir.
Et à Reims comme à Téhéran, le juge et la commissaire donnent raison aux matrones de la police des mœurs.

Et une fois de plus, un journaliste de Libération.fr épingle  la « fachosphère »- c’est-à-dire nous CHARLIE, citoyens fraternels –  qui pensons que faire mal pour faire peur et soumettre est une pratique criminelle de la terreur islamique.
Elle se met en place à Reims comme à Aubervilliers.

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♠  2.08.2017 Ajout de la note du  31 décembre 2016 dans  « La Seine-Saint-Denis, c’est comme au bled. »

Je ne pouvais finir l’année 2016
sans évoquer le naufrage de l’égalité des droits des femmes en Seine-Saint-Denis, et partout où s’est imposée par la menace de mort, la loi islamique de la soumission des femmes.

♠♠ Au moment où l’on apprend qu’en Afghanistan – à Latti, dans la province de Sar-e-Pul, au nord du pays, sous contrôle taliban- une  femme de 30 ans a été décapitée par une bande armée, « au motif qu’elle se promenait, seule, dans un magasin« (1) ; deux femmes avaient filmé à Sevran ♦(en caméra cachée) l’interdit qui leur était opposé  de s’asseoir dans un café.
Et pour qu’elles comprennent qu’elles n’étaient plus en France (sic) et n’avaient pas le droit d’être dans un lieu public,  le patron leur avait asséné la formule :  » Dans le 93, c’est comme au bled. »
À Sevran donc, un patron de café pour hommes musulmans, obéit exactement et en même temps,  à la même logique barbare que les talibans de Latti : aucune femme dans un lieu public.

Ainsi, à la question que je posais, le 19 novembre 2013 : « La Seine-Saint-Denis est-elle déjà un territoire d’Outre-République laïque? »(2), le patron (3) et ses clients avaient répondu OUI.
À Sevran, la loi républicaine ne s’applique plus,  c’est l’islam intégriste, c’est la loi du bled qui l’ont supplantée, et malheur à celles qui n’obéiront pas !

Ce soir,  F. Hollande  nous présentera  pour la cinquième et dernière fois, ses vœux de président,  on constatera une fois de plus, combien il excelle dans l’art de la tartufferie.
C’était déjà le cas, dans  ses confessions de coquefredouille sur sa pratique du pouvoir (4),  avec sa sentence sur  » la femme voilée d’aujourd’hui [qui] sera la Marianne de demain ».
Mais il a fait tout le contraire ; par l’absence de volonté républicaine assumée, et sur le détestable modèle de l’Arabie saoudite,  il les a laissées se soumettre à l’obligation du port du voile, quand ce n’est pas à celui de la burqa, alors que les menaces salafiste et frériste devenaient de plus en plus violentes.

Il faut bien constater l’impuissance de cette majorité de gouvernement PS depuis 2012, et se tourner vers l’exécutif du Conseil départemental de Seine-Saint-Denis, exclusivement PS-PC-EELV sous la présidence de M. Troussel PS, avec ses sept vice-présidents PS, et ses quatre vice-présidents PC-Front de gauche pour une transformation sociale et écologique.

Il y a bien une vice-présidente chargée de la jeunesse et de la lutte contre les discriminations et une conseillère départementale déléguée chargée de l’égalité femmes-hommes et de l’Observatoire départemental des violences faites aux femmes, mais nulle part, n’ont été défendues  l’idée que la citoyenneté des femmes est menacée, l’idée d’une « transformation sociale » vers  plus de liberté et d’égalité pour les femmes. L’exécutif en Seine-Saint-Denis a été et demeure totalement impuissant face au pouvoir des intégristes.

Pour la Primaire de la gauche de janvier 2017, où se présentent ceux qui ont contribué à ce déni de la République fraternelle et laïque, on attendra qu’ils nous déclarent :
… si,  oui ou non, en Seine-Saint-Denis, mais aussi partout en France, avec un président PS,  ils veulent pour notre avenir, que les femmes françaises, déjà exclues à Sevran,  subissent le même sort que cette jeune Afghane en décembre 2016, à Latti, chez les talibans …

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1   28.12.2016  Une Afghane décapitée  Baptiste Erondel   Le Figaro.fr

2 La Seine-Saint-Denis est-elle déjà un territoire d’Outre-République laïque?     19.11.2013