⇒ Note (re) mise en avant :
le 28 février … une heure, le 31 mars 2019 « Foi d’ingénue ! » – toute la journée du 1er avril 2019 car Macron, maître des horloges, a un côté farce, comme Scapin… et le 2 et le 4 avril 2019 aussi …
… Et toujours avec le Père Ubu-Macron, le 30 octobre 2021
_____Et encore avec le Père-Ubu-Roi-Macron – Chef de la Légion du 49.3 ……. ce 26 mars 2023 …. dans le chaos de son pouvoir personnel.
Il ignore encore que « notre République est indivisible » et qu’aucune partie du peuple, ni aucun individu, ne peut s’attribuer l’exercice de la souveraineté nationale.
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31 mars- 2-4 – 18 avril 2019 Foi d’ingénue !
À l’image de son électorat « bobocrate-bio-urbain-« , loin, très loin des cycles des saisons et de la nature,
M. Macron feindra d’ignorer, que l’avance de 2 heures dans la journée par rapport au soleil, induit une contrainte artificielle de l’organisme aussi sensible à la luminosité qu’à la chaleur ; avec un tel décalage, il faut supporter inutilement une grande différence de température entre le matin et le début de l’après-midi … sachant que les enfants ne parviennent plus à s’endormir tôt, pour avoir leurs 10 à 12 heures de sommeil …
Être à l’heure allemande (ou pire encore, la garder toute l’année) est (et serait) une aberration de plus pour notre bien-être et notre santé.
Mais M. Macron ne peut que préférer pour son bon plaisir, l’heure de Berlin (TU+2), juste pour jouer au tennis, à la Lanterne sise à Versailles – (à Brégançon ou au Touquet), avec ses amis, le samedi, et pendant les vacances, jusqu’à 23 h, et même plus tard, en allumant les lanternes électriques,
puisque loin, très loin des regards indiscrets, bien gardé par 6 policiers dedans et 6 policiers dehors [pris sur les effectifs versaillais de Police-Secours-],
puisque selon son bon plaisir, il se moque comme d’une guigne de la situation des urgences dans les hôpitaux publics, comme de ce qu’il raconte de mensonges avec son Premier ministre, sur la « transition écologique », pour augmenter les taxes sur l’énergie.
Enfin , puisque c’est le bon peuple qui travaille dur qui sortira toujours dans le froid du petit matin !
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Cf. Par L’ingénue :
*29 avril 2019 Humour grinçant … et heure de Berlin … à Brest
Et pour le petit peuple ? Ce sera l’heure allemande et l’heure islamique !
26 mars 2018 – 4 avril 2018
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Note du 17 février 2016 – mise en avant le 9 août 2018
Serait-ce la fin de « l’heure d’été » ?
Serait-ce la fin du midi en pleine chaleur de 14h ?
Serait-ce la fin du temps perdu et de l’argent gaspillé dans l’absurde imbroglio des deux changements d’heure ?
Le Parlement européen s’est réveillé … mais en France, le temps a suspendu son vol. Pour M. Macron -de-Brégançon, le sujet brûlant est la température de l’eau de sa piscine, et M. Hulot est … en vacances.
Le président Macron, « maître des horloges (sic) » et ♦♦ notre « humble serviteur « (sic) connaît « la proposition de Directive du Parlement européen et du Conseil mettant fin aux changements d’heure saisonniers et abrogeant la directive 2000/84/CE « . Il sait aussi qu’ il n’y a jamais eu de pouvoir démocratique dans l’Union européenne ; c’est l’illégitime Commission de Bruxelles qui sera aux commandes, et suivra les directives … des groupes de pression privés (ou lobbies).
♦♦ 13-14mai 2017 Macron 1er était en campagne devant la Pyramide
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Note du 17 février 2016
♦ Ajout du 30 avril 2016 / Depuis le 31 mars 2016, des « couche-tard » se sont métamorphosés, en « nuit debout »◊ place de la République. Qui leur conseillera de passer à l’heure norvégienne et d’ essayer « le soleil de minuit debout » … dans le Spitzberg ?
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Vous savez comme moi que par ces petits matins frisquets de février, il fait toujours nuit à 6h (1) et que lorsque sonnera » l’heure d’été » (TU+2) », il fera à nouveau nuit et encore plus froid à 6h, le 27 mars et jour de Pâques … et bien sûr à 7h le 31 mars …!
Les cloches de Pâques carillonneront midi à quatorze heures et il faudra attendre encore presqu’un mois pour voir la pointe du jour … en ouvrant l’œil !
… et clin d’œil aux couche-tard…
Ah ça, mais quels grincheux ! diront les couche-tard péremptoires :
♦ Passe encore de se lever tôt mais maugréer chaque année, c’est trop !
Comme on s’est levé du bon pied, on ne leur en tiendra point rigueur, et on prendra l’heure que l’on va bientôt perdre … pour remonter … le temps…
… du partage du globe terrestre en 24 fuseaux horaires, lors de la conférence internationale de Washington en 1884 (2) , de la loi du 9 mars 1911 (3), à la première mention de l’heure « dite d’été » TU+1 dans la loi du 9 juin 1916, pérennisée ensuite par celle du 24 mai 1923, puis alourdie à TU+2 pendant l’occupation nazie.
Après avoir frôlé en août 1945, le retour à l’heure du méridien de Greenwich -TU0, le décret du 5 novembre 1945 fixa l’heure à TU+1 sur toute l’année.
On allait enfin souffler, sans le couperet de l’heure en moins, voir les jours rallonger peu à peu pour se réveiller au lever du jour avec … le printemps.
Mais le président Giscard en décida autrement, et de même qu’il voulut changer notre Marseillaise, il nous infligea à nouveau la punition de l’heure d’été allemande TU+2 pour quarante ans voire beaucoup plus !
Pour ce nouvel aristocrate, il fallait que le bon peuple comprît que même le soleil lui serait facturé et l’on parla d’économies de bouts de chandelles, arguant un moindre usage d’électricité le soir dans les chaumières, alors que les palais de la République, les rues, les monuments des villes, les casinos et autres lieux de fête seraient illuminés toutes les nuits d’été.
Le comble de la farce étant que l’on attribue encore à « l’heure d’été » environ la même économie d’éclairage qu’en 1976, soit 440 GWh, sans juger bon de rappeler que l’éclairage domestique est loin d’être le plus gros consommateur d’énergie et encore moins le plus gros producteur de rejet de CO2 … ! (4)
Et on se souviendra comment, depuis 1976, chaque nouvelle « heure d’été » ramenait devant les micros et les caméras, Mme Ségolène Royal – c’était le « marronnier » de mars des journalistes.
Elle venait symboliquement déplorer une mesure, que devenue ministre de l’Environnement d’avril 1992 à mars 1993, puis ministre de l’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie en 2014 (et depuis le dernier remaniement du 11 février 2016, ministre de l’Environnement, de l’Energie et de la Mer, chargée des relations internationales sur le climat), elle s’est bien gardée de modifier… Et d’évidence, ce n’est pas encore ce mercredi 17 février et son changement pour une heure de gloire – à la présidence de la COP 21- qui lui fera tenir sa parole !
Quant à « l’heure d’été Giscard » … inchangée par MM. Mitterrand, Chirac, Sarkozy et Hollande depuis quarante ans, il semble qu’elle éloignera encore longtemps de nous, l’harmonieuse douceur de ces quelques minutes en plus chaque jour, jusqu’à ce 21 juin resplendissant de ses seize heures de soleil …. puis de ces quelques minutes en moins chaque jour, jusqu’à cette dernière semaine de l’année où les bougies allumées fêtent déjà le retour de la lumière et des jours qui rallongent en janvier.
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1 6 heures en février [temps universel +1 / TU+1] quand l’heure solaire de notre vrai fuseau horaire est TU0 soit 5 heures. Depuis 1970, utilisation d’un compromis des initiales du français TUC, temps universel coordonné et de l’anglais CUT, coordinated universal time soit UTC.
2 En 1884, le méridien de Greenwich (en concurrence avec le méridien de Paris) devint la référence internationale.
3 Le 9 mars 1911, l‘heure moyenne du méridien de Greenwich, en anglais « Greenwich Mean Time » (GMT), fut adoptée par la France qui donc -pour la première fois- retarda l’heure nationale du méridien de Paris de neuf minutes et 21 secondes. Quand le France passait à l’heure anglaise Marie-Aude Bonniel 23.10.2015 Le Figaro.fr.
Sources diverses : webastro.net / Wikipédia / l’Observatoire de Paris
4 3. 11. 2016 Source : par le savant M. Gordon :
« De l’intérêt de savoir calculer l’absurdité d’une mesure politique
« En premier lieu, il faut rappeler que l’économie d’énergie liée au changement d’heure ne porte que sur l’énergie électrique et in fine, uniquement sur l’éclairage domestique et privé.
En effet, les consommations énergétiques industrielles, de transport, de chauffage, tout comme les consommations domestiques d’appareils ménagers : fours, plaques chauffantes, fers à repasser, réfrigérateurs, congélateurs, télévisions, ordinateurs, et aussi de chauffage, TOUTES ces dépenses restent indépendantes des horaires jours-nuits…et elles sont très consommatrices d’énergie.
Quant aux éclairages publics, ils sont en général contrôlés par des systèmes photo-électriques, de sorte qu’il n’y a aucune économie à en attendre, puisque les lampadaires publics s’allument et s’éteignent les nuits et les jours au rythme des saisons, lesquelles ignorent nos petites querelles partisanes.
Puisque les « économies » ne concernent que les seuls éclairages privés et domestiques, précisons ce qu’il en est dans la réalité.
L’ADEME ( Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Énergie) a estimé en 1976 à 350 Giga Wh les « économies réalisées » par le changement d’heure. Et une projection pour 2030 prévoit 340 GWh d’économies « plates ».
De 2009 à 2013 on retrouve une seule estimation de 440 Gigawatts-heure », puisque 2009 est la dernière étude publiée par l’ADEME. Car il est malaisé, pour ne pas dire impossible, de « calculer » l’économie réalisée sur l’éclairage, d’autant qu’avec les incitations fortes à s’équiper de lampes dites basse consommation au néon, puis aujourd’hui de LED, la baisse de consommation associée ne doit rien aux changements d’heures.
ERDF, acteur majeur de gestion du réseau électrique, a donné les chiffres précis de production totale d’électricité pour 2015 : 546,767 Térawatts-heure dont 416,797 TWh produits par les centrales nucléaires, donc sans émission de CO², et par l’hydraulique pour 53,47 TWh.
L’argument du rééquilibrage de la balance commerciale du fait de l’importation de pétrole ne tient pas, au moins pour l’éclairage électrique d’origine nucléaire, très majoritaire en France…mais jusqu’à quand ?
Quant aux centrales à combustible fossiles : charbon et gaz, génératrices de CO², elles ont produit 34,381 TWh. Les équipements d’énergies « renouvelables » : éolien, solaire, biomasse…ont produit 36,510 TWh dont 21,100 TWh par l’éolien.
⇒ On notera incidemment que la combustion du bois, de la biomasse et des déchets est tout sauf « écologique », car elle rejette beaucoup de CO², de résidus polluants et de gaz à effet de serre.
En ramenant ces chiffres aux économies estimées par l’ADEME en 2015, on arrive à un résultat proche de zéro.
Rappel de ce petit calcul… élémentaire, diront certains. Certes, mais très édifiant !
Économies selon ADEME = 440 Gwh
Production électricité totale France 2015 (ERDF) = 546 767 Gwh (1Twh = 1000 Gwh)
Économies en rapport de la production totale : 440/546.767 = 0,00080473.
♦ ⇒ Exprimée en pourcentage, cette « économie » représente entre 0,06 et 0,08%… moins de 1 pour mille. Dérisoire !
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Note :
Méga watts/Heure : 1.000.000 ( 106) – Giga W/H : 1.000.000.000 (109) – Téra W/H : 1.000.000.000.000 (1012).
Le « Choc pétrolier de 1971 »
En 1971, les US, premiers producteurs mondiaux à l’époque, allaient atteindre un pic de production pétrolier, atteignant leurs limites de production. En réponse, le 15 août 1971, les États-Unis décident de mettre fin aux accords de Bretton Woods et à la convertibilité du dollar en or. Le dollar se déprécie alors rapidement, ce qui a pour conséquence une baisse des revenus des producteurs de pétrole, dont le prix est établi en dollars . De 1947 à 1967, le prix du baril en dollar américain était resté stable, autour de 2 $. Mais en octobre 1973, le prix du baril sur le marché libre allait passer de 3 à 18 $ en quelques semaines. Fin décembre, les pays de l’OPEP décident d’un prix du baril à 11,65, un prix du baril de brut qui ne cessera d‘augmenter, depuis 2$ en 1970 jusqu’à 135 $ en 2008 (crise financière mondiale) pour se stabiliser aujourd’hui autour de 60 $.
On cherchera vainement l’efficacité des changements d’heure dans cette escalade des prix du pétrole. »
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Apostille
♥ et pour la vraie vie qui va, ne pas manquer le changement d’horaire vu par les Bretons dans le reportage sur l’île de Molène en mars 1976 . INA.fr
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Note du 17 février 2016 – mise en avant le 26 mars 2016 pour les 40 ans de condamnation à la peine de mise à l’heure allemande, décrétée par le président Giscard en 1976…
30 avril 2016 ◊ Les « nuit debout » ou les qui nuiront ?
3 novembre 2016 : après le retour à TU+1 le 30 octobre 2016 ….sachant que la Cie Hollande-Royal a programmé le vol d’une heure pour le 26 mars 2017 …
♥ et autre clin d’œil : Retrouver « le vrai Monsieur Gordon » de Voltaire au chapitre dixième de l’Ingénu
Pour L’ingénue, il s’appelle Bernard.
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Ajout du 27 mars 2017
Dernier petit clin d’œil sur Mme Royal, actuelle – pour encore une quarantaine de jours– ministre de l’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie, et qui fut en 1990, rapporteur parlementaire sur « L’heure d’été » en tant que députée de la 2ème circonscription des Deux-Sèvres.
Dans le condensé de l’INA sur Le changement d’heure du 25.10.2013 mis à jour le 21.10.2016 [le dixième de la série], on peut revoir un bulletin d’information de France 3 (récit V. Gaurel – montage M. Bennhabiles) intitulé Avec l’heure… le doute / Haro sur l’heure d’été.
…………. Tout se passe comme si la vie des humains, notre vie, était moins importante pour le pouvoir politique depuis Giscard, que l’avis des pseudo-scientifiques de José Bové à Cohn-Bendit, de la commission de Bruxelles aux défenseurs des loups et aux nostalgiques du tout- chandelle.
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