Vers l’extension de l’anarcho-« benditisme » et de la charia djihadiste anti-laïque

29 – 30 avril 2018 – 20 mai 2018

On reviendra sur  le bilan positif de notre mai 1968. Le Mai 68 magnifique des neuf millions de salariés grévistes qui gagnèrent sur le patronat soutenu par le gouvernement, grâce à leurs syndicats, et sûrement avec la CGT de Benoît Frachon, Georges Séguy et Henri Krasucki, des augmentations de salaires et de nouveaux droits syndicaux. Avec la solidarité, la fraternité, le maintien en état de marche des moyens de production, le calme pendant nos manifestations géantes…

Le bilan négatif de  la France de 2018, c’est depuis plus de trois décennies,  une longue suite de violences urbaines,   d’incendies, de crimes  perpétrés  par des crapules multi-récidivistes, tueurs et trafiquants, avec  depuis 2001 à Toulouse,  l’extension des massacres de l’ignoble « charia » au nom  du dieu des salafistes et des frères musulmans, sous le pouvoir occulte de services, télévisions et états islamiques, ennemis de notre République laïque.

⇒ Et s’il n’y a plus de paix civile en France, le plus terrible, le plus tragique pour notre jeunesse qui est son avenir, est de constater que ce sont nos établissements scolaires et nos professeurs qui ont été et qui sont de plus en plus, les premières cibles et  les premières victimes de cette barbarie anarcho-djihadiste.

De 1966 à 1968,  c’est entre l’université de la Sorbonne et l’université toute neuve de Nanterre que l’étudiant (?) D. Cohn-Bendit a commencé son travail de prise de pouvoir anarchique.
Après s’être fait remarquer en propédeutique à la Sorbonne comme celui qui n’était pas inscrit pour apprendre mais pour gâcher les conditions de travail des vrais étudiants, il s’est inscrit en sociologie à Nanterre sans obtenir de diplôme. Mais qu’importe, il savait que son avenir était assuré.

On avait remarqué que par démagogie, dans son programme libertaire pour l’université, figurait en tout premier point, à la place des révisions, le libre exercice sexuel dans la résidence des étudiantes, le second point étant logiquement  la suppression des examens, et enfin, pour remplacer les cours devenus inutiles, son programme se déclinait en  manifestations, barricades, échauffourées et autres slogans oiseux de petits bourgeois fumeux, par exemple : « la beauté est dans le pavé » qu’on lance sur le policier.

Dès la rentrée 1967, il  est parvenu à convaincre suffisamment d’étudiants pour tout bloquer.
♦ ⇒ Peut-on penser qu’il avait  « appris la tactique  de l’ anarcho-gauchiste, déclencheur de troubles graves sur la voie publique et d’affrontements avec la police », dans quelque officine de cours informel d’anarchie ?

Entre 1966 et ce jour de mai 1968 où  il est parti en Allemagne, il a déclenché une longue série de violences de rue entraînant des centaines et des centaines de blessés parmi les étudiants et la police nationale et des morts … pendant que monsieur  faisait l’important avec le ministre de la jeunesse et des Sports Missoffe du gouvernement Pompidou, et avec le préfet de police Grimaud.
Il  n’est revenu d’Allemagne que pour le rassemblement de Charléty, le 27 mai 1968  car c’était hostile à la négociation de Grenelle et dirigé contre la CGT.

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Trois petits tours et M. Cohn-Bendit s’en était allé.
Avait-il deviné que pour ses bons services à la bourgeoisie capitaliste,  le président Hollande lui ferait octroyer le diplôme de « Docteur honoris causa » par le président de l’université de Nanterre en 2014 ?

On sait que le « Docteur »  murmure à l’oreille du président Macron.
 Guignerait-il  un nouvel hommage ? L’hommage que l’on a fait et que l’on ne devrait faire qu’aux vrais Héros (1) ?
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1 Ceux des barricades des Trois Glorieuses des 27,28 et29 juillet 1830  dans le poème d’un jeune homme de 29 ans nommé Victor Hugo …

Comme ceux de La Résistance au nazisme avec la CGT de Benoît Frachon, Georges Séguy et Henri Krasucki  parmi tant d’autres…
Ballade de celui qui chanta dans les supplices  Louis Aragon.

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Grand Guignol sur BFM TV le soir du 15 avril 2018

16. 27.04.2018

 

Grand Guignol sur BFM TV le soir du 15 avril 2018 (1) avec MM. Bourdin de BFM TV, Macron et Plenel de Mediapart !

Grand moment de complicité bouffonne entre les trois compères à la barbe des citoyens  !

Grand moment de vraie complicité politico-médiatique entre le président Drahi de BFM TV et le président Macron !

Grand moment de forfanterie avant que les quatre larrons reprennent rendez-vous même chaîne, même heure pour les 15 avril 2019,2020, 2021 et 2022 (et ils en sont sûrs pour le 15 avril 2023) et aillent boire un verre pour fêter cette nouvelle parodie journalistique si habilement mise en scène devant la Tour Eiffel par « l’homme en marche » (2).

 


FP / FAAFP / FRANCOIS GUILLOTAFP / François Guillot  Source  MIDI LIBREFP / FRANCOIS GUILLOTRANCOIS GUILLOT

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1  Pour cette mise en scène théâtrale, le président Macron a choisi la vue de la Tour Eiffel que l’on a depuis le TNP, notre cher Théâtre National Populaire – dont on a remplacé « Populaire » qui rappelait sûrement  trop « Le Front Populaire  » par  « Chaillot » – plus au goût bourgeois du quartier.

Vue grandiose aussi pour rappeler l’autre grand moment de triomphe du président Macron soupant avec son ami Trump, chef de guerre sans vergogne.

2  Le 17 avril 2018, autrement dit, le surlendemain du Grand Guignol présidentiel de Chaillot, dans la série On achève bien l’ancien rival de Macron, E. Plenel de  Mediapart- fidèle serviteur d’E. Macron, ajoutait sa lambourde pour le Parquet national financier de Mme la procureur E. Houlette, au motif que le compte de campagne de F. Fillon, « étant en -dessous du plafond des dépenses autorisées [ferait]  tiquer la commission des comptes de campagne ».

Le 19 avril 2018, c’est Le Monde des riches MM. Niel et Pigasse qui venait en renfort pour clouer une latte sur la  lambourde de Mediapart.

À quand le futur  « Qui a (re)tué Fillon » sur BFM TV ?

Mais s’il y a « comptes » de campagne » pour l’un, et il y a « conte » de fée pour l’autre !
Car pendant  ce temps-là, comme dans un conte de Ch. Perrault M. B. Arnault président de LVMH est la bonne fée Dior qui offre de beaux habits à Mme Macronune Cendrillon qui n’aura pas de « Brigitte gate »
Foi de Michel Gaillard et du Canard enchaîné !

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Apostille

On notera pour Le Petit Bobu que le mot  « entretien » a disparu du vocabulaire du journal  Le Monde, traduit par N. Chapuis, chef du service politique, par le sempiternel interview,  qu’il sait même conjuguer selon « (…) la façon dont on interviewe (!…) laissant le verbe « interroger » au vestiaire.

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