L’incomparable président Hollande

9.09 – 19 .09 – 22.10 2015     En apostille – Le réfugié normal de l’Élysée.

 

C’était la sixième conférence de presse du président de la République depuis le 15 mai 2012.

Une vingtaine de minutes avant la fin, un journaliste de Sud Ouest, se référant à l’ouvrage d’une consœur, l’interroge sur le possible inventaire de ses 3 ans 4 mois de mandature, qui le distinguerait de son prédécesseur.

Piqué au vif quand on ose le comparer à N. Sarkozy, le président répliqua qu'[il n’était] pas pour une distinction sur tous les sujets ; c’était pour dire surtout que la question le fâchait et  que pour lui le temps de penser à l’inventaire viendrait …  après le réveillon du jour de l’an 2017.
Enfin, comme il était là pour répondre, il  préféra égrener ses propres questions et tenter d’y répondre :

♦   – Est-ce que tout a été bien fait ?
On le verra à la fin du quinquennat parce que la cohérence doit /^^^/* en être le fruit.
Traduction :  il n’est ni sûr de la cohérence de sa ligne politico-socio-économique ni de ses bons résultats ;  mais  le président inch’allah croit au miracle en 2017.

♦ ♦  – Est-ce que le pays va se sentir plus fort ?
Pour l’instant, il n’en a pas encore conscience
(!). Je dois lui dire. Je dois le démontrer. Je dois surtout le faire (!)
Traduction : les Français stupides ne savent pas ce qu’ils lui doivent, dans ce qu’ il n’a pas encore fait mais qu’il va faire.

Il poursuivit :
– Est-ce que le pays a plus de capacités ?
– Et donc, je dois libérer toutes ses capacités jusqu’au bout ; 

et j’vais pas me regarder côté miroir : Qu’est-ce que j’ai fait ? Qu’est-ce que j’ai  bien fait ? Qu’est-ce que j’vais faire ? Qu’est-ce que pensent les autres ?
–  Se comparer même, généralement, c’est rassurant.
(!)

Traduction :  Il va nous épater jusqu’au bout, il en a la capacité ; et s’il ne fait pas  son autocritique, ce n’est pas qu’il en est incapable, mais qu’elle est inutile. Sa jauge, c’est lui-même, et quand il se compare à « l’Autre », il est rassuré.

Quant aux réflexions  des journalistes  les mots,  les paroles, les livres, pardon, que vous écrivez et que je ne lis pas, tout cela glisse sur lui, président, comme la pluie du 15 mai 2012, sur les plumes du canard.

Et du côté des ministres,  Y’a d’la joie ! Mesdames Taubira et Vallaud-Belkacem sont hilares et pour un peu, elles applaudiraient.

Ainsi nous retrouvons, incarnée, la Philautie d’Érasme, cet homme s’adore !  Il ne veut être comparé à personne.  Lui, le président, n’a pas besoin de miroir. Il sait depuis son élection  par défaut, qu’il a vraiment de la chance, qu’il est le meilleur, le plus intelligent et qu’il a bien raison d’en jouir avec sa joyeuse bande de copains et de copines, toutes et tous aux commandes de L’État  avec de belles pensions à la clef- promotion Voltaire oblige.

Et nous, dans le miroir de la télévision, nous avions l’image de l’orgueil d’un homme,  le président Hollande rassuré d’être incomparable.

Devant ce niveau de perfection, il nous reste la définition de l’orateur selon Érasme   : « Moins il a de valeur et plus il a de prétention et d’impertinence, plus il se rengorge et plastronne ».

♦_____________________________________♦

NB 
Pendant ces deux minutes, l’incomparable président a dit 20 fois JE ( un toutes les six secondes) et une fois nous. Ses paroles sont en italique. [2′ 1h38-1h40]
*  ^^^
flottement dans l’expression
__________________

vendredi 18 septembre 2015

Apostille sur un incroyable patrimoine

À propos d’une autre question posée au président Hollande, lors de sa conférence de presse du 7 septembre 2015

Le président Hollande, réfugié normal à l’Élysée

Où l’on découvre que le seul refuge du président Hollande est le palais de l’Élysée et quand un journaliste lui propose de suivre l’exemple du premier ministre finlandais, qui déclare vouloir accueillir des réfugiés dans sa maison secondaire, la réponse fuse, avec de petits hochements de tête : c’est ici, si je puis dire, je n’ai pas de résidence secondaire aujourd’hui disponible.

Cette déclaration est franchement conforme à celle qu’il fit à Paris, le 15 mars 2012, en tant que député, président du conseil général de Corrèze, candidat normal à la présidence de la République.
Il n’avait en effet, déclaré aucune résidence principale à Paris, ni quelque pied- à- terre à Tulle, mais aussi, aucune valeur mobilière cotée (ou non) en bourse, aucun placement (SICAV, Fonds communs de placement, SCPI etc.)  ni collections, ou objets d’art, et autres bijoux, pierres précieuses ou or, ni véhicule à moteur, ni fonds de commerce ou clientèles, charges et offices, ni autres biens et/ ou biens immobiliers et comptes détenus à l’étranger.
La mention « Néant » donne la mesure de la déclaration du candidat Hollande.
De même, pour la maison de Mougins (Alpes-Maritimes) M. Hollande n’avait mentionné qu’un montant de 15 000 euros de meubles meublants, ce qui fait que dans l’éventuel F2 de Tulle, il lui aurait fallu mettre le matelas par terre !

Enfin devenu président, nous savons qu’il a pu acquérir avec ses 14 910 euros net mensuels, un scooter et un casque, pour ses chevauchées normales et nocturnes.
♦ Mais quelle période de vache maigre que celle qui s’étend pour M. Hollande de 1981 à 2011 ! Cela fait pitié ! Haut fonctionnaire, chargé de mission auprès du président Mitterrand, directeur de cabinet etc. puis député normal de 1988 à 1993 et de 1997 à 2011, il n’aura survécu en 2011 et 2012 que grâce à deux prêts de trésorerie de 30 000 euros (somme remboursée : 586,15€).

Alors que, pendant ces trente années de gros salaires, M. Hollande aurait pu – à l’instar de ses confrères de la Haute administration, avec lesquels il fait partie des 2 % de Français normaux les plus riches  – se constituer un patrimoine hors immobilier entre 700 000 et 1 000 000 d’euros ; mais que nenni ! Il n’aurait même pas une montre comme son camarade J. Dray.

Au-delà de l’accueil de réfugiés syriens, une question me taraude  :
Où se réfugiera M. Hollande, s’il ne garde pas sa maison de l’Élysée en 2017 ?

♦ À moins qu’il ne faille douter de la déclaration de patrimoine du candidat Hollande en 2012 ?
♦  De toute façon, s’il a enfin pu se constituer en 5 ans un patrimoine, il pourra acquérir un  F2 pour commencer en comptant 11 000 euros pour les meubles meublants ; mais le pourra-t-il ?
Sinon dans l’urgence, même sans avoir à payer le passeur, s’il n’a pas un sou,  il trouvera toujours refuge, n’en doutons-pas, chez une Française charitable.

__________________________

♣   Fin provisoire de ce compte (ou conte) de patrimoine 2012.
Les 19- 20 septembre 2015,  pendant les Journées de notre Patrimoine, le refuge du président normal se visite.
♣  Un dernier clin d’œil 😉
Les premières journées du Patrimoine de la présidence de M. Hollande, le samedi 15 et le dimanche 16 septembre 2012, avaient pour thème « patrimoines cachés ».

 

2012 Patrimoines cachés

source vidéo Borowic5  La vérité sur le patrimoine de F. Hollande


  Ajout du 22.10.2015  
Pour voir quelques bonnes astuces de Ces très riches qui échappent à L’ISF / 12.06.2014 Ivan Best / La Tribune  … sans oublier de compter les ultra-riches qui ont leurs paradis fiscaux et/ou leur domiciliation hors de nos frontières…
__________♣

 

Quand l’Agence fait visiter son Petit Maghreb du XVIIIème arrondisement de Paris

1er septembre 2015

Sur le site du Comité départemental du tourisme de Seine-Saint-Denis (sis à Pantin), était annoncée pour le samedi 22 août 2015, par l’Agence de Promotion des Cultures et du Voyage (APCV), une Balade-repas dans le Petit Maghreb Barbès-Goutte d’Or (1) du XVIIIème arrondissement de Paris
Dans sa notice l’Agence évoquait une véritable « découverte de la communauté maghrébine qui fait vivre le quartier» dans des ruelles embaumées des senteurs d’épices, tissus, bazars et narguilés…aux couleurs orientales et méditerranéennes.»

On pouvait deviner que pour les habitants du premier département musulman de France par sa population, comme pour ceux de Saint-Denis- La -Mecque de l’islam de France (2) »,  l’effet « découverte » d’une « communauté maghrébine » serait quelque peu … atténué.

Et on devinait aussi que cette balade ne serait pas une visite-conférence sur l’histoire de l’ancien village de La Chapelle-Saint-Denis, ses croix de pierre ou Montjoies, ses moulins de la Butte des Couronnes et ses vignes dont «  l’appellation Goutte d’Or existait déjà en 1474 ; elle venait soit d’un lieu-dit où l’on cultivait la vigne, soit de l’enseigne d’un cabaret débitant un vin blanc cultivé à cet endroit. La Ville de Paris eut coutume au Moyen Âge d’offrir au roi de France, au jour anniversaire de son couronnement, quatre muids du vin réputé de la Goutte d’Or (3)».

Néanmoins, la notice de l’Agence promettait  « une ambiance Médina sur Seine  (…)  pour percer les mystères de ce quartier bouillonnant ».

Tiens ! Des mystères ? Cela méritait l’attention avant le rendez-vous de 10 h au métro Château Rouge (4), à deux pas de la rue Dejean, pour notre « voyage au cœur du Maghreb ».

Très vite, un premier « mystère » est éclairci car « le Petit Maghreb » du marché Dejean (et non pas Saint-Jean comme sur la notice), est plutôt connu sous le nom de « la Petite Afrique ». C’est même ce que les ethno-sociologues appellent « une centralité africaine ». Il s’agit de « commerces spécifiques pour les populations d’Afrique subsaharienne de toute l’Île-de-France et dont l’implantation est grandissante depuis les années 90. Ce furent d’abord la rue Dejean avec la rue Poulet et la rue des Poissonniers, puis les rues de Panama et Suez, puis les rues Labat et Marcadet puis la rue Doudeauville qui perdirent tous leurs commerces traditionnels au profit de commerces communautaires de gros et demi-gros. (…)
La foule des consommateurs a généré le phénomène des ventes à la sauvette de produits exotiques et de produits de contrefaçon [ou volés]. (5)»

Là où l’Agence annonce une balade dans des « ruelles embaumées des senteurs d’épices », les riverains de la rue Dejean qui ont créé, en 2013 leur association la Vie Dejean, sont exaspérés par le marché illégal qui rend leur rue invivable, les encombrements permanents de véhicules, de cartons et de détritus, les nuisances sonores, la saleté innommable avec des odeurs d’urine et d’immondices, et en prime un climat d’agressivité croissante.
Eux souhaiteraient pouvoir simplement vivre dans une ambiance paisible qui serait un heureux retour à l’atmosphère chaleureuse mais respectueuse des droits et devoirs de chaque citoyen en France, un retour à cette citoyenneté fraternelle que les enfants de toutes nationalités vivent et apprennent à l’école primaire Doudeauville comme dans les huit autres écoles du quartier.

L’année 2014 a vu aussi le Collectif Château rouge Goutte d’or – créé il y a une quinzaine d’années- constituer la liste Pari citoyen pour Paris 18 aux élections municipales avec un Programme – Manifeste pour les quartiers populaires du 18ème arrondissement , bel exemple de sérieux, d’esprit citoyen et de lucidité.

Si l’Agence évoque la communauté maghrébine et la douceur de vivre dans une «  ambiance Médina sur Seine », c’est pour mieux dérober à notre vue le deuxième « mystère de ce quartier vraiment chaud bouillonnant ».
En effet, le quartier «Petit Maghreb Barbès-Château-Rouge Goutte d’Or » est classé par le gouvernement et M. Valls, depuis septembre 2012 (dans la première vague et le premier pour Paris) en Zone de Sécurité Prioritaire (ZSP).
Ce qui signifie que le pouvoir politique sait que « ce quartier est touché par la dégradation de l’ordre et de la tranquillité publics : cambriolages, vols avec violence, installation durable de vendeurs à la sauvette dans des secteurs touristiques, implantation de trafics de stupéfiants dans des halls d’immeubles ou dans les squares publics (6) etc. ».
Cet etc. est lourd de silence hypocrite car il  masque la présence des réseaux criminels de prostitution de mineures, le spectacle des héroïnomanes et autres drogués dans leurs pratiques, les incendies de voitures et d’immeubles, les émeutes, l’encerclement de policiers…

En cette rentrée des classes, il faut souligner le beau courage des enseignants pour accomplir leur mission, et comprendre que pour les enfants et les adolescents de la Goutte d’or, le spectacle permanent et sordide des noirceurs, des délires, des bassesses et des violences inouïes des adultes, dès la petite enfance, met en péril leur équilibre, leur développement, leur sens moral, leur devenir.

Suivrait la découverte d’autres « lieux symboliques ». Ainsi rue Dejean «   le café social , lieu convivial des Chibanis » , dédié aux seuls migrants âgés ; puis la rue Myrha où l’on pourrait « visiter les boutiques et  découvrir que l’une d’entre elles vend des poules. » !

Mais le troisième « mystère », c’est bien ce que cache la visite de « l’Institut des Cultures d’Islam de Paris » car il a été créé en violation réelle et non pas symbolique de la loi de 1905 (7) par une escobarderie de jésuite avec le « r » qui substitue culturel à cultuel (8).
De fait, la mairie de Paris de M. Delanoë a investi un budget de 13,5 millions d’euros pour la construction d’une mosquée sous la pression de l’UOIF et du CFCM qui faisaient venir des centaines de musulmans d’Île-de-France pour prier dans les rues Polonceau et Myrha.

Et dans le même temps que bien chauffées par T. Ramadan , les frères musulmans et autres salafistes de Saint-Denis, les organisations islamiques  orchestraient  la subversion anti-laïcité des hommes musulmans dans les rues, elles  infligeaient aux femmes musulmanes (comme le font les talibans, les ayatollahs iraniens, l’émir d’Arabie saoudite,  l’État islamique ou Boko Haram etc.) la punition des voiles et des burqas dans l’espace public – autre subversion  du prosélytisme islamiste.

La Société des Habous et lieux saints de l’islam (sous tutelle algérienne) propriétaire de la Grande Mosquée de Paris, aurait- nous dit-on– versé 2,2  millions d’euros et règne en despote en s’arrogeant  le droit cultuel  de régenter  le culturel. Les expositions seront sélectionnées à l’aune de la charia. Ainsi, après six semaines d’ouverture, « la photographie d’une danseuse du ventre relativement dénudée a été interdite (9)».
Évidemment, sous le camouflage du « culturel », les organisations islamiques prévoient déjà  de multiples interventions dans les établissements scolaires laïques de la Goutte d’Or.

♠ En ce temps de si grand danger djihadiste, en ce temps où 5000 individus « S » djihadistes potentiels  prient dans les mosquées, en ce temps où  « l’imam Larbi Kerchat, figure historique de l’islam de France, Algérien, de l’Association cultuelle islamique de la mosquée Adda’wa, dit ne pas se souvenir des frères Kouachi : « Ce n’est pas mon rôle de les détecter (sic)»(10), il est bon de savoir que l’Agence a prévu la visite un samedi car elle sait que le vendredi l’Institut culturel est encore plus une mosquée.
En conséquence, pas de visite de l’exposition du rez-de-chaussée le vendredi,  car les organisations islamiques ont obtenu de la mairie de Paris qu’elle serve de salle de prières supplémentaire pour les hommes – les femmes (elles ont moins de péchés) se contentant de la petite salle au 1er étage, séparée par un épais rideau de la grande salle des hommes.

Alors qu’en France, on peut entrer le dimanche dans l’église Saint-Denis de La Chapelle, même pendant la messe, sans se faire jeter, dans  « le Petit Maghreb du 18 ème », les visiteurs repérés non- musulmans (!) sont forcément refoulés le vendredi, même si leurs impôts locaux ont financé ledit Institut culturel de la mosquée.

Le Petit Maghreb de Barbès – Goutte d’Or  – comme la Seine-Saint-Denis- sombre, depuis vingt-cinq ans en Outre-République – hors du champ de la citoyenneté, de la fraternité  et de la laïcité.

___________________________

Les extraits de la notice sont en italique. Il est bon de savoir que pour cette Agence, les recherches associées sur Google dirigent vers : l’Union des organisations islamiques de France (UOIF) / l’Association des projets de bienfaisance islamique de France / le Centre socio-culturel Tawhid (orientation politique : Frères musulmans Qardhawi- T. Ramadan- AKP- Ennahda) / l’Institut européen des sciences humaines (IESH) rattaché à l’UOIF / l’Association cultuelle islamique de la mosquée Adda’wa (Paris 19 ème – C’est la mosquée et l’imam des frères Kouachi).  

2 Cf. Gilles Kepel Quatre-vingt-treize Chapitre 1, p. 37 (Gallimard 2012)

3 Un muid ou la futaille qui contient la mesure d’un muid (environ 270 litres). Connaissance du Vieux Paris Rive droite Rive gauche & les Îles – Les Villages. J. Hillairet.

4 Ce fut une belle demeure en brique et pierre édifié en 1780 au milieu d’un vaste parc ; puis le bal public et champêtre du Château Rouge, en vogue de 1848 à 1864. (Source Dictionnaire historique des rues de Paris J. Hillairet Tome 1)

5 Source : Collectif Château rouge Goutte d’or 

6 Voir sur Gouvernement.fr   2 septembre 2015  Les incendiaires  criminels multirécidivistes (dont un Algérien trafiquant de drogues)  de la rue Myrha qui ont brûlé vives huit innocentes victimes (dont deux enfants) et dont les cris, les appels au secours et la défenestration de deux d’entre elles, seront gravés pour longtemps dans la mémoire collective, prouvent le niveau de grande criminalité sauvage des mafias du « Petit Maghreb ».

7 «  La République ne reconnaît, ne salarie ni ne subventionne aucun culte. En conséquence, (…) seront supprimées des budgets de l’Etat, des départements et des communes, toutes dépenses relatives à l’exercice des cultes. »

8 escobarderie : hypocrisie, fourberie avec des mots ambigus pour tromper. (du nom d’Escobar – célèbre casuiste jésuite espagnol XVIIème siècle).

9  L’ICI Goutte-d’Or, où le culturel avoisine le cultuel Léa Ducre Le Monde.fr 17.01.2014

10 [Source B. Zagdoun Francetv info 10.01.15]

_____________________________

1er septembre 2015 (revu le 3 septembre)

Je suis Charlie En  mémoire

Du massacre à Paris par les frères Kouachi, djihadistes de la mosquée Adda’wa (Paris 19 ème – imam :  Larbi Kerchat) 

le 7 janvier 2015

Des dessinateurs de CHARLIE HEBDO : CHARB  CABU  WOLINSKI  TIGNOUS  HONORÉ,  des collaborateurs  Mustapha OURRAD, Elsa CAYAT, Frédéric BOISSEAU, du journaliste Bernard MARIS, de l’invité Michel RENAUD, des policiers Franck BRINSOLARO  Ahmed MERABET.
______________________________________

Cf. par
L’ingénue
« La Seine-Saint-Denis, c’est comme au bled. »  31 décembre 2016
En passant devant l’université Paris VIII Saint-Denis  23 février 2017