Et en prime, une nouvelle année !

      Pour fêter cette nouvelle année offerte si gracieusement par le temps qui passe, voilà une délicieuse recette de syllogisme qui nous permettra de garder les idées claires :

   D’après Goethe :  » L’homme est éternellement à sa place  » et selon Spinoza :  » L’homme malheureux est parfaitement malheureux « …

… C’est donc à nous tou(te)s qui sommes si parfaitement et si éternellement malheureux à notre place, que je souhaite une parfaite année 2009