Le 15 juillet 2015, cette note qui avait pour titre Vive le collectif des femmes sans voile ! fut complétée le 27 juillet 2015 .
Ce 20 juillet 2016, sous un nouveau titre : L’islamisation voile, violente et tue les femmes – alors que la France sort de son deuil national, après l’attentat djihadiste de Nice et ses 286 victimes, le soir du 14 juillet –
– je lui ajoute un drame du 19 juillet 2016 : l’attentat au couteau commis par un homme de 37 ans sur 3 fillettes et leur mère dans un VVF paisible des Hautes -Alpes.
Sur le site du Dauphiné Libéré on peut lire que « la fillette de 8 ans a été évacuée par hélicoptère à l’hôpital de La Tronche en état d’urgence absolue. Sa maman et ses deux autres filles, âgées de 12 et 14 ans, ont été évacuées vers le centre hospitalier de Gap. La mère a été poignardée au niveau du sternum. »
On notera que les grands médias nationaux de la presse et de l’audiovisuel ont ignoré cette nouvelle agression rituelle, barbare …
Si l’on n’a plus, comme sous le gouvernement de Vichy, un secrétariat à l’information et à la propagande, on s’aperçoit que désormais, la règle appliquée sera celle de la loi du silence, en particulier pour tous les attentats à l’arme blanche, actes d’allégeance au calife de l’État islamique.
Silence donc qui signifie soumission au terrorisme islamique larvé d’une infime mais infâme minorité radicalisée.
Silence alors qu’il faudrait clamer haut et fort dans les mosquées, au CFCM, à l’UOIF, comme partout ailleurs, au Conseil des ministres, à l’Assemblée Nationale, au Conseil constitutionnel, au Conseil d’État, au Conseil Supérieur de la Magistrature, comme dans les préfectures, dans les universités, les lycées et les collèges etc. que la loi islamique sanglante n’est pas la loi républicaine.
Le dire haut et fort pour en finir avec la phraséologie des organisations islamiques et du pouvoir PS qui n’ont que le faux-semblant stupide de l’islamophobie – expression perfide qui accuse de fait les futures victimes, avec pour conséquence le sabordage sanglant désormais quotidien de tout savoir -vivre -citoyen- ensemble.
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Et si les vraies citoyennes « féministes » françaises du XXI ème siècle étaient dans le Collectif des femmes sans voile d’Aubervilliers ?
Par leur volonté, leur ténacité, leur persévérance, leur courage quand elles affrontent seules les intégristes, frères musulmans ou salafistes de Seine-Saint-Denis, elles sont exemplaires
Alors qu’elles sont ignorées par les médias nationaux, presse- radios -télévisions privées ou publiques – régentés par des godillots PS,
Alors qu’elles sont indignement lâchées par un gouvernement Valls qui a fait « l’erreur 404 » d’effacer de son site la belle présentation de La République se vit à visage découvert : « Pour plus d’informations, un site internet est à votre disposition : www.visage–decouvert.gouv.fr. »
Alors que dans son rapport remis au Premier ministre en juin 2015, M. Malek Boutih écrit, p. 35 que « le djihadisme est la partie la plus avancée de la radicalité politico-religieuse de l’islamisme« , que « les islamistes ont élaboré une méthode pour s’implanter, élargir leur sphère d’influence et recruter sur tout le territoire » et p. 36 que « la première étape du mécanisme de la radicalisation islamiste est de commencer par planter un drapeau, autrement dit afficher ouvertement l’existence d’individus radicalisés. C’est là le rôle du voile puis de la burqa ou des barbes non taillées et des vêtements traditionnels, voire de codes comme le port permanent de pantalons courts laissant voir les chevilles. » (…)
Aussi, le député de l’Essonne comme l’ancien maire d’Évry * savent-ils depuis longtemps qu’autour de chaque femme en voile ou en burqa gravite une sphère d’influence islamiste et qu’une bonne application de la loi aurait mis au jour, dès les massacres de Merah en 2012, les réseaux de radicalisation.
Mais on le voit, le double langage des organisations islamiques de France a déteint sévèrement sur le député et le Premier ministre ; le premier ne tire aucun enseignement pour conseiller la plus grande fermeté vis à vis du respect des lois sur le voile et la burqa qu’il nomme cependant « drapeaux de l’islamisme », le second rejette la loi hors de son site parce qu’il a donné l’ordre de ne pas l’appliquer.
Reniant la Déclaration des droits de l’homme et de la femme et les lois de la République, complice des frères musulmans et des salafistes de l’UOIF et du CFCM, le gouvernement laisse libre cours à l’islamisation ciblant les femmes, alors qu’il sait, comme nous, comment arrivés au pouvoir, les talibans, Al-Qaïda, l’État islamique ou Boko Haram les traitent : après la burqa, les viols, la séquestration, le mariage forcé, l’esclavage sexuel, le vitriol pour celles qui veulent étudier, la lapidation, la pendaison… la mort.
Ce gouvernement depuis 2012, trahit les femmes laïques, libres, égales et fraternelles, qui défendent les lois républicaines et se battent contre ces « drapeaux de l’islamisme » en France.
Elles sont la fierté de la République française !
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* Cf. « L’une à Kandahar, l’autre à Évry / 27.12.2009
Enfin, l’on a retrouvé notre belle Marianne illustrant la loi du 11 octobre 2010 entrée en vigueur le 11 avril 2011.
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27 juillet 2015 Apostille
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♠ C’est l’été, pensez ! un 22 juillet 2015, dans le beau parc Léo Lagrange de Reims !
Comment imaginer qu’une jeune femme en maillot de bain interpellée aux cris de « Allez vous rhabiller, c’est pas l’été (sic) » ait été agressée si brutalement par cinq filles, qu’elle se retrouve au CHU souffrant de blessures justifiant quatre jours d’incapacité totale de travail ?
Banale affaire pour la commissaire de permanence qui a précisé à l’AFP que c’est parce que « la femme ainsi interpellée ne s’est pas laissée faire [que] cela a dégénéré en violences.» Ben voyons ! quand on vous tape dessus, il faut se laisser faire ! Et le parquet de Reims affirme à la presse locale qu’il n’y a eu « ni mobile religieux [ni] mobile moral qui aurait déclenché l’altercation», donc pas de bonne raison (sic). (Sources Le Figaro.fr 27.07 et Libération.fr 26.07.2015)
J’en conclus simplement que cinq filles (musulmanes mais tolérantes – nous dit-on(!) qui voient une fille en maillot de bain ont une vraie mauvaise raison pour pratiquer un lynchage en règle de cette dernière : c’est pour la punir. Et à Reims comme à Téhéran, le juge et la commissaire donnent raison aux matrones de la police des mœurs.
Et une fois de plus, un journaliste de Libération.fr épingle la « fachosphère »- c’est-à-dire nous CHARLIE, citoyens fraternels – qui pensons que violenter ou tuer pour faire peur et soumettre est une pratique criminelle de la terreur islamique. Elle se met en place à Reims comme à Aubervilliers.
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Bonne affaire pour » l’islamosphère » avec les moteurs de recherche qui associent à l’information sur les malheurs de la jeune fille en maillot de bain, les mots musulmanes et maillot de bain et trouvent burqa en maillot soit burkini.