2 avril 1871 : Décret de la séparation de l’Eglise et de l’Etat

  1er août 2011 –  22 octobre 2020  –        2 – 24 – 26- 29 avril 2021


Cette page a été mise en avant le 22 octobre 2020 :
En hommage à Samuel Paty, professeur d’histoire-géographie, décapité au nom du dieu de l’islam
[VII ème siècle de notre ère], devant son collège du Bois d’Aulne, à Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines), le vendredi 16 octobre 2020.
En hommage à
tous les enseignants qui  luttent, depuis des années, jour après jour, dans leur établissement scolaire, contre la subversion islamique dont la violence atteint désormais l’insoutenable.
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Et cette page est encore mise en avant, ce 2 avril 2021, pour rendre hommage 150 ans plus tard,  à l’extraordinaire lucidité  du Conseil de la Commune, qui décréta, le 2 avril 1871 la séparation de l’Église et de l’État.

 

                                                                   24 –  26 avril 2021

Qu’attend  « la République-en-marche »  de M. Macron pour décréter  à son tour, en 2021, la séparation de la « Mosquée des terroristes » et de notre État laïc ?
Jusqu’à quand la République française sera-t-elle livrée
AUX TUEURS  ISLAMISTES des DÉFENSEURS  de la LAÏCITÉ ?
Mais  Jupiter- Macron ne songe qu’à sa gloire, et plutôt que de se battre pour notre laïcité, il veut donner son nom à un futur « musée du terrorisme »  dans lequel, jour après jour, s’allongera la liste des victimes innocentes.        
l’Histoire en marche ne retiendra de lui que la lâcheté d’un incapable.
Le vendredi 23 avril 2021, Stéphanie Monfermé, la dernière victime innocente, a été sauvagement assassinée au couteau et au cri d’allah akbar, par Jamel Gorchene, dans le commissariat de Rambouillet (Yvelines).
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                  Qui furent ceux qui composèrent le gouvernement de la Commune de Paris, gouvernement  qui dura à peine le temps du Printemps 1871, du 28 mars au 28 mai  ?

Edmond de Goncourt écrivait dans son  « Journal »  qu’il n’en connaissait  aucun, et les méprisait tous, avec le dédain de l’aristocrate. En effet, dans quels salons de la « bonne société » du Faubourg Saint-Germain, aurait-il pu rencontrer ces élus républicains ?

              Eugène Varlin – ouvrier relieur-,  Charles Gérardin – comptable -,
Louis Chalain – tourneur en bronze-,  ou Benoît Malon – ouvrier teinturier- élus du 17ème arrondissement ( Batignolles-Monceau) ?
Auguste Blanqui  – fils de sous-préfet mais ayant surtout fréquenté  les prisons du royaume et de l’empire pendant 33 ans – ,  Albert Theisz – ouvrier ciseleur sur bronze-,
Simon Dereure – cordonnier-, Jean-Baptiste Clément – poète et chansonnier-
Théophile Ferré – clerc d’avoué -, ou  Auguste Vermorel – homme de lettres, journaliste- élus du 18ème arrondissement ( Butte-Montmartre) ?
ou encore Jules Bergeret – correcteur d’imprimerie -, Gabriel Ranvier – ouvrier décorateur -,
et Gustave Flourens – biologiste, Professeur au Collège de France  -élus du 20ème arrondissement ( Ménilmontant)  ? … etc…

Comment en effet, M. de Goncourt aurait-il pu croiser Eugène Varlin ou Benoît Malon « au fond de la courette du 44 rue des Gravilliers dans le 3ème arrondissement, au cœur du vieux Paris des artisans, dans un atelier de quatre mètres de long sur trois mètres de large », dans ce qui fut le premier bureau de la  Commission parisienne de l’Association Internationale des Travailleurs  appelée la Première Internationale ?

 

Mais revenons au  28 mars 1871,  jour de la proclamation de la Commune,  jour de fête,  où l’on pensa que la guerre civile venait d’être évitée grâce au verdict du suffrage universel.


Jules Vallès
(élu du 15ème arrondissement -Vaugirard) l’a décrit  avec  fougue et  lyrisme :
« Quelle journée ! Ce soleil tiède qui dore la gueule des canons, cette odeur de bouquets, le frisson des drapeaux ! Le murmure de cette Révolution qui passe tranquille et belle comme une rivière bleue, ces tressaillements, ces lueurs, ces fanfares de cuivre, ces reflets de bronze, ces flambées d’espoirs, ce parfum d’honneur, il y a là de quoi griser d’orgueil et de joie l’armée victorieuse des Républicains ! »

Pendant ce temps-là,  Adolphe Thiers et son gouvernement dit de«  Défense nationale » n’avaient d’autre intention que de livrer Paris aux Prussiens. Nommé commandant en chef de l’armée versaillaise, Mac-Mahon réorganisait une armée de 170 000 hommes, aidé en cela par Bismarck qui libérait les prisonniers.

La bourgeoisie d’affaires  avait alors un leitmotiv qui rappelle lugubrement celui  de 1936 : « Plutôt Hitler que le front populaire »  ; celle de 1871 proclamait : « Plutôt les Prussiens et perdre l’Alsace et la Lorraine, que les Communards ! »  De chaque crise, de chaque guerre qui anéantit  les pauvres, l’internationale capitaliste sort toujours victorieuse et féconde.

 

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 ♣  C’est pourquoi, dans la confusion du  débat actuel sur la défense de la laïcité,  pour retrouver les fondamentaux de notre République si chèrement acquis dans le sang des Républicains de 1789, de1830, de 1848 et de 1871,   il faut se souvenir du 2 avril 1871 – alors que commençait le second siège de Paris ordonné par  Thiers, quand retentissaient « les premiers coups de canon tirés par Vinoy sur les banlieues et quartiers périphériques. » 

      

    ♣ Il faut se souvenir de ce jour où « le Conseil de la Commune
présidé par Gustave Lefrançais ( instituteur-  élu du 4ème arrondissement – Hôtel de Ville), vota  à l’unanimité, un décret séparant l’Église et l’État.

Il comportait quatre « considérants ».
Deux sur quatre de ces considérants se référaient à la notion de liberté. Ils stipulaient que le premier des principes est la liberté et que la liberté de conscience est la première des libertés.
Le troisième considérant s’attaquait au budget des cultes, qualifié de contraire au principe, puisqu’il impose les citoyens contre leur propre foi.
Le quatrième accusait le clergé d’avoir été le complice de la monarchie contre la liberté. A chacun de ces considérants correspondait dans le corps du décret un article
.

          Ces quatre articles se lisaient comme suit :

« Article premier. –  L’Église est séparée de l’État.

Art. 2. –  le budget des cultes est supprimé.

Art. 3. – Les biens dits de mainmorte, appartenant aux congrégations religieuses, meubles et immeubles, sont déclarés propriété nationale.

Art. 4.-  Une enquête sera faite immédiatement sur ces biens pour en constater la nature et les mettre à la disposition de la nation.

Ce faisant, les élus de la Commune n’innovaient pas : ils revenaient aux sources de la Révolution française.» 

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 Sources :

Eugène Varlin Militant ouvrier, révolutionnaire et Communard
Jean Bruhat Éditeurs Français Réunis 1975

  Grande histoire de la Commune  Georges Soria  (Introduction de Henri Guillemin) éditions Robert Laffont pour le Livre Club Diderot  1970

  Jules Vallès  Le Cri du Peuple Mardi 28 mars 1871
Œuvres complètes tome III Livre Club Diderot 1969

Cf. par L’ingénue  :
Page publiée le 23 mars 2011 pour le 140 ème anniversaire de la Commune :
Victor Hugo et Garibaldi  Mars-Avril 1871

et aussi  par L’ingénue :
Page  1er août  2011 
et   21 mai 2021
Il y a 150 ans, le 21 mai 1871 commençait « La Semaine sanglante »  :
Du 2 avril au 28 mai 1871, la guerre civile sous les yeux des Prussiens

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 VOIR  (jusqu’au 19/08/2021) sur ARTE.fr Les damnés de la Commune 
  un film remarquable de Raphaël Meyssan  (2019).

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22 octobre 2020

      Mais la suite de  l’Histoire de France a donné raison aux Communards .  .  .

Le  30 août 1871, l’Assemblée qui s’est proclamée constituante nomme Thiers  président de la République. Il démissionnera  en mai 1873, pour laisser la place à Mac-Mahon.

Et le 30 janvier  1875, avec le vote de l’amendement Wallon, est créée la troisième République.

Mais début 1876, les élections législatives annoncent la victoire des républicains.
Mac-Mahon dissout l’Assemblée nationale en juin 1877, mais les nouvelles élections législatives redonnent la victoire aux républicains !

En 1879, Mac-Mahon démissionne ;  Jules Grévy est élu président de la République.

        –   En juillet 1880 : amnistie pour les Communards

        –  En  1881 est formé le ministère Jules Ferry, qui institue la gratuité de l’enseignement primaire.
La loi Ferry est parachevée en 1882  en instituant l’école primaire obligatoire et laïque. 

Le 9 décembre 1905 est votée la loi de séparation de l’Église et de l’État. Fin du régime concordataire de 1801 voulu par Bonaparte et Pie VII.

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Cf. PROFS Les sacrifiés de la laïcité  –  Hors-Série de Charlie Hebdo
60 témoignages d’enseignants sur l’état de l’école républicaine.
avril-mai 2018
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Vacances d’hiver sanglantes dans l’Outre-République

Note écrite à la fin des vacances d’hiver de la zone C du 13/02 au 1/03  [Créteil, Montpellier, Paris, Toulouse, Versailles] – et publiée le 22 – 24 mars 2021.

 

L’Île-de-France (1) aura connu pendant « les vacances d’hiver 2021 », de la pandémie covid-19, la pire illustration de la non-intégration d’une partie de sa population.

La pandémie aurait-elle décuplé en France, la violence et la haine de cette population adulte « séparatiste- islamiste« , entraînant les plus jeunes, aux  violations des lois républicaines, dans une guérilla urbaine quotidienne ?

Qui sont ces parents  qui lâchent toutes les nuits, en plein couvre-feu, leurs fils de 14 à 18 ans, en sachant que c’est « pour attaquer la police française », en sachant qu’ils vont brûler des voitures, en sachant qu’ils vont lancer des projectiles, pour blesser ou pour tuer, comme aux Mureaux (Yvelines), à Sarcelles (Val d’Oise), à Montereau (Seine-et-Marne) le 25 février 2021 ? ♦ ♦ ♦

 Mais le pouvoir exécutif du quinquennat Macron-Castex-Darmanin-Dupont-Moretti, qui ne travaille qu’à  la préparation de la réélection triomphale du banquier Macron, avait ordonné à ses médias, un traitement a minima (presse, radios et télévisions) sur « l’essentiel », c’est-à-dire, sur « toutes les atteintes à notre paix civile ».

 

Et ce n’est que par bribes, et sans insister, que les rédactions ont cité ce qu’elles appellent  « des faits divers » :

  ♦ 
Le 22 février 2021, à Saint-Chéron ( Essonne ), devant le collège du Pont-de-Bois,  une adolescente de 14 ans a été tuée par un coup de couteau à l’abdomen, en voulant s’interposer. Six suspects mineurs avaient été mis en garde à vue.

Le 23 février 2021, un adolescent de 13 ans a été poignardé à mort devant la piscine, à Boussy-Saint-Antoine (Essonne).
Le syndicat Alliance police nationale de l’Essonne réclame des renforts. « Deux adolescents décédés en 48 heures dans des rixes entre bandes de l’Essonne.
Quand aurons-nous les 200 effectifs manquants ? » (… sur Facebook).

  ♦ Le 24 février 2021, un adolescent de 15 ans a été blessé par balles en pleine rue à Nanterre (Hauts-de-Seine).

Les collèges et les lycées ont rouvert leurs portes ce lundi 1er mars 2021, et les professeurs ont retrouvé ces mêmes élèves affichant, haut et fort, qu’ils ne sont pas Français, qu’ils veulent rester illettrés et avoir le pouvoir de nuire jour après jour, au calme de la classe, si important pour développer les savoirs et les intelligences ; et qu’ils peuvent même aller jusqu’au meurtre d’un ou d’une élève, ou de plusieurs d’entre-eux, mais aussi de leur(s) professeur(s) , comme ils l’ont fait à Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines) pour  Samuel Paty.


 ♦
Et c’est à Bondy (Seine-Saint-Denis), que  le 26 février 2021,  deux frères de 17 et 27 ans sont arrivés en scooter, devant la maison de quartier Nelson-Mandela ;  l’aîné est descendu  pour tuer d’une balle dans le thorax, Aymen Kaïd, un adolescent de 15 ans. 
(2)
Cette année, le programme des vacances d’hiver 2021, en Île-de France,  était sanglant :  tuer ou s’entretuer, au couteau ou à l’arme à feu, que les élèves savent manier mieux que le stylo, grâce aux cours du soir « des grands -frères-multirécidivistes- bien connus- des- services- de- police, mais toujours graciés par le ou la juge.

Ce programme semble être ignoré du parquet de Bobigny, qui a indiqué n’avoir « aucun élément sur le contexte ».

« Quel contexte » ?  Peut-être celui qui fabrique  des bandes d’adolescents   armés de couteaux et détenant illégalement des armes à feu, pour assurer la relève de « l’hydre islamiste »  de Mohamed Merah, des frères Kouachi  et de Mickaël Harpon (3) ?

Que penser de notre Justice, quand le parquet de Bobigny [une procureur médaillée, Fabienne Klein-Donati, et un nouveau président Peimane Ghaleh-Marzban] , est  à ce point indifférent  au  « contexte », alors que tous les commissariats de police du département leur communiquent les listes des noms des multirécidivistes, et les lieux de recel  de la pègre des trafiquants de stupéfiants et d’armes de guerre  pour « l’hydre islamiste » ?

Au parquet de Bobigny, on attend la rénovation du bâtiment.
« Le contexte
inconnu (?) » attendra encore des années, dans la poussière des archives du tribunal. 

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1 L’Île-de-France si joliment nommée comprend sept départements :  Seine-et-Marne, Yvelines, Essonne, Hauts-de-Seine, Seine-Saint-Denis, Val-de-Marne et Val-d’Oise.


2        27.02.2021 francetvinfo.fr 
Les informations suivantes sont issues de ce lien francetvinfo.fr, qui ne correspond plus maintenant à ce que j’avais noté, à savoir :
« L’adolescent tué fréquentait les points de vente de « stups » des quartiers nord de Bondy.
( … )  Selon nos informations, il s’agit de deux demi-frères âgés de 17 et 27 ans », précise le journaliste Thomas Cuny, en direct du commissariat.
Les deux jeunes sont « tous les deux connus des services de police, le plus jeune, notamment pour des menaces de mort, le second pour de nombreux faits allant de l’extorsion au trafic de drogues, en passant par la possession d’armes », indique Thomas Cuny.  »

Extraits du discours du 8 octobre 2019 du président Macron, à la Préfecture de police de Paris, en hommage aux quatre victimes :

 
« (…) Vos collègues sont tombés sous les coups d’un islam dévoyé et porteur de mort qu’il nous revient d’éradiquer. (?) (…)
Face au terrorisme islamiste nous mènerons le combat sans relâche. (?) (…)

L’administration seule et tous les services de l’État (?) ne sauraient venir à bout de l’hydre islamiste (?).
Non (?) c’est la Nation tout entière qui doit s’unir, se mobiliser, agir.
Nous ne l’emporterons que si notre pays  qui est venu à bout de tant et tant d’épreuves dans l’histoire se lève pour lutter contre cet islamisme souterrain qui corrompt les enfants de France. (?) (…)

  Il nous revient de retrouver la force des vertus républicaines (?) (…) »

 L’ (?) :
M. Macron,  « chef du renseignement français », celui qui prenait le contrôle de la lutte antiterroriste en 2017, ne retrouvant plus « la
force des vertus républicaines »  …  nous demanderait-il – à nous, la Nation,  de « venir à bout de l’hydre islamiste »?  

 « L’hydre islamiste » qui depuis trop  longtemps nous égorge,

                           est  bien notre prochaine Bastille !

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 L’  Pour tous les « faits divers tragiques » des vacances scolaires en Île-de-France, ainsi que toutes les attaques de commissariats : Source : Actu 17. fr  YC [ février 2021].

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C’est de l’art ? Non, c’est le p-ra : « à la fête » d’Uzi

4 mars 2021

 

   Lorsque l’on s’appelle Uzi (comme le pistolet-mitrailleur israélien), et que  votre  clip « À la fête«  a été vu 40 millions de fois sur You Tube, le succès vous autorise à passer outre les décrets et lois de la République française ; comme on aime à le dire dans le beau langage du p-ra  au XXIème siècle : « on s’en bat les c……s ».

Et quoi de mieux pour UZI le « buzzé » rusé qu’une fête clandestine dans un parking souterrain, du quartier de la Ferme-du- Buisson à Noisiel (Seine-et-Marne) ?  (1). Il a ainsi entraîné  150 à 200 personnes jusqu’à 2h du matin, le 19 février 2021, dans une violation de l’actuel couvre-feu nocturne, au risque d’un désastre sanitaire et social.

Le texte du « p-ra » d’Uzi est comme tous les « p-ra »,  répétitif,  révélateur  de  compétences en argotisme stupéfiant et en verlan infantile, loin de la langue française et de la poésie.
L’orgueil  de son auteur lui suffit pour  ne parler que de lui, de sa réussite et du mépris, voire de la haine qu’il éprouve pour les autres.
Et surtout, il se plaît à faire savoir à ceux qui l’écoutent, que lui, il a une A45S qu’ils n’auront jamais.
Bref, le niveau culturel et humaniste du p-ra d’Uzi  me laisse perplexe. 

                                        À la fête   (2)

 

Et qui va s’ramener à la fête ? J’ramène les boîtes à la tess

Et qui va s’ramener à la fête ? J’ramène les boîtes à la tess

À c’qu’il paraît, gros, j’suis buzzé, j’vais les baiser
J’m’en rappelle au début d’la pente, beaucoup d’ingrats m’ont méprisé
J’ai jamais endurci ma poche, j’ai pas attendu l’pe-ra pour rouler en fusée
Donc on m’a dit : « Laisse le pilon à 30, faut qu’tu passes à la C »
Je parlais même à gérer du 30K sur la te-boî que Souley voulait pas pousser
Et j’ai beaucoup fait pour certains qui m’ont pas rendu
Je fais qu’gratter, pas demander d’dû, heureusement qu’le Uzav sait faire des thunes
J’connais des rates-pi du Bronx, j’connais des rates-bi du Bois de Grâce
J’suis avec Tounsi [aux Bau’ ?], Dieu dit : « J’t’avais dit, t’as vu, c’est des baltringues »
Cocktail de monnaie, violence, sexe, trop d’célébrité, j’suis dans l’binks

Les pieds dans ma cité, j’ai ma, hey, hey, hey
Cocktail de monnaie, violence, sexe, trop d’célébrité, j’suis dans l’binks
Les pieds dans ma cité, j’ai ma caisse
Et qui va s’ramener à la fête ? J’ramène les boîtes à la tess
À c’qu’il paraît, gros, j’suis buzzé, j’vais les baiser, gros, j’vais passer devant
Et qui va s’ramener à la fête ? J’ramène les boîtes à la tess
À c’qu’il paraît, gros, j’suis buzzé, j’vais les baiser, gros, j’vais passer devant
Et qui va s’ramener à la fête ? J’ramène les boîtes à la tess
À c’qu’il paraît, gros, j’suis buzzé, j’vais les baiser, gros, j’vais passer devant
Et qui va s’ramener à la fête ? J’ramène les boîtes à la tess
À c’qu’il paraît, gros, j’suis buzzé, j’vais les baiser, gros, j’vais passer devant

Tu t’rappelles, c’était la zone, l’époque des vols, j’ai fini par ramener les kil’
J’empilais la somme, même ma mère elle sait qu’j’fais des bêtises
En cachette, ils s’moquaient, j’pense, maintenant, j’fais des M, j’ai capté l’truc
J’ai réduit la distance, j’allais au stud’ avec [QF ?], j’prenais l’bus
J’suis avec [Redni ?] dans l’A45S, j’fais marcher ma petite tête

Si les streams marchent as-p, j’ouvre un terrain d’zipette
Demande à [Tra’ ?], j’ai pas fini d’les baiser, j’ai toujours donné quand j’ai des mapesas (quand j’ai des mapesas)

Ah la coquine, elle veut qu’j’lui divulgue le tarot d’mes sapes
Qui va s’ramener à la fête ? J’ramène des boîtes à la tess
À c’qu’il paraît, gros, j’suis buzzé, j’vais les baiser, gros, j’vais passer devant
Qui va s’ramener à la fête ? J’ramène des boîtes à la tess
À c’qu’il paraît, gros, j’suis buzzé, j’vais les baiser, gros, j’vais passer devant
Et qui va s’ramener à la fête ? J’ramène les boîtes à la tess
À c’qu’il paraît, gros, j’suis buzzé, j’vais les baiser, gros, j’vais passer devant
Et qui va s’ramener à la fête ? J’ramène les boîtes à la tess
À c’qu’il paraît, gros, j’suis buzzé, j’vais les baiser, gros, j’vais passer devant
Et qui va s’ramener à la fête ? J’ramène les boîtes à la tess
À c’qu’il paraît, gros, j’suis buzzé, j’vais les baiser, gros, j’vais passer devant
Et qui va s’ramener à la fête ? J’ramène les boîtes à la tess
À c’qu’il paraît, gros, j’suis buzzé, j’vais les baiser, gros, j’vais passer devant

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 Lexique 

zipette     Cocaïne.

  • Trois heures du mat’, j’dois récupérer d’la zipette, j’serai serein une fois qu’ils seront déposés dans l’appart— (Maes, Zipettes, 2018)
  • devant les keufs, j’suis blanc comme neige, j’suis blanc comme zipettes— (Ninho, Zipettes, 2020)
    Par analogie  : Drogue

l’A45 S  

« Pour acquérir la plus musclée des Mercedes, animée par un quatre-cylindres 2.0 turbo de 421 ch., il vous faudra débourser 69 700 € minimum. Avec quelques options, la facture grimpe vite au-dessus des 80 000 euros, sans oublier l’inévitable malus écologique de 10 500 euros en raison de rejets de 192 g/km de CO2. » (motor1.com)

  l’binks      Le binks c’est le quartier, notre cité à nous. « Le soir, quand je suis bien fatigué, je rentre au binks ! »

mapesas    l’argent en Comorien

la tess          la cité

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1 L’   Information sur  Actu.17 le 26.02.2021, à l’intérieur d’un article sur l’attaque de nuit, la veille, d’une patrouille de la brigade anticriminalité (BAC) à Montereau-Fault-Yonne (Seine-et-Marne).
Cf.   Soirée clandestine dans la nuit de jeudi 18 à vendredi 19 février 2021 à Noisiel (Seine-et -Marne)  rtl.fr Florise Vaubien  22.02.2021 – les sources étaient 20 minutes et Le Parisien.
Et l’on peut lire  qu’UZI le « buzzé » rusé avait dit en français, sur BFM TV, son « besoin de croquer la vie à pleines dents
 (sic). »
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1er mars 2021 
Seine-et-Marne, l’épidémie de covid-19 gagne très rapidement du terrain 

2 avril 2021
Le nombre de malades du Covid-19 s’envole en Seine-et-Marne

2      Paroles du p-ra  À la fête sur paroles2chansons.lemonde.fr

Cf.   L’effet « Larsen » sur les abrutis forcenés de Seine-Saint-Denis
         L’ingénue 23.07.2009

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La patrie en danger – Nous sommes Samuel Paty

  4 – 10 février-  7 mars 2021note revue le 22 novembre 2021

 La  monstrueuse terreur islamique serait-elle plus puissante que notre République française, trahie par le misérable projet de loi Macron,  « confortant », non pas comme il dit, « les principes républicains », mais l’islam politique du  Conseil  français (?) du culte musulman*, dans le massacre des citoyens et de notre laïcité.  

Aurons-nous le même courage républicain qu’en 2015 ?

Celui que nous avions pour dire en 2015 : « JE SUIS CHARLIE »
pour défendre la liberté de penser, avec Charlie Hebdo,
 afin de défendre toujours la laïcité comme Samuel Paty,
dans  nos établissements scolaires laïques.

Aurons-nous encore  le même réflexe de courage républicain en 2021 ?

Face à la lâcheté  des  députés  d’une République -en- panne * *
Face à la lâcheté des membres du Conseil d’État
Face à la lâcheté du gouvernement Castex
Face à la lâcheté du président Macron

Le  courage de dire haut et fort :

 NOUS SOMMES SAMUEL PATY

NOUS SOMMES  CITOYENS
D’UNE RÉPUBLIQUE LAÏQUE,  DEPUIS
116 ANS

Nous  exigeons l’expulsion immédiate de tous les imams salafistes et frères  musulmans, celle des milliers de fichés S djihado-terroristes et celle de tous ceux qui sont sortis de prison depuis 2019 et ceux qui en sortiront en 2021. 

 LA PATRIE EST EN DANGER :

Un dispositif militaire doit pouvoir accompagner policiers et gendarmes dans la lutte contre le terrorisme islamique et sa subversion incendiaire, son vandalisme sans limites, toutes les nuits, dans toutes nos villes, autour de ses trafics de stupéfiants qui l’enrichissent pour acheter des armes de guerre.

  PARTOUT EN FRANCE

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Cf.  L’article de C. Ardid :  Pas de collège Samuel-Paty à Ollioules (proche de Toulon)  
p.4  Charlie Hebdo n°1489 / 3 février 2021

Extraits : « ( …) Nous avions obtenu l’accord de la famille du défunt, explique Robert Bénéventi, maire LR d’Ollioules. Même chose pour le conseil général, qui gère les collèges. Unanimité au sein du conseil municipal, à qui je souhaitais proposer une délibération samedi dernier. Et puis, tout s’est effondré.»
Sans avertir le maire, le principal de l’établissement lance un sondage en interne sur le site Pronote.
Les résultats tombent : 100% des profs, 89 % des parents et 69% des élèves refusent que leur collège [Les Eucalyptus] soit rebaptisé Samuel-Paty.
« Ça veut dire quoi , s’indigne Robert Bénéventi, que les terroristes ont gagné ? »
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* Lire aussi l’ article de Laure Daussy :  Conseil des imams – Le recteur [Chems-Eddine Hafiz] de la Grande mosquée de Paris, écœuré, lâche l’affaire
p.4
 Charlie Hebdo n°1484 / 30 décembre 2020
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* * Créée le 14 novembre 2019, à l’initiative du groupe Les Républicains,  la commission d’enquête du Sénat sur les réponses apportées par les autorités publiques au développement de la radicalisation islamiste et les moyens de la combattre a conduit ses travaux pendant huit mois.
Cf.  7 juillet 2020 Le rapport de Mme Jacqueline Eustache-Brinio :
Radicalisation islamiste : faire face et lutter ensemble
n°595 tome I (2019-2020) – 
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Cf. par  L’ingénue – 26 juin 2012   Un « printemps djihadiste » en France 

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