M. Macron, le président faiseur d’émeutes et de misère

2 décembre 2018 –  7 décembre 2018

 

       Face à M. Macron  qui avait fait voter par l’Assemblée nationale,  le 23 octobre 2018, la hausse  des taxes sur le diesel, chaque année, jusqu’à la fin de son quinquennat, des salariés ayant besoin de leurs voitures pour aller travailler tous les jours, ont exprimé une légitime revendication populaire sous le nom de  « Gilets jaunes » et ils ont été  500 000  à  le revêtir, le 17 novembre 2018, pour bloquer la circulation.

Ce jour-là,  il y eut une personne écrasée et des centaines de victimes blessées grièvement, dont des policiers, des gendarmes et des pompiers,  par des automobilistes (ceux qui écrasent les piétons sur les passages cloutés)  pourtant prévenus.
Bref, un vrai carnage que M. Macron n’a pas daigné considérer  comme un vrai signe à l’échelle du pays, un signe qui aurait forcément de graves conséquences.

♠  Les porte-parole connus, les plus « médiatisés »  dans cette foule de Gilets jaunes, sans autre organisation que sa « force de blocage des routes et des villes », avaient déclaré qu’ils refusaient toute implication syndicale et/ou politique.
Mais « les Gilets- jaunes- électrons – libres »  ont été rattrapés  très vite, lors de leur manifestation sur les Champs- Élysées le 24 novembre 2018, par des centaines d’anarchistes –bien connus des services de police – qui ont ravagé  l’avenue dans laquelle M. Macron avait paradé,  le 11 novembre 2018,  avec sa suffisance de  monarque.

Et de la même façon, leur manifestation  du 1er décembre 2018 à Paris, n’aura été que l’explosion d’une  nouvelle guérilla urbaine pour des milliers d’émeutiers anarchistes venus pour attaquer les forces de  l’ordre, casser et incendier des autos, des boutiques, des immeubles, monter des barricades, saccager et vandaliser  l’Arc de Triomphe, et poursuivre dans de multiples autres quartiers de Paris
Les Parisiens savent désormais ce que vivent les habitants de Seine-Saint-Denis depuis des années.

  ♠ M. Castaner a fait la preuve de sa coupable  incompétence, en tant que ministre de l’Intérieur,  puisque ses ordres aussi stupides qu’inefficaces,  n’étaient donnés  que pour contenir les seuls Gilets jaunes, et non pour arrêter, dès son début, dans la matinée, la progression des anarchistes au centre de la capitale.

 Encore une fois,  la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) de la cellule sécurité de l’Élysée, n’a pas été écoutée pour assurer le respect de l’ordre républicain à Paris

… Et pendant ce temps, le 1er décembre 2018, au micro du  G 20 à Buenos-Aires (Argentine)  M. Macron continuait de plastronner,

M.Macron le pédant narcissique,
M. Macron l’orgueilleux hypocrite donneur de leçons de morale aux Français et aux chefs d’État du monde entier,
M. Macron  « l’itinérant mémoriel (sic)» consternant de simagrées sur les champs de bataille de 1914-1918, reliques du sang de nos jeunes grands-pères, laissant leurs familles dans la misère,
M. Macron jamais élu par les citoyens d’un village, d’une ville, d’un département, d’une région, jamais élu à l’Assemblée nationale et/ou au Sénat,

M. Macron  déplorable politicien aux ordres de la classe des nantis capitalistes de la planète.
Sa feuille de route (ou programme) avait été écrite par ses « mentors » lorsqu’il était le ministre des Finances de M. Hollande ; la consigne lui était donnée d’en faire appliquer tout le contenu les deux premières années du quinquennat.

           M. Macron (petite image ronde sur « Facebook » comme des milliards d’autres),  a adressé aux Français, le 1er décembre 2018,  un message lamentable (1), accusant, les Gilets jaunes d’être les auteurs des destructions, des vols, des incendies et des dégradations, et en faisant semblant d’ignorer la présence massive et d’une terrible violence des milliers d’anarchistes.
Je cite :
« Aucune cause ne justifie que les forces de l’ordre soient attaquées, que des commerces soient pillés, que des bâtiments publics ou privés soient incendiés, que des passants ou des journalistes soient menacés, que l’Arc de Triomphe soit ainsi souillé. Les coupables de ces violences ne veulent pas de changement (les Gilets jaunes ?), ne veulent aucune amélioration (les Gilets jaunes ?), ils veulent le chaos (les Gilets jaunes ?) : ils trahissent les causes (les Gilets jaunes ?) qu’ils prétendent servir (les Gilets jaunes ?) et qu’ils manipulent . Ils seront identifiés et tenus responsables de leurs actes devant la justice. (…)  »
Je respecterai toujours la contestation (des Gilets jaunes ?)  , j’écouterai toujours les oppositions (des Gilets jaunes ?) mais je n’accepterai jamais la violence (des Gilets jaunes ?). »

L’hypocrite président itinérant ou président intérimaire en période d’essai (?) persiste et signe dans son mépris du peuple, dans son déni de la réalité de la situation économique et sociale.
C’est un jésuite au double langage qui ne sait que rejeter violemment l’expression populaire en disant qu’il respecte la contestation.
C’est un technocrate sans humanisme. Un robot du Capital.

M. Macron, le faiseur d’émeutes et de misère.

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1  Emmanuel Macron sur www.elysee .fr

« Ce qu’il s’est passé aujourd’hui à Paris … »

La fuite de G. Collomb, fugace ministre de l’Intérieur

4  octobre 2018 –             Apostille  du 17 octobre 2018

15 octobre 2018
Cela fait 15 jours que le ministre a fui l’hôtel de Beauvau et le palais de l’Élysée ; et cela fait 15 jours que le président-en-marche et son Premier ministre courent après celui ou celle qui n’aurait qu’à faire semblant d’être ministre de l’Intérieur.
                                              ⇒   17 octobre 2018
… Vaine et hypocrite poursuite puisqu’ils l’avaient sous la main.
Ils ont désigné, le 16 octobre, le   remplaçant de Gérard Collomb, qui n’est autre que Christophe Castaner, le très controversé mais si « fidèle » du président. / voir l’apostille.
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Dans ma note précédente, La chape de silence sur le crime quotidien dans l’espace public, j’avais quitté  M. Gérard Collomb, ministre de l’Intérieur soignant les fous islamistes en hôpital psychiatrique, renforçant le pouvoir des imams, des cheikhs  et autres fous de  l’obscurantisme islamique terroriste contre la laïcité républicaine dans l’espace public, dans les établissements scolaires etc.., laissant les femmes musulmanes, sans défense, hors de la liberté et de l’égalité, sous les menaces et les coups « des mâles- islamistes -black-blanc-beur-barbares- barbus ».

Je le retrouve en ce début d’octobre, partout dans les médias, s’enfuyant de la scène nationale et du gouvernement de la République-en-marche, après avoir porté sa lettre de démission – non pas au Premier ministre- mais au grand patron, le Jupin de l’Élysée. …

S’il pensait « avoir été aimé farouchement » (comme nous tous !) par le président qui lui caressait, en mai 2017, l’oreille droite puis l’oreille gauche (!), dans les salons de l’Élysée, on se doute de sa rancœur  depuis  juillet 2018,  lors de l‘étrange affaire de M. Benalla, garde rapproché du Jupin.

En effet, on se souvient comment le 23 juillet 2018, lors de son audition par la commission des lois de l’Assemblée nationale (1), G. Collomb apportait un écho discordant à la parole présidentielle :
   – « Le 2 mai 2018, je m’étais assuré que tant le cabinet du président de la République que le préfet de police,  avaient été destinataires de l’information. Je pensais, comme c’est la règle
que les mesures appropriées avaient été prises. C’était à eux de prendre les sanctions et éventuellement d’informer les autorités judiciaires« .

  ♦ Parenthèse ♦ Ainsi donc va la politique en France du 4  février 2017 au 1er octobre 2018…  Car on se souvient aussi du 4 février 2017, quand Gérard Collomb, sénateur maire de Lyon, chauffait le palais des sports de Gerland, pour faire acclamer son candidat Macron (2) !
Dans une ambiance malsaine de surexcitation programmée sur les mobiles des « fans », le futur ministre de l’Intérieur s’égosillait farouchement :
« J’ai été le premier à n’avoir qu’un but : faire gagner Emmanuel Macron. » 
(…)  » Est-ce que vous voulez faire gagner Emmanuel Macron? » (bis)
(…) Oui  Emmanuel (sic) sera notre président !  (…)
Et je vous demande à toutes et à tous de vous lever, de l’acclamer car il faut que dans toute la France, de plus en plus fort, monte un même message : 
Macron     président    –  
Macron    président –     etc. ♦♦

Gérard Collomb, « le premier à n’avoir eu qu’un but : faire gagner Emmanuel » a donc farouchement tourné la page  le 1er octobre 2018.

♦  À travers ce comportement inédit d’un futur ministre de l’Intérieur, c’est toute la campagne électorale du candidat Macron qui apparaît n’avoir été que farce attrape et grand guignol pour une surexcitation de masse dans une médiatisation outrancière,  parachevant  le farouche coup d’état politico-judiciaire, le coup de Jarnac voulu par E. Macron et F. Hollande, contre F. Fillon  (3), avec la complicité de tous les médias.

       ♦ Impuissant déjà en tant que sénateur maire, face au communautarisme mafieux et islamique, dans la métropole lyonnaise avec ses 10 zones de sécurité prioritaires :
Lyon 9ème (La Duchère) • Lyon 8ème • Vaulx-en-Velin (Grappinière, Le Mas-du-Taureau, Centre-ville, Vernay, Verchères, Thibaude) • Bron (Le Terraillon) • Vénissieux (Les Minguettes  …
… Gérard Collomb fut un ministre de l’Intérieur totalement incapable d’accomplir sa mission citoyenne de maintien de la sécurité publique en France.

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6 et 17 octobre 2018

Apostille

♦♦  Il y a fort à parier que le  président Macron choisira
parmi les candidats au ministère de l’intérieur
 
présentés par le Premier ministre, E. Philippe,
celui qui sera le plus anti-laïcité républicaine,
celui qui sera le plus sourd et le plus aveugle face à la montée de la violence communautariste et terroriste islamiste, anarchique, mafieuse,
bref, celui qu’il sait d’avance, être le plus soumis à ses ordres …

               ⇒ Christophe Castaner, qui a eu pour « grand frère (sic)«  un truand, était pour toutes ces raisons, l’homme de la situation, le ministre de l’Intérieur « idéal ».

Et le président Macron nous lancera un défi [comme celui pour sauver M. Benalla], le 24 juillet 2018 ]:

                 « Le seul responsable, c’est moi. [Venez] me chercher ! « (4).

 

                 ♦ Le suffrage universel me semble être un excellent moyen pour répondre à son ordre ! … Il nous faut juste une représentation politique unie et intelligente ! 

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par L’ingénue

1  30 juillet 2018 Le président Macron et l’étrange M. Benalla / 4 Source /@Aurore Bergé- Porte- parole du groupe LREM à l’Assemblée.

3  11 février 2017 (Re)voir la scène dans la vidéo « Play … Rewind ». / à 9′

3 14 février 2017  Vers un coup d’État politico-judiciaire en France ?

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La ministre et le couple de loups du vallon de Mollières

3 septembre 2018 – Apostille du 5 septembre 2018 – 6 septembre 2018

 

Après le départ de M. Nicolas Hulot,  il est intéressant de retrouver celle qui fut par deux fois déjà, ministre de l’Environnement sous les présidences de MM. Mitterrand et Hollande… et qui brigue forcément la place … 

Mme Ségolène Royal était en effet la ministre de l’Environnement du président Mitterrand, lorsqu’un couple de loups « fit son apparition en France », selon la formule consacrée, en 1992.

Son audition  par la Commission d’enquête de l’Assemblée nationale sur les conditions de la présence du loup en France et l’exercice du pastoralisme dans les zones de montagnes (1) est un véritable morceau d’anthologie. Le président de la commission était M. Christian Estrosi.
Je livre ici les meilleurs passages de l’Extrait du procès-verbal de la séance du 1er avril 2003.

M. le Président : Vous avez été ministre de l’environnement du mois d’avril 1992 au mois de mars 1993, c’est-à-dire à la période où tous les fonctionnaires du ministère de l’environnement qu’ils dépendent de la direction de la nature et de l’environnement, qu’ils dépendent de la direction du parc national du Mercantour, nous ont apporté les éléments selon lesquels, premièrement, en novembre 1992 avait été identifié, pour la première fois, un couple de loups dans le vallon de Mollières, pas loin d’une vallée que vous connaissez bien puisqu’il s’agit de celle de la Tinée, que sa présence n’a été révélée, d’abord par le magazine « Terre sauvage », puis par le ministère de l’environnement lui-même qu’en avril 1993. (…)

J’ajouterai à cela, que dès le mois d’avril 1992, c’est-à-dire six mois avant la constatation effectuée, des demandes de crédit étaient faites par la direction du parc du Mercantour à votre ministère pour anticiper sur la venue et l’arrivée du loup dans le parc du Mercantour, c’est-à-dire que la direction locale considérait que, par rapport à des informations communiquées par des scientifiques italiens lors d’un colloque à Gênes et à Turin, il était probable que dans les mois à venir un loup venant d’Italie s’installerait dans le parc du Mercantour. (…)

Ma question et c’est la seule que je vous poserai avant de laisser le soin au rapporteur puis à mes collègues d’intervenir : en votre qualité de ministre de l’environnement, avez-vous le souvenir qu’à un moment de cette période des responsables de ces différents services sont venus soumettre à votre décision, en matière de politique publique puisqu’il s’agit bien d’une politique publique décidée par notre pays depuis cette époque, la pérennisation de l’implantation du loup dans les Alpes ? Ce dossier a-t-il été soumis à vos décisions, à votre arbitrage ou au contraire est-ce à un étage inférieur que les choses se sont organisées, sans que vous ayez à donner votre aval sur l’ensemble de ces initiatives ?

  Mme Ségolène ROYAL : Je vais essayer de rassembler ma mémoire, car cela remonte à une dizaine d’années (sic). Je suis restée onze mois ministre et, à ma connaissance, je n’ai absolument pas souvenir d’avoir été saisie de cette question. Mais, je me souviens qu’en 1994, lors des premiers dégâts, de m’être interrogée, alors que je n’étais plus ministre sur ce dossier. Cela m’a intriguée : c’était bizarre, le loup n’arrive pas du jour au lendemain (sic). Peut-être que ce délai a été mis à profit par les interlocuteurs que vous citiez tout à l’heure pour vérifier l’information car, dans ce que vous venez de dire il y a quelque chose d’étonnant, c’est qu’une demande de subvention ait pu anticiper une arrivée naturelle du loup. Il faudrait quand même vérifier si ce n’est pas une demande régulière de subventions pour des espèces protégées en général. Cela me paraît assez curieux que l’on puisse anticiper.


le Président : Nous l’avons vérifié et nous avons réussi à nous faire communiquer les documents administratifs officiels relatifs à la demande de protection anticipant la venue du loup. Le directeur du parc de l’époque qui s’appelait M. Grandjean le dit très clairement dans une lettre adressée à la direction des parcs naturels dont le directeur était M. Simon. Il demandait, par anticipation, des crédits pour gérer l’arrivée. (sic)

(…) Mme Ségolène ROYAL : Donc, il y a peut-être eu défaillance à ce niveau-là. Le préfet, normalement, s’il avait eu le sentiment d’un danger aurait dû me saisir. Je ne crois pas qu’il l’ait fait.

(…)   En ce qui me concerne, je n’ai pas du tout souvenir d’avoir été saisie ni d’avoir été sollicitée pour venir dans le parc, ni pour faire une réunion locale, ce qui aurait d’ailleurs été intéressant, parce que ce n’est quand même pas un sujet banal.
La direction de la protection de la nature, à l’époque, était surtout mobilisée par la loi de protection des paysages que j’ai fait voter. A ce titre-là, j’avais un contact fréquent avec son directeur. Si l’information lui avait semblé importante, il me l’aurait communiquée. Voilà ce que je peux dire, ce n’est pas grand-chose. (sic)

le Président : C’est une information importante pour nous en tout cas sur l’opacité que nous avons eue à dénoncer à plusieurs reprises sur ce dossier.

(…)  Mme Ségolène ROYAL : Lâchés dans le parc du Mercantour sans l’aval du président du parc, là il faut interroger. Je ne sais pas si vous avez auditionné M. Ginesy. Il serait intéressant de savoir ; c’est lui qui gère son parc, qui est maître de l’utilisation du budget du parc. J’imagine que des lâchers de loups ont un coût, cela ne passe quand même pas inaperçu. Je réponds spontanément.

le Président : Permettez-moi de vous interrompre. Je pense que vous n’ignorez pas qu’un parc national n’est pas géré par son conseil d’administration.

Mme Ségolène ROYAL : C’est quand même lui qui est au plus près.

le Président : Il est géré par le directeur qui dépend directement de la direction de la nature et des paysages et le président n’est là que pour présider les conseils d’administration. En aucun cas, un président ne gère un parc.

Mme Ségolène ROYAL : (…) Qu’il y ait eu des lâchers de loups sans l’aval du ministère, cela me paraît invraisemblable  (sic) ou alors c’est que les choses se passent de façon secrète sur un territoire (sic) mais cela ne peut pas se faire sans la volonté du directeur du parc et sans apparaître quelque part sur un engagement budgétaire (sic). Je n’imagine pas une seconde qu’il puisse y avoir des opérations comme celle-ci, sans qu’elles soient décidées en toute transparence (re… sic). (…)
A partir du moment où il y a danger public, il y aussi une autorité de police même dans ce département. Il y a eu une observation du phénomène avec des premiers dégâts, mais qui n’ont eu lieu qu’en 1994, alors que je n’étais plus ministre, je ne pense pas qu’il y ait eu des dégâts constatés en 1993.
Est-ce qu’en 1994, le processus de signalement a fonctionné ? Cela serait intéressant de savoir si le préfet a fait remonter les informations.
 
Comment l’arrêté de protection pris par M. Barnier en 1994 intervient alors que le loup provoque des dégâts, sans qu’il y ait, à ce moment-là, une mise à plat, des investigations et une expertise qui permettent de savoir s’il est intelligent de protéger le loup -sans rouvrir au moins le débat public et sans mettre les partenaires autour de la table y compris les associations ? Au moment où les premiers dégâts ont eu lieu et si l’on maîtrise la quantité de loups qui arrivent en provenance d’Italie.
Quant aux lâchers de loups, je n’imagine pas que l’on puisse procéder à des opérations comme celle-là sans qu’il y ait au moins des traces financières et administratives. 
(sic)

le Président : Donc, vous n’en avez pas eu connaissance en tout cas, et cela n’a pas été soumis à votre autorité.

Mme Ségolène ROYAL : (…)  Je n’ai pas eu à connaître d’associations de défense du loup puisque à ce moment-là elles ignoraient, à ma connaissance, ce qui se passait et les populations locales n’avaient pas eu le temps de réagir, puisque les premiers dégâts n’avaient pas eu lieu.

le Président : Vous avez raison. Ce qui est important pour nous aujourd’hui, c’est de constater que le ministre l’ignorait autant que les élus, les éleveurs et les acteurs locaux. (…)« 

 ………

la Commission d’enquête de l’Assemblée nationale sur les conditions de la présence du loup en France et l’exercice du pastoralisme dans les zones de montagnes

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Apostille du 5 septembre 2018

On notera que Mme Ségolène ROYAL a été aussi « absente et inefficace » sur le dossier de l’heure allemande -façon Giscard que sur celui du pastoralisme, dans sa seconde prestation hollandiste de 2016-2017.  

On notera également, ayant observé depuis plus d’un an, l’absence de  « sensibilité » du président- notre « humble serviteur » Macron,  sur le sujet des droits des citoyens supérieurs aux droits des animaux », que son nouveau ministre de Rugy, soutiendra bec et ongles, la meute des écologistes (tendance Cohn-Bendit pressenti avant lui pour le poste) et leur devise : « Tout ce qui est humain nous est étranger ».

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6 septembre 2018

À suivre ……… 
……. Pour cerner l’affaiblissement des droits de l’homme et du citoyen en cette fin du XXème siècle et en ce début de XXIème siècle.
En 1992, en
même temps que les loups dans le parc du Mercantour, se renforçait la meute des islamistes intégristes en Seine-Saint-Denis autour du « frère musulman » Tariq Ramadan,  prêchant la doctrine  fondamentaliste du cheik égypto-qatari, Youssef al-Qardhawi.
Les loups djihadistes sont désormais des milliers en France …

Source :  Quatre-vingt-treize de Gilles Kepel Gallimard 2012
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(2) La Résistible extension de l’anarcho-djihadisme : 12 mai 2018 – Paris

 17 – 27 mai 2018  – 24 juillet 2020   Apostille  13 mars 2021
note mise en avant le 23 juin 2021


17 – 27 mai 2018

  Ou comment les communautarismes des anarchistes et des islamistes sont des « Blocs hostiles et violents » prêts à combattre notre société républicaine.

Après l’attaque de l’anarcho-« benditisme (1) » du 1er mai 2018 contre le défilé pacifique de la Fête du Travail, et avant le ramadan, à Paris, le soir du 12 mai 2018, un égorgeur djihadiste  hurlant  « allah akbar »  a sacrifié, comme ils feront pour les moutonsRonan, un jeune homme de 29 ans, avant de se jeter sur quatre autres personnes pour les tuer aussi, et qu’il a blessées.

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Alors que les cinq malheureuses victimes baignaient dans leurs sang, le- président- Macron- du- haut- de- son- Fort- de -Brégançon, osait déclarer que la France payait « une nouvelle fois le prix du sang ».

C’était une nouvelle fois,
alors que nous étions révoltés par la bestialité djihadiste, l’expression de la lâcheté convenue du discours présidentiel.

 ♠        ♠       ♠ 

Pourquoi Emmanuel Macron n’a-t-il pas dit à qui nous payons le prix du sang de ces cinq victimes innocentes ?
Parce que le sanglant déferlement djihadiste que nous subissons en France, depuis 2001, est financé par des états islamiques, avec lesquels il a signé un pacte d’allégeance.

⇒ Et, comme son prédécesseur F. Hollande, il fera tout pour leur obéir, pour les décorer de la Légion d’honneur, pour les remercier de doter nos villes de France de mosquées pro-djihad, dans lesquelles  des imams salafistes ou frères musulmans débitent en arabe, cinq fois par jour, leur charia de mort du VIIème siècle contre les juifs et les chrétiens, contre les musulmans et musulmanes laïques, contre nous tous, qui les avons accueillis en France.

⇒ Il ne faudra pas compter non plus sur Macron, le jésuite « blanc »(2), et son « frère » Yassine Belattar, pour faire signer par les organisations islamiques de France et leurs imams, la Charte de la Laïcité républicaine.

Tous les citoyens peuvent donc s’attendre encore à payer, pendant l’ère Macron « le prix de leur sang ».

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24 juillet 2020

Depuis le début de ce XXIème siècle, depuis septembre 2001 et l’attentat contre l’usine AZF à Toulouse,  les anarcho-djihadistes ont déclaré la guerre à notre France républicaine. 

En cette année 2020, durant cette sinistre pandémie covid-19
que nous traversons, ils démultiplient sur tous les fronts – [enrôlant les plus jeunes] – leurs actes  de violences  urbaines, leurs guerres tribales, et leurs massacres quotidiens d’innocents  …  tout en continuant d’asservir les femmes, leur imposant une tenue discriminante de camouflage, afin d’amplifier leur insupportable prosélytisme de l’islam intégriste des frères musulmans et des salafistes, contre  notre laïcité française de 115 ans.
…  

MAIS  pour un- président- Macron- banquier-en-marche- vers notre soumission à l’Europe allemande et au mondialisme des États-Unis d’Amérique, tout cela n’a aucune importance.

Il ne voit rien !  Il n’entend rien !  Il s’en moque !  

Il nous l’avait dit à La Réunion, le 24 octobre 2019 :  « ce n’est pas mon affaire ».

Affichant  son total déni de la réalité, il  a même utilisé, le 21 juillet 2020,
le terme  « incivilités », pour
qualifier les  faits criminels de la guérilla islamique en France !

 

Il poursuit tranquillement sous le mécénat des bourgeois- milliardaires-en-marche :
  sa politique de paupérisation et de régression sociale, affichée dans sa réforme des retraites,

  sa politique de dépeçage de notre patrimoine industriel et de ses plus beaux fleurons, entraînant un chômage considérable, 
  sa politique d’accords commerciaux défavorables pour nos agriculteurs et nos éleveurs, 
   ⇒ L’important pour le  banquier Macron, étant sa récompense finale, sa part promise sur  les profits colossaux de ses patrons, français, allemands et américains. 
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[
« ce n’est pas mon affaire »       Cf. 27 octobre 2019
par L’ingénue 
Ainsi parlait le président Macron du voile islamique ]

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Apostille  du 
13 mars 2021

 

La Marseillaise en ce temps de guerre islamique

Dans notre France républicaine, laïque, et fière de l’être, mais où les islamistes djihadistes  profèrent, jour après jour, des menaces de mort contre nous, blessent, égorgent, sous nos yeux, nos fils, nos filles, nos compagnes, nos époux, nos frères, nos sœurs, nos professeurs,  nos gendarmes, nos policiers, nos juifs, nos athées, nos chrétiens, nos musulmans laïques …

J’ai pris la liberté de changer l’ adjectif  possessif  « vos »  par « nos », parce que cela se passe, chaque jour, sous nos yeux, depuis le début du XXI ème siècle.

ET pour tous ceux et toutes celles qui rechignent à écouter, à chanter La Marseillaise,  je peux l’actualiser,  pour qu’ils en comprennent bien le sens à la fois tragique mais aussi de défense de notre République, avec tout le sang versé  des soldats de l’An II … comme celui de nos soldats de 1914-1918et dans nos villes, celui de nos Forces Françaises Libres (FFL), de nos Forces Françaises de l’Intérieur (FFI), de nos Francs-Tireurs et Partisans (FTP) et de nos Résistants (♥) en lutte contre le nazisme hitlérien (1940-1944).
J’ai simplement remplacé « la tyrannie » par son homologue actuel  en France : « l’islam djihadiste »

Couplet n° 1

 Allons ! Enfants de la Patrie !
Le jour de gloire est arrivé !
Contre nous, de l’islam djihadiste, (3)
 L’étendard sanglant est levé !  (Bis)
Entendez-vous dans les campagnes
 Mugir ces féroces soldats ?
 Ils viennent jusque dans nos bras
 Égorger nos fils, nos compagnes.

Cf.    Assemblée nationale :  Les paroles de La Marseillaise
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1 « benditisme«  ; néologisme de L’ingénue –  sur le nom de  D. Cohn-Bendit , celui qui avait appris aux États-Unis d’Amérique (où ? avec qui ?)  comment on déclenche un mouvement anarchiste en milieu étudiant, avec des occupations d’universités et des violences urbaines ; les arrestations justifiant à chaque fois,  le redoublement et l’extension des violences, incendies et barricades. C’est exactement le schéma de toutes les émeutes djihadistes, dans tous les quartiers d’ « Outre-République » de nos villes.

♥  Ballade de celui qui chanta dans les supplices   Louis Aragon.

2  M. Macron se définissant comme « un mâle blanc » (sic),  son « frère » Yassine Belattar serait-il  « un mâle beur » et son épouse, professeur de français (!) et Première dame, Brigitte, qui l’avait qualifié de « meuf  – pour mec extrêmement utile aux femmes (?)« , serait-elle « la Première femelle blanche de France », dans le nouveau lexique présidentiel ?

Cf. par L’ingénue : Black  Blanc   Beur, ou tous citoyens ?


3
   Cf. par L’ingénue :
21 juillet 2014  Le ramadan 2014 en France serait-il djihadiste ?  

⇒ 18 août 2014  Paris 1944 : libéré des nazis – Paris 2014 : occupé par les djihadistes  

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NB  20 mai 2018  
par L’ingénue : Le nouveau titre : (1) La Résistible extension de l’anarcho-« benditisme »: 1er mai 2018 – Parisfait référence au titre de la pièce de théâtre de Bertolt Brecht : La Résistible Ascension  d’Arturo Ui  / Traduction en français : Armand Jacob – Éditeur : L’Arche 1959 / Date de création : 8 novembre 1960 – Paris -Théâtre national populaire – Metteur en scène : Jean Vilar.

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(1) La Résistible extension de l’anarcho-« benditisme » : 1er mai 2018 – Paris

Note mise en avant le 1er septembre 2018

Dans la « logique du pouvoir », [façon émeute incendiaire des anarchistes contre le défilé pacifique de la Fête du travail de la CGT, avec mise en scène violente de M. Benalla le 1er mai 2018]  du président Macron, on peut désormais s’attendre  à la nomination de M. Cohn-Bendit [ celui qui a mis à feu et à sang le quartier latin en mai 1968 ] comme nouveau ministre de la Transition – écologique-subversive- en -support- des -zadistes. 

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5  – 7- 20 – 27 mai 2018

An 1 de la république-en-marche d’E. Macron

Quel message de mépris de la Fête du Travail du 1er mai, nous ont lancé le président, son gouvernement E. Philippe et son ministre de l’intérieur, G. Collomb !
Quel message de déni du droit à la liberté des citoyens paisibles de défiler le 1er mai  !
Quel message anti-démocratique envers le peuple !
Quel message d’encouragement pour les anarchistes !

Le président avait été informé  par la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) de la levée par les chefs français et étrangers identifiés, d’un régiment de 1200 émeutiers anarchistes pour supplanter à Paris,  le défilé du 1er mai de la Fête du Travail.
Avec des hurlements sauvages, des gueulements de haine envers les simples citoyens et envers les policiers qui les protègent, les anarchistes allaient leur infliger un échantillon de leur idéologie politique primitive et barbare, dont le seul programme consiste dans l’espace public,  à lancer des projectiles  pour casser et blesser, et des cocktails Molotov pour incendier et pour tuer.
Leur hyper-violence de cagoulés-en-mission-terroriste avec le drapeau noir et le bras levé (1), nous renseigne comme étant l’autre menace anti-républicaine  qui pèse sur notre pays.

Pour le 1er mai de l’An 1, le président a donc pensé qu’il serait bien servi par les saccages des  anarchistes : les scènes photographiées feraient le tour du monde pour occulter  la Fête du travail, la grève des cheminots et la CGT.

Que fit le président ? Il informa à son tour son gouvernement et le préfet de police de Paris, sans oublier les « bons » secrétaires de la CFDT et de FO – (le premier, interrogé dans sa voiture avec chauffeur, justifia son retrait du défilé, le second tint une réunion dans une salle insonorisée éloignée du pont d’Austerlitz).

Quels ordres donna le président ?
–  » Surtout ne rien faire ou faire juste semblant ! »  / « Laissez casser ! » / » Laissez pourrir ! »
Ainsi, pour fêter l’An 1 en 2018,  le président avait prévu de rejouer la comédie de Charléty avec D. Cohn-Bendit en 1968. Mai 2018 serait  le retour de l’anarcho-« benditisme » avec le gouvernement, le patronat, la CFDT et FO, contre les salariés et la CGT (2).

Le président pouvait partir tranquille en Australie. Il avait lancé son  boomerang !  

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1 Photo source Dreuz.info 1.05.2018 Ch. Larnet

 

Qui les finance ?  Quel gouvernement les interdira ?

On se souvient de la montée en puissance de la milice paramilitaire -sous le nom de Sturmabteilung ou section d’assaut SA – et du rôle qu’elle eut dans la création du « Parti national-socialiste des travailleurs allemands », le NSDAP – le parti nazi d’Adolf Hitler, au début du XXème siècle. Sturmabteilung ou section d'assaut SA

2 Vers l’extension de l’anarcho-« benditisme » et de la charia djihadiste anti-laïque   par L’ingénue 29.30 avril 2018
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NB  20 mai 2018  
par L’ingénue : Le nouveau titre : (1) La Résistible extension de l’anarcho-« benditisme »: 1er mai 2018 – Paris, fait référence au titre de la pièce de théâtre de Bertolt Brecht : La Résistible Ascension  d’Arturo Ui  / Traduction en français : Armand Jacob – Éditeur : L’Arche 1959 / Date de création : 8 novembre 1960 – Paris – Théâtre national populaire – Metteur en scène : Jean Vilar.

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