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Les «petits révolutionnaires de l’extrême gauche» lèvent leurs poings comme les ouvriers en 1936 et en 1968 ; mais ils n’en ont, ni les savoirs, ni la sagesse et la longue expérience syndicale acquises au fil des siècles. La société française n’a rien à attendre d’eux.
Ce sont des indignés à la petite semaine, des révolutionnaires de pacotille. Ils n’aiment pas notre Marseillaise qui sent trop la sueur et le sang d’un peuple, combattant les ennemis de la République en 1792. Ils n’avaient pas aimé non plus, que l’on lise aux jeunes, dans les écoles, l’ultime lettre de Guy Môquet à ses parents. Il faut dire que ce jeune héros leur fait une ombre immense !
L’Histoire de France ne leur a rien appris car ils ne l’ont pas apprise. Alors, de façon infantile et dérisoire, ils «font comme si » ils étaient des héros.
Alors qu’ils ne risquent rien, ils jouent à qui inventera des fascistes, comme ceux qui ont fait le coup d’État avec Franco contre la jeune République espagnole – c’est un peu tard pour aller aider les Républicains espagnols.
Ils jouent à s’inventer des scénarios d’occupation nazie, alors que cela fait 70 ans que de vrais courageux résistants avec les valeureux de la Division Leclerc, ont libéré Paris.
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En attendant … dans un quartier chic de Paris, nos braves «petits révolutionnaires de Sciences- Po- de- l’extrême-gauche», munis de leurs carton d’ invitation, faisaient leurs emplettes dans une vente privée* de vêtements de leur marque préférée …. qui est aussi la marque préférée des membres de groupuscules d’extrême droite.
Un coup de poing fut fatal à Clément Méric, étudiant à Sciences Po** …
C’est ainsi qu’une bagarre entre gosses de riches à la sortie d’un salon bourgeois, a déclenché une déferlante de manifestations et de graffitis dits anti-fascistes sur nos murs, largement relayée par les «petits révolutionnaires» des médias, les donneurs de leçons de ce «beau monde de milliardaires ***et autres «petits maîtres à penser» de la presse, du cinéma, du rap et du football
etc.
Bref, c’est dit : « les (people) ♦ nuls des réseaux dits sociaux font «la révolution» !
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* Cf. Le Parisien 7 juin 2013 – les riches ont leurs soldes privées bien à eux/ Le Parisien 25 juin 2013
** A Sciences Po, pour lui rendre hommage, ses «camarades » ont chanté «Le Chant des partisans».
*** voir les accusations de Pierre Bergé, patron du journal Le Monde.
♦ Après 2013 – la révolution nuptiale des homosexuel(le)s, ce sont encore des «petits bourgeois révoltés, autres sans-culottes, qui montent aux créneaux pour revendiquer leur droit inaliénable d’aller aux putes et d’engraisser les proxénètes.
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Pour rafraîchir la mémoire des petits résistants de l’an 2013, voilà un extrait de La Relève (Organe de l’union des étudiants et lycéens communistes de France ) dans une feuille clandestine de décembre 1940. Ils demandaient la libération d’un professeur et entraient en résistance.
« QUARTIER LATIN 1940
Que n’es-tu là Villon, Vallès, votre ironie cinglante et votre amertume pourraient donner une voix à la colère des Etudiants…
REOUVERTURE DE L’UNIVERSITE
….Nos buts sont clairs : liberté pour nos emprisonnés, liberté pour Paul LANGEVIN, liberté pour la Science. Ligués contre nous, les traîtres affolés, nous montrent le chemin : la résistance. Que nul ne puisse ignorer que les étudiants veulent la libération complète de la FRANCE. »
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___Cf. Un goût d’amertume _(première note de novembre 2007)________________
… A suivre … bien sûr