Les « gamins » d’Outre-République viendront avec leurs « kalachs »… et leur « shit »

15 – 19 février 2018 – ♦ note finalisée  le 13 mars 2018 .   Apostille avec J.M. Blanquer (ministre de l’Éducation nationale depuis mai 2017).

Les « gamins » [terme journalistique pour « dédouaner« * les crapules de 18 ans] viendront avec leurs « kalachs »… et leur « shit »[de « merde »] …

…  les « gamines » viendront en burqa ;  les zadistes de Notre-Dame-des-Landes et de Bure, les black blocs et autres « nationalistes » viendront en cagoules …

M. le président Macron a dit, le 13 février 2018, « souhaiter (sic) que le futur service national universel soit « obligatoire » et dure « autour du trimestre », voire de « 3 à 6 mois ». « Il ne s’agit pas de recréer des casernements massifs », a-t-il ajouté, estimant que le coût  de cette mesure ne sera pas « prohibitif »(1) » …

Cela ne coûtera à ceux qui payent  leurs impôts en France que la bagatelle de 3 milliards !

M. le président Macron invente « le service national universel » pour fêter en 2019, la trentième année du port du premier foulard islamique au collège de Creil.

C’était en septembre 1989, et M. Mitterrand n’avait pas bronché… Le petit monde de la politique PS avait déjà commencé à rechigner sur la laïcité et son respect dans l’école de la République.
Le résultat est lamentable : en 2018, les amphithéâtres des facultés françaises pavoisent en burqas … comme si la France était devenue un état islamique, l’Iran ou l’Arabie saoudite !

La classe politique et ses gouvernements successifs depuis 1981  laissent le champ libre dans les villes et les établissements scolaires, aux trafics et à « l’interdiction d’interdire ».  »

La classe politique et ses gouvernements successifs depuis 1981  laissent notre jeunesse fumer, boire et se droguer avec pour seuls slogans : »Hyper réac la morale ! » – « Hyper réac notre Histoire et notre langue française ! » – « Hyper réac notre  appartenance à la République française ! »

La classe politique et ses gouvernements successifs depuis 1981  rognent sur la durée de tous les apprentissages scolaires et surtout sur les exigences  d’excellence de l’apprentissage de la langue française et des mathématiques. L’école française a le bonnet d’âne de l’Europe – et encore plus si l’on ajoutait la Fédération de Russie !

Désormais, de 6 ans à 18 ans, les élèves vivent des journées dans l’agitation permanente voire dans la violence et le crime, à Marseille, à Toulouse, comme en Seine-Saint-Denis, comme partout en France.

  Chaque adolescent, les écouteurs rivés aux oreilles, reçoit quotidiennement sa dose de décibels, sa dose de rap et son « j’ai la haine de la France«  et « j’ai du shit de « merde«  pour vous

♦ Et les idéologues du marais- de- la -droite -girondine- du- PS -et – d’En -marche appellent cela  :  » Le Vivre ensemble » ! 

 Mais M. le président Macron a  dit  » Vive le service national universel  après 18 ans  » !

Le premier service « national universel » à rendre à la France, ce serait, M. le président, de lui redonner son école républicaine paisible  de 6 à 18 ans, avec toutes ses réussites, dans le plaisir d’apprendre ensemble !

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* J’ai retrouvé la « formule » chez S. de Beauvoir :« Il y a un tas de crapules que vous dédouanez en douce » dans Le Grand Robert tome II, p. 1092. Parole d’ingénue !

« Service national universel » 

♦ Lire (ou relire) le rapport de l’Inspection générale de l’Éducation nationale présenté par Jean-Pierre OBIN  en juin 2004  au ministre de l’Éducation nationale F. Fillon /gouvernement J.P. Raffarin III / président J. Chirac.

J’en extrais le début de la conclusion / écrit en bleu par L’ingénue  p. 31 :

« Ce que nous avons observé dans les établissements scolaires implantés dans les quartiers où sont concentrées des populations issues de l’immigration maghrébine, parfois turque, africaine ou comorienne, quartiers de plus en plus homogènes sur le plan social et religieux, n’est manifestement que la partie scolairement visible d‘un phénomène bien plus profond, dont l’évolution constitue vraisemblablement l’une des clés de notre avenir.
La réalité semble bien en effet être la suivante : pour la première fois dans notre pays, la question religieuse se superpose -au moins en partie- à la question sociale et à la question nationale ; et ce mélange, à lui seul détonnant, entre en outre en résonance avec les affrontements majeurs qui structurent désormais la scène internationale. » (…)

et la fin p. 34 :

« Sur un sujet aussi difficile, et aussi grave puisqu’il concerne la cohésion nationale et la concorde civile, soulignons qu’il est chez les responsables deux qualités qui permettent beaucoup, et qu’on devrait davantage rechercher, développer et promouvoir à tous les niveaux. Ce  sont la lucidité et le courage. »


À lire- à relire   : La Charte de la Laïcité à l’école
La Nation confie à l’école la mission de faire partager aux élèves les valeurs de la République. La République est laïque.
Mais depuis 1989, une grave question se pose : où est-elle appliquée cette charte  de la laïcité de la République ?
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Apostille    avec M. J.M. Blanquer (2), ministre de l’Éducation nationale du gouvernement É. Philippe/président E. Macron.

De 2007 à 2009, J.M. Blanquer fut recteur de l’académie  de Créteil ;  il a « assisté » à l’instauration de l’Outre-République de Seine-Saint-Denis ;  il connaît donc bien ce communautarisme anti-laïque enraciné dans « les territoires »/comme l’on dit dans les ministères/.
Alors, quand Fatiha Agag-Boudjahlat (3), professeur d’histoire-géographie, dans un collège de Toulouse, lui demande ce qu’il pense des « certificats médicaux d’allergie au chlore » présentés par des collégiennes de 6ème, pour les dispenser d’apprendre à nager à la piscine, comme les autres élèves de leurs classes, il répond seulement : « Ce que vous venez de dire est exact, ces problèmes existent, il ne faut pas faire comme si ça n’existait pas (sic). »
Et il fera comme il a déjà fait … d’ailleurs il dit lui-même quil ne sait pas quoi faire !  Ah ! le brave homme ! Il ne sait même pas que l’on pourrait demander son avis au médecin scolaire 

….Mais M. Blanquer sait comment créer un « Conseil des sages » avec comme présidente une ancienne membre du Conseil constitutionnel. Ce Conseil aura pour mission de « donner la règle du jeu » … quand les enseignants poseront des questions …
Nous, on sait déjà que Jean-Pierre Obin ne sera pas un de ces  « sages ».

Enfin, M. Blanquer sait-il qu’il peut même aller faire un tour à Toulouse pour découvrir « la violente règle du jeu du lycée  Gallieni »  et en tirer des leçons pour l’avenir … ? …  en République ?

Hélas ! Le ministre et son « chef » ne savent pas que les mots, République-loi- laïcité -liberté- citoyenneté- égalité- fraternité, font « les règles du pouvoir-apprendre-ensemble » dans les établissements scolaires, et que ce n’est pas « un jeu ».
On sait désormais qu’ils ne feront pas appliquer nos lois fondatrices
, ils préfèreront leur formule infantile et ludique de « règle du jeu »… comme pour la cour de récréation de l’Élysée, de Matignon ou de Grenelle.

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2 Source  actu.fr/occitanie/Toulouse – pour « L’Émission politique » sur France 2 – 15.02.2018.

Fatiha Agag-Boudjahlat est l’auteur de « Le grand détournement » et cofondatrice du mouvement « Vivre dans la laïcité ».
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Macron, ses dieux et la barbarie du quotidien

29 octobre 2017 * mise en avant le 10.04.2018

Note mise en avant le 10.04.2018  avec cette nouvelle introduction :

Effet d’annonce de G. Collomb, ministre de l’Intérieur, qui promet  le  8 février 2018, « une action renforcée dans trente quartiers de reconquête républicaine entre 2018 et 2019″…

On notera que le président Macron n’en fait pas « une grande cause nationale ».  

  ♦ Nous subissons les conséquences tragiques de la lâcheté des gouvernements depuis 1981 – avec une généralisation sans précédent des tueries, depuis 2012 et la mandature de F. Hollande.
Le pouvoir politique a bafoué notre fraternité laïque, au profit d’un obscurantisme barbare du VIIème siècle, qui s’est implanté en Seine-Saint-Denis, dans le but d’appliquer la loi islamique du djihad contre les Français mécréants, avec ses subversions incendiaires et ses massacres,  dans  toutes les banlieues, dans toute la France.

 ♦ La France est en grand danger d’Outre-République avec un président Macron qui confond notre liberté laïque avec le pouvoir de partis religieux que le peuple français, de  1789 à 1830, 1848 et 1871, dans ses Révolutions à portée universelle, avait réussi à bannir de son avenir républicain.

 ♦ Mais qui pourrait nous obliger à « marcher » pour une Outre-République avec un outre-président-monarque oint des huiles du cardinal, de l’imam et du rabbin, et jurant sur leurs livres d’obéir à leurs trois dieux ?

 ♦ Bref, qui pourrait nous obliger à « marcher » pour une Outre-République, dans laquelle notre Marianne serait l’otage des hauts dignitaires des monothéismes et de leurs dogmes ?

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La théorie de « l’en même temps » de M. Macron
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Le 3 juillet 2017, devant  le Congrès  réuni à Versailles, le président Macron avait déclaré  qu’il lèverait l’état d’urgence en automne, arguant qu’« en ces temps de terrorisme, vouloir la liberté forte, c’est aussi  assurer la liberté de chacun et garantir le plein respect des libertés individuelles (1)».  …   Donc pour M. Macron, c’est assurer la liberté des S-Salafistes !

Mais, en même temps,  le 18 octobre 2017, le président Macron fit un discours devant les Forces de sécurité intérieure (police, gendarmerie, préfets) et leur annonça  la création de la police de sécurité du quotidien (2).  Il s’adressait à eux,  le jour où le Sénat  adoptait le projet de «loi renforçant la sécurité intérieure et la lutte contre le terrorisme », que l’Assemblée nationale avait adopté le 13 octobre 2017, et qui devrait succéder à l’état d’urgence.

Ainsi, les dizaines de milliers de terroristes djihadistes potentiels et autres radicalisés vont voir se desserrer l’étau efficace des surveillances, perquisitions et saisies, dans quelques jours … alors que les expérimentations de la police de sécurité du quotidien qu’il prône, ne commenceront qu’en  2018.
C’est cela que le président Macron appelle en finir avec « l’impuissance publique que les Français ne supportent plus ».

Mais alors,  pourquoi M. Macron, chef des Forces de sécurité intérieure, n’a-t-il pas profité de son temps de lune de miel présidentielle, du 10 au 20 août 2017 à Marseille, pour montrer combien il était l’humble serviteur des honnêtes citoyens des quartiers nord, et comme eux,  ne supportait plus la barbarie du quotidien ?

Celui qui, candidat à l’Élysée, avait dit pendant sa  campagne du second tour, « Il faut prendre le risque, il faut aller au cœur de la bête (sic) chaque fois.» – quand « les mecs (sic) de la sécurité » (3)  ne le laissaient pas  « rencontrer les salariés en colère de l’usine Whirlpool d’Amiens -,  n’aura pas pris ce risque à Marseille.

Lui,  qui aime se déguiser pour jouer au petit soldat,  aurait pu se rendre utile en jouant  au policier dans le 13ème  , ou le 14ème ,  dans le 15ème ou le 16ème arrondissement de Marseille (4), et montrer à la France entière, accompagné du préfet de police, O. de Mazières, de tous les élus du peuple de Marseille et de leur future police de sécurité du quotidien, qu’ils ont comme lui :
le droit d’entrer dans un quartier pris en otage par la loi mafieuse de trafiquants de drogues et criminels multirécidivistes ;
le devoir de représenter la liberté forte devant les citoyens de la Castellane ;
l’autorité supérieure à celles des repris de justice et des assassins, l’autorité  pour garantir le plein respect des libertés individuelles,  l’autorité qui garantit la sécurité des habitants. 

Comme l’on sait que le président girondin prend souvent le risque d’émailler son langage de mots impolis, le temps était venu pour lui de dire haut et fort aux pourvoyeurs de shit ou merde (haschich, cocaïne et héroïne), qu’ils ne pourraient plus continuer  à  foutre le bordel  à la Castellane, dans  la vie des familles, des enfants, des adolescents, des  séniors, dans le travail des établissements scolaires, des services médicaux, des chantiers de rénovation, dans l’intervention des pompiers appelés au secours de leurs victimes et pour éteindre leurs incendies , etc…

Le temps était venu  de dire haut et fort aux Français que la République laïque et fraternelle voulait une autre vie, un autre avenir pour sa jeunesse  à Marseille, comme partout en France, parce qu’elle donnait  aux préfets, aux  policiers et aux gendarmes  le droit et le devoir  de faire respecter cette loi qui  doit nous protéger tous, comme elle protège la vie du président et de sa famille.

Mais hélas, on l’a compris le chef Macron parle mais ne pouvait avoir le courage de montrer l’exemple à Marseille et aller au cœur de la bête, au cœur des tribus de taulards millionnaires et de caïds en BMW, en Porsche Cayenne avec AK 47 et lance-roquettes.

Bref,  Macron, poings crispés (!)  a  parlé de conforter et de rassurer  la population française, devant les Forces de sécurité intérieure …. là où, comme l’a rappelé Samia Ghali, sénatrice et ancienne maire des 15èmeet 16ème arrondissements   « le danger est omniprésent » (5).

Et un responsable de l’association de médiation et de cohésion sociale de Marseille  partage son avis   : « Je suis allé à la Castellane il y a quelques jours, j’ai dû me faire accompagner, puis raccompagner pour la première fois de ma vie. » Samia Ghali ajoute : « On dispose d’une police de proximité dans nos quartiers et pourtant trois chantiers sont à l’arrêt dans mon secteur. Les caïds s’opposent aux travaux et on ne peut rien faire.  »

… Et le plus inquiétant est à venir,  d’après une note de la Direction centrale de la sécurité publique (DCSP)  de fin 2016, portant sur « l’ambiance dans les quartiers sensibles (hors Paris et Petite couronne) »(6).

En effet, on observe partout que les quartiers dits sensibles – euphémisme absurde pour dire sous l’occupation des barbares de la drogue-, sont devenus  des refuges pour d’autres ignobles barbares  – ceux de la horde des fichés S-Salafistes bientôt rejoints par la cohorte de leurs émules en voie de radicalisation.

Le système S-Salafistes déploie  « de véritables stratégies locales » qui  visent à islamiser la vie économique,  sociale et politique, comme on le voit  depuis des années en Seine-Saint-Denis, territoire d’Outre-République laïque.
L’emprise de l’islam intégriste morbide qui emprisonne les femmes sous des burqas est terrible. Ces femmes vivent en France le même cauchemar que les femmes en Iran, en Afghanistan, en Arabie Saoudite, au Yémen, sous la férule de Boko haram en Afrique …
Ces femmes sont les nouvelles croix gammées qui signifient – comme pour les nazis-  la dictature des S-Salafistes sur tout le territoire national, avec l’inculcation chez les jeunes, de la haine pour notre société démocratique et pour ses valeurs citoyennes de respect de la liberté, de l’égalité, de la fraternité et de la laïcité, toutes valeurs qui garantissent la paix civile en France..

Est-ce cette dictature que le président Macron veut pour la France ?

Est-ce pour cela qu’il a été élu avec sa majorité  « La République en marche »  ?

Il faudra que lui et sa majorité en répondent un jour prochain.

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NB   Il semblerait qu’une livraison de 60 000 gilets pare- balles soit envisagée pour équiper nos admirables gardiens de la paix, en charge de la police de sécurité du quotidien barbare, notre quotidien de guérilla urbaine.

Voir sur le site Faits divers en France l’énumération non exhaustive des actes de violence et des crimes commis en France au quotidien.

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Seules les paroles du président Macron sont notées en italique.

Les temps forts du discours d’E. Macron  3 juillet 2017 à Versailles   Public Sénat.fr

Sécurité : ce qu’il faut retenir du discours d’E. Macron   Le Parisien  avec AFP 18 octobre 2017

Sécurité du président : casse-tête pour les gardes du corps de Macron
L’Express Thierry Dupont et Anne Vidalie,   12/07/2017

4 Cf.  Douze rappeurs prêchant la fatwa et l’autodafé [de Charlie Hebdo] ne font pas un bel hommage à la Marche des Beurs  novembre 2013  L’ingénue
Le groupe IAM marseillais avec son « chef », Philippe Fragione ou Akhenaton  hurle sa haine des Français   » bourrins fascistes » dans les quartiers nord, depuis 1989.

Marseille : « Sans grosse opération de « nettoyage » avant d’installer une police de proximité, bon courage ».
20 minutes Adrien Max 18.10.2017

6 Radicalisation : une note décrit l’infiltration des salafistes dans les quartiers
Le Figaro.fr  Jean-Marc Leclerc 7.04.2017

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*le titre « Macron et la barbarie du quotidien » est devenu : « Macron, ses dieux et la barbarie du quotidien », le 12 avril 2018,  après son homélie chez les Bernardins et avant ses sermons dans les temples du capital : TF1 de Bouygues et BFM TV de Drahi.
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En passant devant l’université Paris VIII Saint-Denis

 23 – 24 février 2017    23- 28 mars 2017 légendes complétées pour les photos 3 –6 et 7.
Apostille
6 avril 2017 – 9 juin 2021

 

 

Ce lundi 20 février 2017, dans l’après-midi, l’apparence extérieure du bâtiment et de son entrée m’est apparue tellement  sale et dégradée, pour un établissement d’enseignement supérieur public, qu’il était clair que  Mme la ministre de l’Éducation nationale Vallaud-Belkacem, et M. le président exemplaire Hollande, n’avaient pas voulu l’excellence pour les universités  françaises.
Nul doute qu’ils seraient les bienvenus pour « les portes ouvertes » du 25 février 2017 (1).
À l’intérieur,  Tom L. (2) dans le Bondy Blog,  a observé  « (…)  vandalisme et manque de moyens, séquelles que l’on  constate quotidiennement à « P8″ (…) ». Il nous conduit  vers le bâtiment B :  » À gauche, il y a la bibliothèque universitaire (3) (…). Bon sang qu’elle est belle, grande, calme et lumineuse ! (…). Sur deux étages, ce lieu compte près de 1 500 places et 250 000 ouvrages en accès libre ».  Il constate aussi l’autre banalité de Paris VIII avec le vandalisme, l’omniprésence du trafic et de l’usage de  drogue dans un établissement d’enseignement supérieur  :  « Entre les deux parties du bâtiment B, les passerelles empestent le « oinj (4)». (…)


ALORS  ?
Quand fera-t-on honneur à l’université Paris VIII Saint-Denis,  à ses étudiant(e)s, à ses professeurs, à tout son personnel  ?

Quand trouvera-t-on les vraies réponses citoyennes  pour faire  honneur à la République, à  son enseignement supérieur, à Saint-Denis, comme partout en France ?

 

 

Au fronton de la façade, on lit  FIN DU TRAVAIL   ….  et la suite en forme de question d’un autre /ou du même,  sur le mur de la rue de la Liberté :  QU’EST- CE QU’ON FAIT LÀ ?

La paresse et l’ignorance ?   Rue de la Liberté ?  C’est un peu court et  cela ne vous fait pas honneur, jeune homme qui voulez donner des leçons de morale politique !
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1  Les lycéens et les lycéennes aussi sont invités aux   Portes ouvertes à l’Université Paris VIII Saint-Denis samedi 25 février 2017 ..

2  L’esprit de Vincennes à Paris 8  / 22 avril 2015 /Libération Bondy Blog 


3
  [source Wikipédia] « En 1998, les deux « rives »  de la voie rapide qui traverse le campus de Saint-Denis sont reliées par un pont qui abrite la nouvelle bibliothèque de Paris VIII, lieu impressionnant qui dépasse en superficie la bibliothèque du Centre Pompidou. (…)  Simultanément, une station de métro Saint-Denis Université est inaugurée » (…)

En 2006, le bâtiment D sort de terre, remarquable par ses courbes et sa vêture de panneaux de verre translucide ; il abrite les Unités de formation et de recherche (UFR)ainsi que les laboratoires de recherche.

En 2008, un nouvel immeuble, de couleur rouge brique, est mis en service ; il héberge le restaurant universitaire (2000 repas par jour, 5000 m²), ainsi que 55 chambres pour les étudiants étrangers et un logement de fonction.

En 2010,  une « Maison des étudiants », d’une surface de 730 m², ronde et recouverte d’un treillis de métal argenté, est construite sur le campus. Elle abrite les services liés à la vie étudiante, à la médecine préventive, au Centre régional des œuvres universitaires et scolaires (CROUS), ainsi qu’aux organisations étudiantes. »  [Wikipédia] 

L’université Paris VIII tolère le déni des lois sur le trafic et la consommation de drogues licites et illicites, sur l’interdiction de fumer tabac, et a fortiori cannabis, dans un lieu public, et qui plus est, dans un lieu d’enseignement supérieur, qui dispose d’un service de médecine préventive.

 ♠  À l’université Paris VIII, 
    serions-nous Outre- République française,
    rue de la Liberté, à Saint-Denis ?   
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* Photo 6  À propos de l’Affaire d’Aulnay-sous-Bois : les contradictions de Théo lors de son audition   Le Parisien 21 mars 2017 –  J.-M. Decugiset  É. Pelletier

Cf. par L’ingénue
La Seine-Saint-Denis est-elle déjà un territoire d’Outre-République laïque ?   
19 novembre -26 décembre 2013
« La Seine-Saint-Denis, c’est comme au bled. » 31 décembre 2016

                                          Apostille
6 avril 2017

Ce  que j’ai appris en passant devant Paris VIII fait écho à la page Au fil de l’actualité – 2017 Les vœux de Mme Vallaud- Belkacemministre de l’Éducation nationale.

  En effet, la mission de la ministre en tant que membre du conseil islamique de la communauté marocaine est accomplie :
Dans l’université Paris VIII, le port du voile-cagoule et de la burqa  bafoue en permanence la liberté laïque et républicaine.
Désormais les signes religieux, comme l’atteinte journalière au droit à la santé physique et psychique des étudiants, par la libre circulation et consommation de drogues, nous rappellent aussi que le Maroc est le premier producteur mondial de cannabis.

La Seine-Saint-Denis, c’est comme au bled, un territoire outre-République nous dit-on  à Sevran,  alors le roi ici, c’est Mohamed VI ?

De l’université Paris VIII en Seine-Saint-Denis à la France tout entière,  le bilan calamiteux du quinquennat PS- Hollande- Valls- Macron- Vallaud Belkacem- Touraine, devrait nous servir de leçon … pour le choix du prochain.
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9 juin 2021

    En 2016, il se produisait également de graves problèmes de refus de la laïcité,  dans l’université Paris XIII.
Cf.  Prosélytes, prédicateur et pressions : enquête sur les dérives de l’université Paris XIII   « Pas de vague »  Par Samuel Piquet Publié le 03/04/2021 –  Marianne.

Extraits : 

« En ce lieu de savoir avait donc été organisée par l’association Rissala une exposition sur le prophète Mahomet intitulée « Muhammad un grand homme ».
«
 L’exposition avait été inaugurée avec des gens qui chantaient en arabe des chants religieux, cela n’a pas sa place sur un campus »regrette encore aujourd’hui une autre enseignante.

Daniel Bloch, chercheur au CNRS affecté à l’université, ajoute, peiné : « Dans une des affiches de Rissala, il y avait un numéro de téléphone pour les frères et un autre pour les sœurs… » 
Mais, lorsque les professeurs font part de leurs inquiétudes à la direction de l’université, ce ne sont pas les réponses attendues : « Personne dans le monde académique n’a réagi », explique Daniel Bloch. […]

 Oui, mais Rissala ne s’est pas contentée de louer l’œuvre du Prophète. Le 13 avril 2016, sans que l’administration y trouve non plus à redire, l’association organise dans les locaux de l’université une conférence sur le thème : « La laïcité française, une laïcité radicale ».

Une rencontre animée par Aïssam Aït-Yahya, que le sociologue Bernard Rougier, auteur des Territoires conquis de l’islamisme et spécialiste de cette question, classe « parmi les fondateurs du CRM [le collectif de réflexions musulmanes] à Bruxelles, groupe prodjihadiste ».

Ce prédicateur n’est par ailleurs pas étranger à la dissolution du CCIF, le gouvernement ayant reproché au Collectif contre l’islamophobie en France, parmi de nombreux griefs, d’avoir donné deux tribunes au printemps 2020 à ce fondamentaliste, invité régulier des réseaux religieux turcs pro-Erdogan. …[…]  »

… La suite de l’article est tout aussi éclairante ….

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Ne rien faire, toucher 750 euros, et fumer du hachisch

16-18- et 20 janvier 2017 (après le dernier débat avant le 1er tour de la Primaire de gauche PS).
   Note revue le 3 juin 2021, après la page ÉVÉNEMENT cannabis (n°1262- fin mai 2021) de l’hebdomadaire « Marianne », dans laquelle Natacha Polony, préparant la campagne électorale 2022 de « Macron dit le « disruptif » (!), l’enjoint (sic) de légaliser le cannabis.
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Voilà le programme complet de M. Hamon (ou H. bis), ancien ministre de M. Hollande (ou Ubu H. 1er, et déjà élu selon « les sondages », candidat officiel du PS (qui n’aura jamais autant mérité mon appellation de Parti Stupéfiant) pour briguer la Présidence de la République. [Le H – étant bien sûr-  la volonté politique du PS de légaliser le haschich ou shit (merde(!).]

Ce débat du dimanche 16 janvier 2017 était l’avant-dernier avant le 1er tour de la Primaire de gauche du 22 janvier 2017. M. Hamon complétait ainsi le programme de M. Hollande , qui, après le mariage homosexuel en 2013, aurait dû, selon le cahier des charges de Terra Nova, ce machin à penser du PS, légaliser en 2015, l’usage et le trafic de stupéfiants.

Devant Mme Ruth Elkrief tout sourire, qui avait rentré ses griffes -réservées -aux- candidats- de- la -primaire- de- la- droite- et- du- centre et plaisantait – tant que M. Hollande est président, tout est farce  (1) en posant la question aux candidats présents,  sur leur usage du haschich,  sachant bien que dans leur petit peuple de décideurs et de journalistes, on trouve les habitué(e)s et/ou les fournisseurs-complices des trafiquants islamistes et/ou sympathisants.

L’ambiance était donc à la franche rigolade. Décidément les ministres choisis par M. Hollande sont des candidats à la hauteur du maître :

♠  Seraient-ils toujours ainsi imprégnés de substances qu’ils n’auraient plus que cela à proposer aux Français ?

♠  En effet, comment M. Hamon peut- il être assez sot pour prétendre que la légalisation aurait un impact sur la violence et la criminalité des réseaux islamo-mafieux dans les lieux de trafics  partout en France ?

Enfin, comment M. Hamon peut-il affirmer que la légalisation du trafic et de la consommation augmentera les crédits attribués à la prévention,

–   alors qu’elle  libère le trafic et démultiplie les possibilités de l’offre de haschich dès le collège ;

–   alors que le gouvernement de M. Hollande n’a rien fait avec l’ex-Premier ministre et candidat Valls, la ministre Touraine de la Santé, la ministre Vallaud-Belkacem de l’Éducation nationale, la MILDECA (2), les préfets et les municipalités, les présidents de Conseils départementaux et régionaux, pour informer les parents, les enseignants et les Principaux de collège et leur distribuer le document : « Prévention des conduites addictives destinée aux jeunes – Structurer et mettre en œuvre une stratégie territoriale -Mars 2015. » (3)


  –   
alors que la recherche scientifique nous le rappelle depuis longtemps, l’usage du haschich abrutit, son addiction préparant celle à l’héroïne…

Mais M. Hamon n’en a cure ! Il y voit la bonne ruse démagogique à la soixante-huitarde, pour « l’excitation finale » de « la gauche pétard », la sienne, celle qui rechigne avec Mme Taubira et M. Lambert Wilson à chanter La Marseillaise,  parce qu’elle exprime trop la force de la volonté du peuple !

Allons-nous retrouver dans la campagne pour le premier tour des élections présidentielles le trio :  Hamon  et son chichon, Macron avec nos millionsvoire nos milliards pour ses amis les patrons , et  Mélenchon, le trublion  ?

Que pourra faire M. Hamon (4) de la Belle Alliance Populaire (sic), contre le parti  En marche (créé en avril 2016) de M. Macron (dauphin légitime de M. Hollande et de Mme Royal) et contre le Front de gauche de M. Mélenchon ?

Riront-ils encore avec les journalistes de la bonne farce qu’ils nous ont jouée pendant cinq ans, avec M. Hollande ?

           Ou comprendront-ils enfin  que nous, simples citoyens électeurs, ne voulons plus les voir toujours rire à nos dépens !  Qu’ils se le disent !

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1 D’ailleurs, pendant ce temps-là M. Hollande s’amusait ! Il était aux Bouffes-Parisiens avec sa ministre de la Culture qui, elle aussi, se moquait bien du débat des  Sept de la Belle alliance populaire !

2 MILDECA : Mission interministérielle de lutte contre les drogues et les conduites addictives.

3  C’est un  modèle fort intelligent de « Guide méthodologique pour les acteurs des collectivités territoriales ».  L’ex- Premier ministre l’a gardé sous le boisseau car il ne correspond pas à l’idéologie de l’abrutissement du peuple.

4  De fait, les médias  propulsent M. Hamon parce que c’est son élection à la Primaire de gauche, qui permettrait le plus de reports de voix sur leur favori, M. Macron, au premier tour des Présidentielles 2017.
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Qui laisse sortir les lycéens pour qu’ils fument sur les trottoirs ?

23 avril 2016

Note mise en avant le 1er septembre 2017  …. alors que le terrorisme islamique s’aggrave et que le président Macron  a déclaré à Versailles qu’il lèverait l’état d’urgence « à l’automne » …

Note du 1er mars 2011 – complétée le 29 décembre 2011 / actualisée le 23 avril 2016  –  lors de l’état d’urgence face au terrorisme islamique – quand les proviseurs, à la demande des lycéens (et de leurs parents ?),  semblent (s’ ) être « autorisés »  à recréer « un lieu de tabagie » dans la cour de leur établissement – ce qui est formellement interdit par la loi….
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Revenons à notre interrogation :

Qui laisse sortir les lycéen(ne)s pour qu’ils et elles  fument sur les trottoirs pendant les interclasses ?
Qui laisse enfreindre les lois de santé publique sur l’interdiction du tabagisme dans les établissements d’enseignement : «lieux d’exemplarité, de prévention et d’éducation à la santé» * ?

L’Assemblée nationale ? Le Sénat ? Le Président de la République ? Le Premier ministre ? Le ministre de  l’Éducation nationale ? Le ministre de la Santé ? Le Conseil constitutionnel ? Le Conseil d’État ? Les proviseurs ?  Le rectorat ?  Les conseils d’administration des lycées  ? Les représentants élus des  associations de parents d’élèves ? …? …?

Serait-ce cela la théorie du « vivre-ensemble »
(?)  en commençant par condamner la jeunesse à « mourir-ensemble à petit feu » … pour engraisser les monopoles  et ruiner notre sécurité sociale  ?…

Pourquoi laisse-t-on perdurer depuis 1991 et depuis 2006, un tel détournement de  l’esprit des lois  interdisant  de fumer dans un établissement scolaire  ?
Quelle est cette tartufferie qui voudrait que fumer sur le trottoir ne soit pas aussi nocif que fumer dans la cour ?
Quels sont ces cyniques qui laissent s’installer chez  les lycéens une redoutable  dépendance,  à laquelle s’accrocheront facilement d’autres dépendances [cannabis, alcool, cocaïne etc.],  sans jamais s’interroger sur  leur part de responsabilité ?

Est-ce un aveu d’impuissance et de soumission face aux actionnaires milliardaires de l’internationale capitaliste tobacco et cie ?

Est-ce par indifférence ?  par négligence ?  par lâcheté ?  par démagogie ?  par penchant libertaire ?  par malveillance ?

Est-ce par l’incapacité d’anticiper le devenir de ces jeunes ?  par ignorance  ? par déni des acquis de la recherche médicale et des chiffres de la mortalité ? (10%  de malades atteints d’un cancer du poumon à métastases survivent)

Ne savent-ils pas qu’au bout de 25 ans de tabagisme, [ prix : 50 000 à 100 000  eurosles lycéen(ne)s de la loi Evin (environ 40 ans en 2016), commenceront à avoir  la voix rauque, une toux persistante, l’organisme asphyxié par le monoxyde de carbone, le souffle court,  les problèmes cardiaques, et  à bas bruit, le cancer – annoncé sur le paquet ?                 

 Celles et ceux qui laissent sortir les lycéens pour qu’ils  fument sur les trottoirs devant les lycées, pendant les interclasses, se contentent-elles et se contentent-ils, de dire tranquillement :  

             « Il faut bien mourir de quelque chose »  ? 
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Le décret n° 2006-1386 du 15 novembre 2006 (publié au JO du 16 novembre 2006), fixant les conditions d’application de l’interdiction de fumer dans les lieux affectés à un usage collectif, modifie les dispositions réglementaires du code de la santé publique prises pour l’application de la loi n° 91-32 du 10 janvier 1991 relative à la lutte contre le tabagisme et l’alcoolisme. L’interdiction, à partir du 1er février 2007, de fumer dans les lieux affectés à un usage collectif concerne tout particulièrement les établissements d’enseignement et de formation.
En effet, ceux-ci, de par leur vocation même, se doivent d’être des lieux d’exemplarité, de prévention et d’éducation à la santé.»
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Apostille

♥ Pour la protection des futures mamans et des futurs bébés des futurs parents

« Dans les maternités, il faut compléter systématiquement l’interrogatoire des futures mères sur leur tabagisme par un dosage du monoxyde de carbone (CO) dans l’air expiré, car ce dosage objective le niveau de tabagisme auquel la femme enceinte a été exposée.
Le taux de CO dans l’air expiré est fortement corrélé au poids à la naissance, à la durée de la gestation, donc à la vulnérabilité du nouveau-né, au périmètre crânien qui est un indicateur du développement cérébral et aux troubles du rythme cardiaque du fœtus.
Il accroît les risques au moment de l’accouchement, période où le fœtus à particulièrement besoin d’être correctement oxygéné pour supporter son passage de l’utérus maternel à la vie aérienne extra-utérine. Ultérieurement, chez le nourrisson qui a été intoxiqué in utero, on observe une augmentation  du risque d’infection respiratoire. »
(Rapport sur le tabagisme coordonné par Maurice Tubiana mai 2009  Académie Nationale de Médecine)

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 23 avril 2016
INFO supplémentaire  pour la ministre de la Santé, la ministre de l’Éducation nationale, pour le Premier ministre et le Président de la République   :

Hors état d’urgence, puisqu’ils laissent alors les lycéens sortir « fumer » sur le trottoir,  il serait judicieux que ces décideurs politiques se demandent s’ils (les lycéens) ne « fument » pas aussi le joint de cannabis qui les abrutira immanquablement, au cours suivant.

Un joint de cannabis  jusqu’à 5 fois plus nocif qu’une cigarette : … »La consommation de cannabis est associée à une dégradation du fonctionnement des bronches, avec obstruction respiratoire, ce qui sollicite davantage les poumons. Les fumeurs de joint souffrent de respiration sifflante, de toux, d’oppression de la poitrine, d’expectorations.  Cette étude [de l’Institut de recherche médicale de Nouvelle-Zélande], publiée dans la revue spécialisée Thorax, a été réalisée sur 339 patients adultes répartis en quatre groupes : les fumeurs de cannabis, les fumeurs de tabac, les fumeurs de tabac et de cannabis, et les non-fumeurs. Chaque participant a été soumis à des examens de tomodensitométrie des poumons (scanner à rayons X assisté par ordinateur) et à des tests respiratoires. L’équivalence entre un joint et « 2,5 à 5 cigarettes » est cohérente avec les niveaux de goudron et de carboxyhémoglobine qui sont de trois à cinq fois plus élevés pour un joint que pour une cigarette. La carboxyhémoglobine est une forme d’hémoglobine associée au monoxyde de carbone qui est un gaz très toxique.  (Lemonde.fr avec Reuters 31.07.2007)

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1.03.2011- 29.12.2011 / 23-25 avril 2016 /  1er septembre 2017