Pour Samuel Paty, l’hommage de J. Jaurès, et celui des collégiens de Biguglia

25 – 27 décembre 2020 4 février 2021 note mise en avant le 15 octobre 2021

                   Note remise en avant, ce 15 octobre 2022. 
L’émotion est toujours aussi forte, deux ans après la mort de Samuel Paty.

Comme elle l’est pour les proches de toutes les victimes, depuis le début de ce sanglant XXIème siècle, qui résonne toujours du commandement de Mahomet, prêchant en 632 « la guerre sainte » contre tous les « païens », après avoir éliminé les juifs de Médine en 627.
C’est ainsi, que jour après jour en France, les islamistes mènent une guerre larvée contre tous les citoyens « païens » que nous sommes.

Ils vivent en France mais ils s’érigent en adversaires criminels de notre République française indivisible, laïque, démocratique et sociale.
Ils refusent, ils haïssent la laïcité qui assure pourtant la liberté sans discrimination, l’égalité et non la soumission, la fraternité pour l’avenir de notre nation.  
L’hommage qui sera rendu à Samuel Paty ne pouvait qu’exciter une fois de plus leur haine contre notre laïcité.
C’est ce qui s’est passé le 4 octobre 2022 pour un professeur
du lycée Scheurer-Kestner de Thann (Haut-Rhin) menacé de mort par l’oncle d’une élève, après un cours sur la laïcité ; et le 10 octobre 2022, pour un professeur destinataire d’un courrier adressé au lycée Georges Brassens d’Évry-Courcouronnes (Essonne), en ces termes :
                            « Votre professeur le sale juif  
                                doit arrêter de faire le malin.

                                On va lui faire une Samuel Paty à lui
                                et à son père le vieux rabbin sioniste.       
                                Les juifs on n’en veut pas dans les lycées.
                                Restez dans vos synagogues.
                               On va s’occuper de lui à la sortie du lycée. »

Lire « Les Territoires conquis de l’islamisme » 
sous la direction de Bernard Rougier /Presses Universitaires de France / 2ème édition, janvier 2021
Cf. p. 15 de l’Avant-propos :
« (…)
  l’ouvrage illustre (…) la cohérence du travail idéologique conduit par les islamistes sur une partie significative de la population musulmane en France, en particulier auprès de la jeune génération. (…)
Cette étude (…) explique pourquoi (…) « 74 % des Français musulmans de moins de 25 ans affirment placer l’islam devant la République. » [ Sondage IFOP pour Charlie hebdo et La Fondation Jean Jaurès, 2 septembre 2020.]

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En cette terrible année 2020, en ce temps de pandémie covid-19, il aura fallu, que jour après jour, dans tout le pays,  se démultiplient les assassinats, aux couteaux, aux marteaux, aux hachoirs, aux armes de guerre, tous les saccages, tous les incendies de voitures et de bâtiments publics, toutes les violences criminelles  de la minorité subversive anarcho-djihadiste (1).

Le peuple français  est leur cible.
Notre patrie est en danger . . .  et  le sang des citoyens en est le prix . . . dans l’indifférence totale de Macron, celui qui,  le 7 mai 2017, avait dit : « 
Je vous servirai avec amour (!)  »  alors qu’il ne voulait  qu’une majorité servile de députés.  

Et encore, le 16 octobre 2020, la décapitation de Samuel Paty, professeur d’histoire-géographie, près de son collège à Conflans-Sainte-Honorine, exécuté par un islamiste tchétchène Abdoullakh Anzorov, et ses complices  en France :  trois  djihadistes  pour acheter  les couteaux à Rouen, le père d’une élève du collège, des collégiens (futurs djihadistes ) pour désigner le professeur , un imam pour la fatwa de la mosquée de Pantin.

On ne pardonnera pas à Macron l’incohérence de son discours de la Sorbonne du 21 octobre 2020 (2). [ discours suivi le 29 octobre 2020 par deux égorgements et une décapitation de trois personnes, par l’hydre islamiste dans la Basilique de Nice.]

Le protocole de mise en scène de cérémonies d’hommage aux innocentes victimes de la terreur islamique est devenu pour Macron, «une banale routine», informé  qu’il est, depuis janvier 2020, par « la Direction générale de la sécurité intérieure  (DGSI)  des 150 quartiers [a minima] sous l’emprise de l’islam radical  » en France (3).
Il y fut égal à lui-même, lamentable ; comme le seront sa loi « dite de la sécurité globale », et son projet de loi sur  « le séparatisme (?)« , nouveau nom pour ne pas dire « djihad de  l’hydre islamiste »  contre la République laïque. 

Il avait pourtant clamé  « sa vigilance face à l’hydre islamiste » dans  son discours du 3 octobre 2019 (4) à la Préfecture de police de Paris après les égorgements de quatre policiers par Mickaël Harpon selon la fatwa de la mosquée de Gonesse (Val d’Oise).
[Alors que dans son discours  du 7  mai 2017 (5 ),  il  se déclarait notre « humble serviteur », on sait désormais qu’il est celui de son Conseil islamiste français (?) du culte musulman auquel l‘expression « hydre islamiste » aura déplu.] 

Un an après, le 21 octobre 2020, Macron le lâche a commencé par :

« Ce soir je n’aurai pas de mots pour évoquer la lutte contre l’islamisme politique, radical, qui mène jusqu’au terrorisme (?). Les mots, je les ai eus (?). Le mal, je l’ai nommé. Les actions (?), nous les avons décidées (?), nous les avons durcies (?), nous les mènerons jusqu’au bout (?). »

Pour oser dire à la fin :
« Alors, pourquoi Samuel fut-il tué ? Pourquoi ? Vendredi soir, j’ai d’abord cru à la folie aléatoire (?), à l’arbitraire absurde (?) : une victime de plus du terrorisme gratuit (??????)…»
Il a osé dire cela. 

Selon lui,  ayant déjà réglé le problème de  la sécurité des Français, il  pouvait faire celui qui s’étonnait comme un simple d’esprit, en disant qu’il n’y comprenait plus rien !

⇒  C’est surtout parce que notre paix civile violentée, jour après jour, depuis 2012 par les barbares islamistes, et aussi depuis 2017 par les black bloc et autres forcenés ne l’a jamais  concerné.

 Lui, qui avait été financé par des milliardaires pour obéir à leur ordre mondialiste, sous leur étendard de « la grande peur climatique ».

Lui,
chantre de « la transition écologique » qui avait été leur protégé, face aux désastres de notre  patrimoine national, à  ces pollutions monstrueuses, que furent les incendies djihadistes de Notre-Dame de Paris, le 15 avril 2019 et de l’usine Lubrizol, à Rouen, le 25 septembre 2019.

Lui, qui facilite les licenciements massifs, indifférent à la désespérance des chômeurs et à la paupérisation programmée des retraités dans son projet de réforme, pouvait déclarer :  « Tout cela n’est pas mon affaire ».
Car lui, sous « le haut- commandement allemand et américain de L’Union européenne » est déjà passé au projet Hercule de démantèlement d’ EDF,  qui mettra fin à la souveraineté énergétique de la France, en fragilisant le nucléaire français, dont il a déjà, sous leur ordre,  fermer la centrale  de Fessenheim  . . . pour rouvrir, « sans avoir peur », des centrales à charbon … comme celle de Saint-Avold.


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Enfin, retrouvons en cette période de Trêve des Confiseurs,  notre belle jeunesse des écoles, des collèges et des lycées, et leurs professeurs.

    En hommage au professeur Samuel Paty, le 2 novembre 2020,  elle a entendu la lecture d’un extrait de l’article vibrant du professeur de philosophie et plus jeune député Républicain,  Jean Jaurès, s’adressant   Aux Instituteurs et Institutrices, le 15 janvier 1888. (6)

     Mais pourquoi aura -t-il fallu  que « les plumes de l’ Élysée » en suppriment  quatre paragraphes, pour maintenir  le  paragraphe 2,  celui où  Jaurès déplorait que les écoliers du monde paysan soient moins assidus.

 Alors que chacun  sait que  leur absentéisme était lié à leur aide utile, à la ferme et aux champs, et que, pour la grande majorité d’entre eux, il n’aura pas nui à leurs apprentissages fondamentaux.

Ainsi, il était injuste et stupide de faire entendre aux jeunes  du XXIème siècle, que ces courageux enfants de la campagne qui participaient au dur labeur de leurs parents [faisaient] « souvent au sortir de l’école, des rechutes profondes d’ignorance et de paresse d’esprit. »
D’ailleurs, la qualité des lettres de nos valeureux grands-pères à leurs familles, pendant la guerre de 1914-1918, est là pour le prouver.

    Cet absentéisme  n’est en aucun point comparable à l’absentéisme des collégiens actuels, dans des familles qui se désintéressent de l’école républicaine laïque, là où leurs « modèles » et leurs « éducateurs » sont des  délinquants islamistes multi-récidivistes.

⇒ Mais hélas ! Désormais, cela correspond bien, dans d’innombrables quartiers à l’effondrement des savoirs en français et en mathématiques.

   Et c’est justement, parce que Jean Jaurès voulait que tous réussissent,  que son
article est une remarquable ode à la lecture, par laquelle, au fil des jours, l’enfant  développe son intelligence, sa compréhension et son désir d’apprendre toujours plus, pour comprendre toujours mieux.
D’où
l’importance de l’excellent apprentissage
d’alors, par la méthode syllabique qui facilitait – puisqu’à l’oral l’enfant les connaît bien –  l’acquisition  des mots écrits, leur écriture et leur orthographe.        L’apprentissage simple et rapide était là, pour permettre à l’enfant de goûter plus  vite au plaisir de lire, et d’écrire lui-même.

Comme l’écrit Jean Jaurès, et comme Samuel Paty  l’avait si bien compris :
«Les enfants ont une curiosité illimitée. (…)  Il y a un fait que les philosophes expliquent différemment suivant les systèmes, mais qui est indéniable : « Les enfants ont en eux des germes, des commencements d’idées. » Voyez avec quelle facilité ils distinguent le bien du mal (…).
 Il ne faut donc pas craindre de leur parler  avec sérieux, simplicité et grandeur.
Je dis donc aux maîtres, pour me résumer : lorsque d’une part vous aurez appris aux enfants à lire à fond, et lorsque d’autre part, en quelques causeries familières et graves, vous leur aurez parlé des grandes choses qui intéressent la pensée et la conscience humaine, vous aurez fait sans peine en quelques années œuvre complète d’éducateurs. Dans chaque intelligence il y aura un sommet, et, ce jour-là, bien des choses changeront.»


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Et regardons enfin la très sensible chorégraphie : « Je ressens quelque chose » , en hommage à Samuel Paty, créée pour les élèves de  6e du collège de Biguglia (Académie de Corse),  par Virginie Letellier et Françoise Simeoni, leurs deux  professeurs d’Éducation physique et sportive, sur une musique d’Armand Amar.

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1  Cf.  par  L’ingénue  17 mai 2018 La résistible extension de l’anarcho-djihadisme 

 Cérémonie d’hommage national à Samuel Paty à La Sorbonne 21 octobre 2020

3     Actu17.fr  20 janvier 2020  La DGSI a répertorié 150 quartiers sous l’emprise de l’islam radical  

Cérémonie nationale d’hommage aux victimes  de l’attaque du 3 octobre 2019 à la Préfecture de Police de Paris

 Cf. par L’ingénue   7 mai 2017   Macron 1er était en campagne devant la pyramide

6  Jean Jaurès  Aux Instituteurs et Institutrices, le 15 janvier 1888 dans La Dépêche

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Douloureuse apostille

Cf.  par L’ingénue  10 février – 7 mars 2021 

La patrie en danger – Il n’y aura pas de collège Samuel-Paty à Ollioules

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Il n’y aura pas de collège Samuel-Paty à Ollioules (proche de Toulon).

 La  monstrueuse terreur islamique est déjà plus puissante que notre République française trahie par le misérable projet de loi Macron,  « confortant », non pas comme il dit, « les principes républicains », mais l’islam politique du Conseil  français (?) * du culte musulman, dans le massacre de nos citoyens et de notre laïcité 

Cf.  L’article de C. Ardid :  Pas de collège Samuel-Paty  p.4  Charlie Hebdo n°1489 / 3 février 2021

Extraits : « ( …) Nous avions obtenu l’accord de la famille du défunt, explique Robert Bénéventi, maire LR d’Ollioules. Même chose pour le conseil général, qui gère les collèges. Unanimité au sein du conseil municipal, à qui je souhaitais proposer une délibération samedi dernier. Et puis, tout s’est effondré.»
Sans avertir le maire, le principal de l’établissement lance un sondage en interne sur le site Pronote.
Les résultats tombent : 100% des profs, 89 % des parents et 69% des élèves refusent que leur collège [Les Eucalyptus] soit rebaptisé Samuel-Paty.
« Ça veut dire quoi , s’indigne Robert Bénéventi, que les terroristes ont gagné ? »

* Lire aussi l’ article de Laure Daussy :  Conseil des imams – Le recteur de la Grande mosquée de Paris, écœuré, lâche l’affaire p.4 Charlie Hebdo n°1484 / 30 décembre 2020

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Le « séparatisme islamiste » ou la Convention musulmane citoyenne de juin 2014

6 octobre 2020

 

6 – 7 – 16 octobre 2020 jour de la décapitation du professeur Samuel PATY – résistant laïque à la guérilla djihadiste. 26 –  puis note mise en avant le  28 octobre 2020 

 

    Quand Macron disait le 2 octobre 2020, dans son discours aux Mureaux que   « Ça fait trois ans que je travaille d’arrache-pied avec le CFCM « , il ne nous disait pas quel CFCM !

Mais nous savions que pendant deux ans, le Conseil français (sic) du culte musulman,  c’était avec « celui qui n’était pas Charlie » en janvier 2015,  l’intégriste Ahmet Ogras (♠) , [président du Comité de coordination des musulmans turcs de France (CCMTF),  très proche des  frères musulmans et du dangereux président Erdogan, proche de l’Égypte et des frères musulmans de L’UOIF, [l’Union des organisations islamiques de France des dangereux  Amar Lasfar et Tariq Ramadan], sans oublier  que les  frères musulmans  sont aussi  liés  à l’AMIF [Association musulmane pour l’islam de France] de Hakim El Karoui,  et l’infiltration des wahhabites d’Arabie saoudite.

Bref, Macron se vantait d’avoir élaboré sa lutte contre le « séparatisme islamiste »[euphémisme pour signifier la terreur djihadiste] et son projet de loi, avec les suppôts de l’ islam radical !

Alors que la « Convention citoyenne des musulmans de France en 2014 » (1),  du Conseil Français du Culte Musulman, mais sous la présidence de Dalil  Boubakeur, avait été l’affirmation  des musulmans de vouloir vivre dans notre République laïque.
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⇒  ⇒ Mais, Ahmet Ogras, avec tous ces chefs intégristes islamistes, avec tous les pires ennemis des citoyens musulmans laïques de France, ont  fait  disparaître  le texte de 2014, alors que débutait en France depuis 2012, avec les sept victimes (dont deux enfants) du tueur Mohamed Merah, une impitoyable guérilla djihadiste , dont l’écho résonne toujours aujourd’hui, comme une menace terrible,
venant de tous les pays islamistes de la planète :

«Je suis Mohamed. Je ne suis pas Charlie Hebdo ».
Au nom de notre dieu,
il est juste de tuer en France tous les mécréants,
et les assassins sont nos héros».
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         La France, notre patrie, est en danger.
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Comme  avec le magnifique appel des musulman(e)s de France (2), on lit dans cette Convention citoyenne, une volonté des  musulman(e)s  de  rejoindre  notre laïcité fraternelle et paisible, dès le Préambule  :   « l’islam adopte  comme principe fondateur le respect des règles et des lois républicaines. Elles fondent le vivre ensemble et assurent l’épanouissement harmonieux des hommes et des femmes de ce pays. »

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Quand Macron disait le 2 octobre 2020 :  » Le problème, ce n’est pas la laïcité », il n’avait encore rien appris, et rien compris !

Et n’ayant pas lu la Convention citoyenne des musulmans de France de juin 2014, il ne savait pas que les citoyens musulmans laïques  « considèrent la laïcité comme un acquis majeur du vivre ensemble et de la non-discrimination des citoyens. » (?)(1)  

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  C’est justement, au nom de la laïcité qui est non-discrimination (2), que la prochaine Convention citoyenne des musulmans de France devra admettre, que le voile est une discrimination-soumission religieuse de la fillette comme de la citoyenne – [a fortiori quand elle porte une burqa] – à l’école, comme à l’université,  comme dans tous les espaces publics.
Et il restera  encore  à cette prochaine Convention citoyenne des musulmans de France, d’inscrire le respect  de la  liberté de conscience des musulman(e)s  face à leur religion – comme elle existe pour les deux autres monothéismes (c’est-à-dire la liberté de croire, ou de ne pas croire, en  ces trois dieux).

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 par L’ingénue : chaque (?),  à la fin d’une phrase soulève le doute,
pour un futur proche, tant le décalage est grand entre ce texte et la réalité djihadiste, partout en France.

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Cependant voilà quelques  Extraits du Préambule et l’article 9 sur « Les musulmans de France face au radicalisme, à l’extrémisme et à la violence » de  la Convention citoyenne des musulmans de France « ignorée » depuis 6 ans,  par les présidents Hollande et Macron, et leurs gouvernements  et par les élus de l’Assemblée nationale  et du Sénat.

PRÉAMBULE 

« En mesure d’assumer sa responsabilité dans tous les domaines de la vie de la société, la communauté musulmane de France affirme son identité, sa culture et sa religion. Elle aspire à mieux préciser sa place, son rôle et sa contribution dans la société.
Rejetant le repli communautariste, les musulmans de France projettent tous leurs efforts dans une communauté de destin portée par une intégration juste, loyale et solidaire. 
L ’Islam s’il est unique en sa doctrine, il est multiple dans son histoire et ses expériences. En France, il adopte comme principe fondateur le respect des règles et des lois républicaines (?) . Elles fondent le vivre ensemble et assurent l’épanouissement harmonieux des hommes et des femmes de ce pays.

Les musulmans de France aspirent à l’union de tous, sans distinction d’origine ethnique, nationale, linguistique ou d’obédience d’écoles ou schismatiques. Ils considèrent la laïcité comme un acquis majeur du vivre ensemble et de la non-discrimination des citoyens (?). 
(… )  
Prônant la tolérance religieuse (?) et un dialogue avec l’État et les cultes, les musulmans de France affirment leur aspiration à une identité culturelle et religieuse authentique dans la liberté et dans le cadre des institutions (?).

Les musulmans de France désirent réaliser leur unité et manifester leur expression pour et par eux-mêmes dans les débats et questions qui les concernent :

L’Islam est parfaitement compatible avec les lois de la République (?). Nul besoin de texte nouveau, d’adaptation législative ou d’évolution jurisprudentielle : l’islam trouve tous ses repères dans le droit commun (?).

 Vivant dans le temps et l’espace de leur société, les musulmans de France affirment leur volonté d’ouverture et de paix dans le rejet de la violence et la condamnation de toute menée subversive, terroriste ou criminelle
Tout musulman doit avoir à cœur de se démarquer nettement de l’extrémisme (?). Les lieux de culte et les mosquées ne sont dédiés qu’à l’adoration de Dieu, et à rien d’autre.

Les musulmans de France appellent les pouvoirs publics à conjuguer leurs efforts avec les familles musulmanes et les responsables religieux pour juguler les actions, subversives et radicales, qui ternissent l’image de la religion musulmane (?).   ( … )

Les musulmans de France reconnaissent pleinement l’égalité entre l’homme et la femme (?). Ils appellent à l’épanouissement personnel et professionnel des femmes musulmanes, dans le cadre de la loi (?).

Les musulmans de France considèrent que le voile est une prescription religieuse (?) . Si nombre d’entre eux ont pu vivre la loi sur l’interdiction du port du voile à l’école publique comme une injustice, ils respectent les choix de la communauté nationale (?). Les musulmans de France, suivant la position adoptée par la majorité des théologiens musulmans, considèrent que le port du « voile intégral » n’est pas une obligation religieuse (?)( … )

  L’Islam recommande la science et honore les savants. La bioéthique musulmane a pour principe le respect de la vie(?). Le médecin, homme ou femme, est pleinement responsable de ses malades. On ne peut récuser ni l’un ni l’autre.  ( … )
  Les musulmans de France tiennent à préserver et à entretenir la mémoire des leurs qui se sont sacrifiés pour la France, qui par le sang versé durant les guerres nationales, qui par leur travail pour l’édification de son économie,  sont les véritables fondateurs de l’Islam de France (?).
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Article 9  sur  « Les musulmans de France face au radicalisme, à l’extrémisme et à la violence »

L’Islam prône « une communauté du juste milieu » (al wasatiyya Coran II-143). Les lieux de culte et les mosquées ne sont dédiés qu’à l’adoration de Dieu et à rien d’autre. (Coran 72-18).   Contrairement à une idée répandue (?), le mot « Jihâd  » signifie notamment la lutte et l’effort sur soi-même, en accomplissant le bien (?). Cette action a surtout une dimension spirituelle, consistant à œuvrer de son mieux pour accomplir le bien (?) . Dans le Coran, ce mot est employé sous ses différentes formes à 33 reprises (?).    [(?) Par L’ingénue )

Les menées politiques, idéologiques ou activistes, instrumentalisant ainsi le religieux, ne peuvent que dénaturer le message et la vie des musulmans de France, soucieux avant tout de s’intégrer à la société française dont ils font pleinement partie.

Les musulmans de France sont inquiets par l’attractivité des thèses radicales auprès d’une fraction de la jeunesse en quête de sens, confrontée à des injustices et inégalités. Cette voie radicale, qui s’apparente à une déviance, profite des fragilités personnelles et recourt souvent à la manipulation et au dévoiement des textes sacrés.

Il est impératif que les musulmans dans leur ensemble se mobilisent afin que la jeunesse puisse retrouver le chemin d’un islam apaisé.
Les institutions, les élites et les pouvoirs publics doivent conjuguer leurs efforts avec les familles musulmanes pour juguler ces actions subversives qui ternissent l’image de la religion musulmane.

Les musulmans dans leur totalité (?) récusent la violence et font tout ce qui est en leur pouvoir pour éviter que leurs jeunes succombent aux messages délétères qui incitent notamment à la violence ou au fanatisme. ( . . .) »

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1 Convention citoyenne des musulmans de France pour le vivre-ensemble  

2  Cf. Par L’ingénue  (novembre 2019)  Le magnifique courage de l’Appel des musulman(e)s de France


 Cf. Par L’ingénue ( mai 2016 – février 2019)De l’horrible danger de la lecture (Voltaire –  1765 )

 

(♠) Entendre Ahmet Ogras, (vice-président du CFCM en 2015  et président de 2017 à 2019)   dans « Il n’y a pas d’islam radical », le 15 janvier 2015 [8 jours après le massacre de Charlie Hebdo].

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Macron sous la gouvernance  du Conseil français du culte musulman

2- 3 octobre 2020

M. Macron, « l’humble serviteur du peuple français » au soir de son élection en 2017, nous prouve qu’il est désormais le meilleur serviteur du Conseil politique du culte musulman, « tête française de l’hydre islamiste ».

Après leurs nombreuses rencontres amicales, MM. Ahmet Ogras et Mohamed Moussaoui, ancien et actuel président du CFCM  lui ont dicté un discours à cinq piliers comme pour l’islam , afin que le peuple français comprenne bien que l’allégeance de la-République-en marche de M Macron à « l’hydre islamiste » était totale.

Et c’est ainsi que  l’ancien (futur) banquier, dans son  discours aux Mureaux du 2 octobre 2020, a fait mille et une promesses, dont le coût n’a pas été communiqué, sauf celui de doter  l’hydre islamiste de « 10 millions d’euros (…) pour les études islamiques de haut niveau,  pour créer un institut scientifique d’islamologie, et au bénéfice de la loi sur l’enseignement supérieur et la recherche, pour créer  des postes supplémentaires pour la recherche sur la civilisation musulmane (…) ». 

Le banquier a décidément la mémoire courte …  

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Macron a pris la liberté d’écrire le magnifique mot « Fraternité » plus petit que « Liberté » et  « Égalité ».

 

Et il a pris aussi la liberté de ne pas ajouter le magnifique mot « Laïcité », puisqu’il commence son discours par un péremptoire :

« Le problème, ce n’est pas la laïcité ».

 

  • péremptoire  : Qui détruit d’avance toute objection ; contre quoi on ne peut rien alléguer, rien répliquer.

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Le communautarisme séparatiste est un déni de notre laïcité

 30 septembre -1er octobre 2020

 

  Alors que nous traversons des années terribles d’attentats, de guérillas et de destructions urbaines permanentes, d’incendies effroyables, ajoutés aux drames sociaux et familiaux dus à la pandémie, M. Macron louvoie avec « le séparatisme », sa dernière trouvaille pour masquer le vrai sens de la loi de 1905, notre plus belle loi laïque  sur la séparation des Églises et de l’État.

Le président Macron semble n’avoir d’oreille que pour M. Mohamed Moussaoui, l’actuel président du CFCM, qui exigeait en 2009, à Strasbourg, « 
l’extension du droit concordataire à l’islam en Alsace-Moselle » ; alors que la République française ferait mieux de supprimer enfin cette verrue  contradictoire à l’esprit de la loi du 9 décembre 1905.

   ♠ Nul dogme, nulle religion n’a le droit d’infliger aux citoyens et aux citoyennes des privations d’accès aux lois de liberté, [dont la liberté de penser et la liberté d’expression]d’égalité et de fraternité.
Les femmes et les hommes ayant tous et toutes [quelque soit leur religion ou leur absence de religion], les mêmes droits [y compris l’éducation, la culture et le sport]
et les mêmes devoirs.

  ♠ Nulle religion n’a le droit de laisser ses adeptes prendre des armes et des explosifs contre les citoyens et les citoyennes de notre pays, pour les tuer au nom de son dieu.
      La loi de 1905 doit s’appliquer désormais dans sa totalité, sans exception archaïque,  dans toute la France métropolitaine comme dans toute la France d’Outre-mer.

La loi de 1905 est définitivement le pilier de notre nation française et la gardienne de notre paix civile.

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Mais ce n’est pas « la République-en-marche- de M. Macron »
 qui obtiendra le retour au respect de l’égalité de toutes les femmes (quelque soit leur dieu), alors que le dogme  islamique intégriste et criminel, condamne les musulmanes à disparaître derrière leurs voiles.
[Cf. par L’ingénue, Le magnifique courage de l’Appel des 100 musulman(e)s de France novembre 2019.]

Ce n’est pas « la République-en-marche- de M. Macron », qui réussira à condamner et à expulser les chefs religieux intégristes de l’islam politique, ceux  qui prêchent, avec une  haine chaque jour décuplée,  depuis 30 ans, dans notre pays libre et paisible, « leur guerre sainte » contre nous, et nos écoles laïques, afin d’instituer dans notre République, le noyau d’un futur État islamique.

Ce n’est pas  « la République-en-marche – de M. Macron », qui rétablira dans toutes nos écoles, le calme et l’écoute du professeur, si nécessaires aux apprentissages fondamentaux, puis scientifiques et techniques, pour toute notre jeunesse qui ne demande qu’à  apprendre et qu’ à réussir.

Soyons lucides . . .   en écoutant le prochain  discours de « Macron, le serviteur  jésuite  du séparatisme »   .  .   .

La laïcité est bafouée dans notre pays, depuis des décennies, du retour au financement des écoles privées  de Debré à Mitterrand, avec en prime l’acceptation d’un signe ostentatoire de dogme islamique  dans un collège, aux pillages et aux incendies actuels des écoles laïques, avec désormais des écoles coraniques illégales,  par celles et ceux qui,  au XXI ème siècle, nous « traitant » d’islamophobes,  attisent la haine contre nous, tout en  soutenant les assassins, les réseaux de drogues et la délinquance criminelle.

Ainsi  M. Hadama Traoré, tête de liste  du groupe « Démocratie représentative (islamique) » pour l’élection des représentants français au Parlement européen des 25 et 26 mai 2019,  qui voulait organiser en Seine-Saint-Denis, le 10 octobre 2019, une manifestation « en hommage » à Mickaël Harpon, agent administratif de la direction du renseignement de la Préfecture de police (DRPP) qui avait poignardé quatre policiers et blessé grièvement une cinquième personne, au nom d’allah, le 3 octobre 2019.

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Jetons un coup d’œil sur le climat du XVIIIème siècle !

12 août 2020 note revue le 16 août 2021 [6  Pour l’histoire  contemporaine]


Ce que j’ai appelé dans la note précédente  « la Grande Peur climatique » pour ce XXIème siècle, n’a  aucune concordance avec ce que les contemporains des journées révolutionnaires avaient appelé « la Grande Peur » en 1789.

Cette Grande Peur  révolutionnaire avait eu  « six paniques  originelles : en Franche-Comté, à la suite de la révolte agraire, en Champagne, dans le Beauvaisis, dans le Maine, dans la région de Nantes, dans celle de Ruffec,  (donnant) naissance à des courants de peur qui se propagèrent rapidement et touchèrent la plus grande partie de la France, du 20 juillet au 6 août 1789. »(1)

On en trouve la source dans la grande misère paysanne
après tant d’années de famines
, celle qui fut si bien décrite dans Les Cahiers du Tiers État, que Jean Jaurès jugeait  « admirables d’ampleur, de vie,  de netteté et d’unité. (…) Des rochers brûlés de Provence où les pauvres habitants des campagnes travaillent à des travaux de sparterie maigrement payés, aux côtes de Bretagne, où les pauvres laboureurs disputent à l’avidité seigneuriale les goémons apportés par la tempête et laissés par le reflux ; (…) aux serfs de Saint-Claude, qui ne peuvent se marier sans le consentement de l’abbaye ; (…), toutes les variétés de la vie sociale éclatent dans les Cahiers : mais surtout, c’est l’unité du mouvement qui est admirable. Partout les mêmes problèmes sont posés et partout ils reçoivent les mêmes solutions. » (2)
… Pour ajouter « De même qu’à Paris dans les journées de péril qui précédèrent le 14 juillet, la bourgeoisie révolutionnaire sut armer ses milices contre les régiments de la cour et désarmer les hommes qui lui paraissaient menaçants pour la propriété, de même dans la campagne, le Tiers État rural s’organise à la fois pour protéger contre toute agression la propriété paysanne et pour abattre la féodalité. » (3)

 

C’est pourquoi il m’a semblé utile pour notre réflexion citoyenne, au sujet de l’autre « Grande Peur climatique du XXIème siècle », de consulter  le tableau des  Épidémies et famines en France (4), fruit de patientes recherches dans les archives, et figurant dans le Cercle Généalogique Lorrain d’ Île-de-France.  

S’il apparaît, que  ces deux « Grandes Peurs » ont des causes différentes, le tableau climatique nous décrit un climat en France, du  XVIème au XIXème siècle, avec de nombreux épisodes d’hivers rudes, d’inondations,  d’étés caniculaires et les longues sécheresses,  tout cela ayant, en plus des servitudes et des conditions de vie si précaires, des conséquences  catastrophiques de famines et d’épidémies sur la population rurale. 

Parmi eux, le bulletin météorologique du XVIIIème siècle de 1740 à 1800 est l’un des plus sombres.

Sous Louis XV :
« Le 26 décembre 1740, grave inondation à Paris, l’hiver fut très froid avec deux mois de fortes gelées ;  famine, grande misère pain d’orge et d’avoine pour seule nourriture.
L’été fut caniculaire en 1741,   1742,  1743, 1748 , 1749 [grande famine en 1750], idem en 1751 et 1752, 1757, 1759, 1760, 1761, 1762, 1764, 1765 [le 26 août 40° à Paris] [grande famine en 1769 et 1770] 1772, 1773.

Sous Louis XVI (5) et sous le Directoire :

L’été fut encore caniculaire en 1776, 1778, très chaud de 1778 à 1782 [grande famine],   caniculaire en 1783 [avec hiver glacial ], en 1784 et 1785 [ grande sécheresse dans toute la France et en 1787 aussi], en 1788 -1789  [hiver très rigoureux et graves disettes dans la plupart des régions],  caniculaire en 1790- 1791 [grande sécheresse] et en 1793 [très sec – 40° à Valence (Drôme), en 1798 et 1799. »
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    Il apparaît ainsi qu’au XVIIIème siècle, la perturbation du climat était supérieure à celle que nous connaissons  en ce début de XXIème siècle, mais l’on sait déjà  que les Assemblées révolutionnaires (la Constituante, la Législative et la Convention) ont œuvré plus largement au XVIIIème siècle pour la Nation  et « la  justice sociale » que ne le fera  la « Convention citoyenne pour le climat du Père Ubu- Macron «  avatar du grand débat national,  lors des manifestations populaires dites « des Gilets jaunes », auxquelles s’étaient joints les anarchistes fous furieux des Black Bloc (6 ).

Cette  « Convention de 150 membres  « sélectionnés  » dans « la diversité française (sic)« , « tirés au sort » (?) et régentés  par un « Comité de gouvernance », les uns comme les autres ayant été désignés  par le Père Ubu-Macron lui-même,  qui ose encore nous dire, que c’est une « expérience démocratique inédite en France » !

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Source historique :
Histoire socialiste de la Révolution française   Jean Jaurès
Édition revue et annotée par Albert Soboul  Éditions sociales  M . CM . LXVIII .
Tome I . La Constituante 

  1   Chapitre III . Journées révolutionnaires. La Grande Peur .
               Note d’Albert Soboul  d’après Georges Lefebvre  p.437
  2    Chapitre II .  Les élections et les cahiers. Les cahiers du Tiers État  p. 282

  3   Chapitre III .  p.440   Journées révolutionnaires. La Grande Peur .

  4         Cf.  Épidémies et famines en France du XVIII au XIXème siècle
Cercle Généalogique Lorrain d’Île-de-France

5    Source historique :
Cf. Les articles  d’ Emmanuel Le Roy Ladurie sur le site de  Météo France
(
6 mars 2020) :

         “ Une période météorologique hors norme : Le 13 juillet 1788 : un orage prérévolutionnaire »  ; d’après son livre :  Le Roy Ladurie E., 2006 : Histoire humaine et comparée du climat – Disettes et révolutions 1740-1860. Fayard, 145-180.

 et  Le grand hiver 1709  
d’après son livre , 2005 : Histoire humaine et comparée du climat – Canicules et glaciers XIII°-XVIII°. Paris, Fayard, p. 509-518.

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 6  Pour l’histoire  contemporaine 

La Convention Citoyenne pour le Climat, c’est quoi ?

♦    Elle a été accueillie au Conseil économique, social et environnemental d’octobre 2019 à juin 2020 ; et chaleureusement reçue par le Père Ubu -Macron dans la verdure de son parc de l’Élysée le 29 juin 2020.

♦    En 2019, le Père Ubu- Macron  a  prélevé  2 millions d’euros  sur le trésor national [dont un million pour les Américains qui se moquent du GIEC,  comme le Père Ubu se moque  du budget de l’AP-HP ! ] pour subventionner le  « Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC).

⇒  Paris le 10 août 2021
Déclaration de CLINTEL (
(Climate Intelligence) est une fondation indépendante européenne fondée en 2019 par le professeur émérite de géophysique néerlandais  Guus Berkhout et le journaliste scientifique Marcel Crok. Elle comprend 97 scientifiques français. Benoit Rittaud, président de l’Association des Climato-Réalistes, en est l’ambassadeur français : ⇒  Le nouveau rapport du GIEC ne fournit pas d’éléments objectifs utiles aux décideurs politiques.

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♦     Sachant que depuis 2001, la République dispose  également :
d’un  Observatoire national sur les effets du réchauffement climatique (ONERC)  en liaison avec le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC).
auprès duquel  Nicolas Hulot, alors  ministre d’État, ministre de la Transition écologique et solidaire, avait installé en octobre 2017 : une nouvelle commission spécialisée au sein du Conseil national de la transition écologique (CNTE)
lequel est 
« l’autre instance de dialogue social environnemental en matière de transition écologique et de développement durable ». .  .  ! La commission Hulot ayant vocation à orienter les actions du premier, c’est-à-dire de l’ONERC !

 

♦       Il ne faudrait pas  oublier non plus que le Père Ubu -Macron a aussi, par sa Cornegidouille, un Conseil Présidentiel de Défense Écologique 
qu’il a réuni le 27 juillet 2020, pour étudier les  propositions qu’il  avait dictées  avec Thierry Pech à ses apprentis conventionnels.

         « Que peut-on attendre du Conseil de défense écologique qui se réunit lundi 27 juillet ? » demande  FranceTVinfo qui  nous donne la réponse :
       « Le Conseil doit valider, entre autres, la création d’un comité à l’environnement et au développement durable dans les établissements scolaires. »
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  Alors, demande L’ingénue :

Le Père Ubu -Macron et son Conseil de défense écologique savent-ils qu’en ce moment, partout en France, brûlent des bâtiments scolaires ?

Serait-il  aussi venu le temps  de « civiliser » durablement  l’environnement  autour des établissements scolaires, comme dans les écoles, les collèges, les lycées, afin que  revienne le développement durable d’un climat paisible si nécessaire pour les professeurs et si fructueux  pour  les élèves  ?

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