La patrie en danger – séance du 11 juillet 1792 – [séance du .. .. 2020- 21-22 ?]

    3-410- 15- 21 novembre13 – 15  décembre 2020
       note revue  le 1er et le 10  mai 2021
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1er mai 2021  

Pendant que M. Macron ne songe qu’à  la création d’un musée-à-son -nom, pour écrire sur ses murs, le nom des Français, victimes innocentes, assassinés par les terroristes islamiques, une « Lettre ouverte à nos gouvernants » est parue dans la presse, le 21 avril 2021.
Cette lettre courageuse ressemble fort à un  « J’accuse »,  signé par des militaires citoyens et patriotes – comme les détestent les anarcho-djihado-gauchistes, les médias du pouvoir et leur patron de l’Élysée, et le patron de « La France insoumise »  .    .
.     .     . Alors que tous les États islamiques de la planète – suppôts du groupe djihadiste État islamique, se déclarent nos pires ennemis.
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10 mai 2021

Une nouvelle tribune des militaires d’active vient d’être publiée,
[106 533 signatures ce soir du 24 juin 2021] , dans laquelle ils affirment tout leur soutien  et leur admiration à leurs aînés, signataires de la Lettre ouverte à nos gouvernants, avec l’émouvant septième couplet de La Marseillaise :
«
Nous entrerons dans la carrière
Quand nos aînés n’y seront plus ;
Nous y trouverons leur poussière
Et la trace de leurs vertus. (Bis)
Bien moins jaloux de leur survivre
Que de partager leur cercueil
Nous aurons le sublime orgueil
De les venger ou de les suivre.
 »

 Ils disent ce qu’ils savent et ce qu’ils ont vécu  de la terreur islamique dans le monde, et en France durant l’opération Sentinelle  :

« Afghanistan, Mali, Centrafrique ou ailleurs, un certain nombre d’entre nous ont connu le feu ennemi. Certains y ont laissé des camarades. Ils ont offert leur peau pour détruire l’islamisme auquel vous faites des concessions sur notre sol. 
Presque tous, nous avons connu l’opération Sentinelle. Nous y avons vu de nos yeux les banlieues abandonnées, les accommodements avec la délinquance. Nous avons subi les tentatives d’instrumentalisation de plusieurs communautés religieuses, pour qui la France ne signifie rien – rien qu’un objet de sarcasmes, de mépris voire de haine.

Nous avons défilé le 14 juillet. Et cette foule bienveillante et diverse, qui nous acclamait parce que nous en sommes l’émanation, on nous a demandé de nous en méfier pendant des mois, en nous interdisant de circuler en uniforme, en faisant de nous des victimes en puissance, sur un sol que nous sommes pourtant capables de défendre.

Ce n’est peut-être pas à des militaires de dire cela, arguerez-vous. Bien au contraire : parce que nous sommes apolitiques dans nos appréciations de situation, c’est un constat professionnel que nous livrons. […]
Oui, nos aînés ont raison sur le fond de leur texte, dans sa totalité. Nous voyons la violence dans nos villes et villages. Nous voyons le communautarisme s’installer dans l’espace public, dans le débat public. Nous voyons la haine de la France et de son histoire devenir la norme. […]

Lâcheté, fourberie, perversion : telle n’est pas notre vision de la hiérarchie. L’armée est au contraire, par excellence, le lieu où l’on se parle vrai parce que l’on engage sa vie. C’est cette confiance en l’institution militaire que nous appelons de nos vœux. Oui, si une guerre civile éclate, l’armée maintiendra l’ordre sur son propre sol, parce qu’on le lui demandera. C’est même la définition de la guerre civile. Personne ne peut vouloir une situation aussi terrible, nos aînés pas plus que nous, mais oui, de nouveau, la guerre civile couve en France et vous le savez parfaitement.

Le cri d’alarme de nos Anciens renvoie enfin à de plus lointains échos. Nos aînés, ce sont les résistants de 1940, que, bien souvent, des gens comme vous traitaient de factieux, et qui ont continué le combat pendant que les légalistes, transis de peur, misaient déjà sur les concessions avec le mal pour limiter les dégâts ;  ce sont les poilus de 14, qui mouraient pour quelques mètres de terre, alors que vous abandonnez, sans réagir, des quartiers entiers de notre pays à la loi du plus fort ; ce sont tous les morts, célèbres ou anonymes, tombés au front ou après une vie de service. […]

 
Agissez, Mesdames et Messieurs.

Il ne s’agit pas, cette fois, d’émotion sur commande, de formules toutes faites ou de médiatisation.
Il ne s’agit pas de prolonger vos mandats ou d’en conquérir d’autres.
Il s’agit de la survie de notre pays, de votre pays. »
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Le souffle de l’histoire qui les anime, « avec un courage calme, attribut de la véritable force »,  est bien celui du 11 juillet 1792,  déclarant la patrie en danger.

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   12 mai 2021   J’ai signé : « La patrie est en danger.
Le terrorisme islamique et le fanatisme racialiste sont nos ennemis impitoyables.
Vous êtes l’Armée du peuple français et de la République.
Merci pour votre courage et votre vaillance. »
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♠  Cf. par L’ingénue :
20 octobre 2009  /   26-27 septembre 2019  Apostille
L’égalité citoyenne [des femmes] sans le voile et sans la burqa

27 octobre 2019
Ainsi parlait le président Macron du port du voile islamique

10 février – 7 mars 2021
La patrie en danger – il n’y aura pas de collège Samuel-Paty à Ollioules

27 mai 2021 La patrie en danger – « Notre armée est infiltrée »

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La patrie en danger – séances du  4 et du 11 juillet 1792

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Quel bon exemple que cette leçon d’histoire de Jean Jaurès, pour le président « Macron-de- la République -en -marche vers une républiqueislamique », qui affirme désormais ne pas « aimer » (1) les caricatures de Charlie hebdo, comme le dit aussi, Darmanin, son ministre de l’Intérieur, qu’il envoie chercher des imams dans le Maghreb islamiste   …

Quel bel exemple que cette leçon d’histoire pour un tel président et pour son gouvernement, que celui de notre Assemblée nationale du 11 juillet 1792, car c’est au lendemain de la victoire de Valmy sur les Prussiens que fut proclamée par la Convention nationale, le 21 septembre 1792, notre République Française !

Et il en aurait pourtant besoin :

Pour faire face « dans un courage calme, attribut de la véritable force », aux gouvernants islamistes dont les lois s’ensanglantent de la charia, et parmi lesquels, les plus sanglants pour martyriser leurs propres citoyen(ne)s, on trouve le Pakistan, l’Arabie saoudite, le Qatar, l’Iran, et la Turquie du sinistre Erdogan et de ses « loups gris », qui s’unissent pour clamer leur haine de la France, et financer des djihadistes qui brûlent nos écoles, nos églises, nous assassinent dans toutes nos villes.

Ainsi, notre République laïque et fraternelle, et les caricatures de Charlie Hebdo «heurtent la sensibilité de millions de Pakistanais» nous dit le ministre Shah Mahmoud Qureshi des Affaires étrangères (2), notre liberté de conscience et notre liberté d’expression «blessent les sentiments des autres» et il espère que le monde (?) prendra des mesures (?) pour mettre un terme à de tels actes (?)».   Des menaces ?

De fait, il s’agit de «l’acte de dessiner et de l’acte de (re)publier des dessins»!

Pourquoi Mahmoud Qureshi ne nous dit pas combien de Pakistanais sont morts à la pointe d’un crayon de dessinateur français ?

Tandis que nous, nous comptons depuis 2012, nos morts et nos blessés, au couteau, au hachoir, égorgés, décapités, ou écrasés par une auto, un camion …

Tandis que nous, nous comptons nos écoles, nos églises, nos cathédrales, nos synagogues, nos gymnases, nos quartiers, nos usines en flammes, depuis l’occupation de la France par des djihadistes d’Al-Qaïda, par ceux du groupe État islamique,  par des frères musulmans et des salafistes, et par tous leurs immigrants mercenaires.

Qui nous menace ?  Qui nous égorge ?   Qui nous décapite ?   Qui  nous tue avec une arme de guerre ? Qui met le feu à notre nation  ?  Qui  lui déclare la guerre « sainte » islamique ?
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♠  Mais quand pourrons-nous élire  enfin un  président, une Assemblée nationale et un Sénat, qui clameront  haut et fort que «notre patrie est en danger» et qu’il faut mettre en place «une véritable organisation de défense» ?

Mais combien de temps faudra-t-il encore ?
Sachant que depuis 31 ans
(3), le pouvoir politique est loin du niveau d’excellence de celui de 1792, ou de celui de 1944.

Le président Macron  ayant eu largement sa part  de nullité politique, dès le début de son quinquennat, suite lamentable de celui de MM. Hollande et Valls (4).

 

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Dans le tome II La Législative (1791-1792) chapitre V p. 626 , de son Histoire socialiste de la Révolution française, Jean Jaurès nous donne le texte intégral «de la procédure de « la patrie en danger » :

4   juillet  1792


«Ce n’est pas seulement un appel aux énergies nationales et au dévouement révolutionnaire, c’est une organisation de défense :

« L’Assemblée nationale, considérant que les efforts multipliés des ennemis de l’ordre et la propagation de tous les genres de troubles dans les diverses parties de l’Empire, au moment où la Nation, pour le maintien de sa liberté, est engagée dans une guerre étrangère, peuvent mettre en péril la chose publique ( …) ;
Considérant qu’il est de son devoir ( …) de prévenir, par des dispositions fermes sages et régulières, une confusion aussi nuisible à la liberté et aux citoyens que le serait alors le danger lui-même :

Voulant qu’à cette époque la surveillance soit générale, l’exécution plus active, et surtout que le glaive de la loi sans cesse présent à ceux qui, par une coupable inertie, par des projets perfides ou par l’audace d’une conduite criminelle, tenteraient de déranger l’harmonie de l’État.

Convaincue qu’en se réservant le droit de déclarer le danger, elle en éloigne l’instant et rappelle la tranquillité dans l’âme des bons citoyens ;

Pénétrée de son serment de vivre libre ou mourir et de maintenir la Constitution, forte du sentiments de ses devoirs et des vœux du peuple, pour lequel elle existe, décrète qu’il y a urgence.

L’Assemblée nationale, après avoir entendu le rapport de sa commission des Douze et décidé l’urgence, décrète ce qui suit :

ARTICLE PREMIER. –   Lorsque la sécurité intérieure ou la sécurité extérieure de l’État seront menacées, et que le Corps législatif aura jugé indispensable de prendre des mesures extraordinaires, il le déclarera par un acte du corps législatif, conçu en ces termes : Citoyens, la patrie est en danger. »

( …) Suivent 18 autres articles détaillant toutes les dispositions pour les gardes nationales, leurs volontaires et leur solde, ainsi que la formation des bataillons.

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«  Quelques jours après, le 11 juillet 1792, sur un rapport fait par Hérault de Séchelles, au nom de la Commission extraordinaire des Douze, l’Assemblée déclarait que la patrie était en danger. ( … )

« Que ceux qui vont obtenir l’honneur de marcher les premiers pour défendre ce qu’ils ont de plus cher, se souviennent toujours qu’ils sont Français et libres ; que leurs concitoyens maintiennent, dans leurs foyers, la sûreté des personnes et des propriétés ; que les magistrats du peuple veillent attentivement ; que tous, dans un courage calme, attribut de la véritable force, attendent le signal de la loi, et la patrie sera sauvée. »

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Cf. L’entrevue du  31.10.2020  du Président Macron sur Al Djazira

(Cette chaîne satellitaire de télévision islamiste créée par le Qatar en 1996, endoctrine les jeunes générations, jour après jour, selon la charia de l’islam intégriste :
autour du non-droit à la liberté et à l’égalité des jeunes musulmanes, qu’il faut garder prisonnières sous leurs voiles/hijab /niqab ou burqa, et même ajouter d’autres interdictions  (vêtements , sports, piscine, activités culturelles etc.).
autour de l’orientation vers l’islam radical de collégiens et de lycéens devenant auteurs de troubles graves dans nos écoles de la République.
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À la question du journaliste d’Al Djazira sur le fait que notre « liberté d’expression (…)  est perçue comme une sorte de défi  et non considération des sentiments des musulmans »,

Macron le lâche a répondu :
« On m’a fait dire : « Je soutiens les caricatures humiliant  le prophète » (…)  les gens ont cru comprendre que moi, j’étais favorable à ces caricatures. »

Le 31 octobre 2020 Macron le lâche a trahi  notre liberté d’expression, notre laïcité et la mémoire de toutes les innocentes victimes de la barbarie islamique depuis 2012. 

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On se souviendra aussi que le président Macron le lâche n’avait pas voulu recevoir Riss, le directeur de Charlie Hebdo, le 7 janvier 2019,  pour mieux accueillir les islamistes du Conseil français du culte musulman (5.)
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par L’ingénue  La patrie en danger – il n’y aura pas de collège Samuel-Paty à Ollioules

2       Déclaration de Shah Qureshi ministre pakistanais

Attentat au hachoir du pakistanais Hassan Mahmoud, blessant grièvement deux personnes   devant les anciens locaux de Charlie Hebdo, le 25 septembre 2020, alors que se déroulait le procès des complices des frères Kouachi qui ont tué, le 7 janvier 2015, avec des armes de guerre,  12 personnes de Charlie Hebdo.

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 1989        Année du Bicentenaire de la Prise de la Bastille
[F. Mitterrand Président de la République  M. Rocard Premier ministre]

En 1989, le Parti socialiste a « toléré » que des parents musulmans intégristes ne respectent pas le règlement laïque et l’interdiction de signes religieux dans le collège Gabriel-Havez de Creil.
C’était « le coup de Jarnac » de Mitterrand, car depuis 1989, depuis l’Avis hypocrite et lâche du  Conseil d’État, les ennemis de la laïcité, convaincus de leur impunité, s’opposent à la loi par tous les moyens.

Avis n° 346.893 du Conseil d’Etat, Assemblée générale, 27 novembre 1989

« Le Conseil d’Etat saisi par M. Lionel Jospin, ministre d’Etat, ministre de l’Education nationale, de la Jeunesse et des Sports, de la question de savoir :
  Si, compte tenu des principes posés par la Constitution et les lois de la République et eu égard à l’ensemble des règles d’organisation et de fonctionnement de l’école publique, le port de signes d’appartenance à une communauté religieuse est ou non compatible avec le principe de laïcité.  (…)
  (…)  Il résulte de ce qui vient d’être dit que, dans les établissements scolaires, le port par les élèves de signes de leur appartenance à une religion n’est pas par lui-même incompatible avec le principe de laïcité (?), dans la mesure où il constitue l’exercice de la liberté d’expression et de manifestation de croyances religieuses,
 mais que cette liberté ne saurait permettre aux élèves d’arborer des signes d’appartenance religieuse qui, par leur nature, par les conditions dans lesquelles ils seraient portés individuellement ou collectivement, ou par leur caractère ostentatoire ou revendicatif, constitueraient un acte de pression, de provocation, de prosélytisme ou de propagande (…).
 – Le port de signes d’appartenance religieuse dans les établissements scolaires peut, en cas de besoin (?), faire l’objet d’une réglementation destinée à fixer les modalités d’application des principes  (?) qui viennent d’être définis, compte tenu de la situation propre aux établissements (?). »

Lire le témoignage d’Ernest Chénière, Principal du collège en 1989,  qui déclare : « J’ai eu affaire à la première brèche dans la laïcité par un islamisme conquérant« 

    31 ans plus tard, le 16 octobre 2020, un professeur d’histoire-géographie, Samuel Paty, est sauvagement décapité , devant son collège, à Conflans-Sainte-Honorine.
L’assassin djihadiste, Abdoullakh Anzorov  a agi avec la complicité de cinq autres islamistes radicalisés :
 Azim E. 19 ans, Naïm B. 18 ans et Yussuf C.18 ans,
Brahim Chnina, père d’élève, auteur d’une vidéo  haineuse contre le professeur, et ayant
eu  des entretiens téléphoniques avec  A. Anzorov,
 Abdelhakim Sefrioui, membre du conseil des imams de France, et la grande mosquée de Pantin,  pour lancer une » fatwa » contre Samuel Paty ;
et les plus jeunes complices  du  massacre : plusieurs collégiens – futurs- djihadistes, chargés d’accompagner le meurtrier pour lui désigner le professeur.

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4   par L’ingénue  Macron, ses dieux et la barbarie du quotidien
 29 octobre 2017 * mise en avant le 10 avril 2018  

  par L’ingénue  Le président Macron, l’islam radical et la loi de 1905
9 janvier 2019

Cf. par L’ingénue
26 juin 2012       Un « printemps djihadiste » en France
    Note remise en avant  le 7 mai 2021 (après « La lettre ouverte à nos gouvernants » des militaires citoyens et patriotes).

   31 décembre 2016   La Seine-Saint-Denis, c’est comme au bled. 
   6 octobre 2020 
     Le « séparatisme islamiste » ou la Convention musulmane citoyenne de juin 2014

Pour le centenaire de Voltaire (30 mai 1878),
le magistral discours de Victor Hug
o.

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2 avril 1871 : Décret de la séparation de l’Eglise et de l’Etat

  1er août 2011 –  22 octobre 2020  –        2 – 24 – 26- 29 avril 2021


Cette page a été mise en avant le 22 octobre 2020 :
En hommage à Samuel Paty, professeur d’histoire-géographie, décapité au nom du dieu de l’islam
[VII ème siècle de notre ère], devant son collège du Bois d’Aulne, à Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines), le vendredi 16 octobre 2020.
En hommage à
tous les enseignants qui  luttent, depuis des années, jour après jour, dans leur établissement scolaire, contre la subversion islamique dont la violence atteint désormais l’insoutenable.
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Et cette page est encore mise en avant, ce 2 avril 2021, pour rendre hommage 150 ans plus tard,  à l’extraordinaire lucidité  du Conseil de la Commune, qui décréta, le 2 avril 1871 la séparation de l’Église et de l’État.

 

                                                                   24 –  26 avril 2021

Qu’attend  « la République-en-marche »  de M. Macron pour décréter  à son tour, en 2021, la séparation de la « Mosquée des terroristes » et de notre État laïc ?
Jusqu’à quand la République française sera-t-elle livrée
AUX TUEURS  ISLAMISTES des DÉFENSEURS  de la LAÏCITÉ ?
Mais  Jupiter- Macron ne songe qu’à sa gloire, et plutôt que de se battre pour notre laïcité, il veut donner son nom à un futur « musée du terrorisme »  dans lequel, jour après jour, s’allongera la liste des victimes innocentes.        
l’Histoire en marche ne retiendra de lui que la lâcheté d’un incapable.
Le vendredi 23 avril 2021, Stéphanie Monfermé, la dernière victime innocente, a été sauvagement assassinée au couteau et au cri d’allah akbar, par Jamel Gorchene, dans le commissariat de Rambouillet (Yvelines).
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                  Qui furent ceux qui composèrent le gouvernement de la Commune de Paris, gouvernement  qui dura à peine le temps du Printemps 1871, du 28 mars au 28 mai  ?

Edmond de Goncourt écrivait dans son  « Journal »  qu’il n’en connaissait  aucun, et les méprisait tous, avec le dédain de l’aristocrate. En effet, dans quels salons de la « bonne société » du Faubourg Saint-Germain, aurait-il pu rencontrer ces élus républicains ?

              Eugène Varlin – ouvrier relieur-,  Charles Gérardin – comptable -,
Louis Chalain – tourneur en bronze-,  ou Benoît Malon – ouvrier teinturier- élus du 17ème arrondissement ( Batignolles-Monceau) ?
Auguste Blanqui  – fils de sous-préfet mais ayant surtout fréquenté  les prisons du royaume et de l’empire pendant 33 ans – ,  Albert Theisz – ouvrier ciseleur sur bronze-,
Simon Dereure – cordonnier-, Jean-Baptiste Clément – poète et chansonnier-
Théophile Ferré – clerc d’avoué -, ou  Auguste Vermorel – homme de lettres, journaliste- élus du 18ème arrondissement ( Butte-Montmartre) ?
ou encore Jules Bergeret – correcteur d’imprimerie -, Gabriel Ranvier – ouvrier décorateur -,
et Gustave Flourens – biologiste, Professeur au Collège de France  -élus du 20ème arrondissement ( Ménilmontant)  ? … etc…

Comment en effet, M. de Goncourt aurait-il pu croiser Eugène Varlin ou Benoît Malon « au fond de la courette du 44 rue des Gravilliers dans le 3ème arrondissement, au cœur du vieux Paris des artisans, dans un atelier de quatre mètres de long sur trois mètres de large », dans ce qui fut le premier bureau de la  Commission parisienne de l’Association Internationale des Travailleurs  appelée la Première Internationale ?

 

Mais revenons au  28 mars 1871,  jour de la proclamation de la Commune,  jour de fête,  où l’on pensa que la guerre civile venait d’être évitée grâce au verdict du suffrage universel.


Jules Vallès
(élu du 15ème arrondissement -Vaugirard) l’a décrit  avec  fougue et  lyrisme :
« Quelle journée ! Ce soleil tiède qui dore la gueule des canons, cette odeur de bouquets, le frisson des drapeaux ! Le murmure de cette Révolution qui passe tranquille et belle comme une rivière bleue, ces tressaillements, ces lueurs, ces fanfares de cuivre, ces reflets de bronze, ces flambées d’espoirs, ce parfum d’honneur, il y a là de quoi griser d’orgueil et de joie l’armée victorieuse des Républicains ! »

Pendant ce temps-là,  Adolphe Thiers et son gouvernement dit de«  Défense nationale » n’avaient d’autre intention que de livrer Paris aux Prussiens. Nommé commandant en chef de l’armée versaillaise, Mac-Mahon réorganisait une armée de 170 000 hommes, aidé en cela par Bismarck qui libérait les prisonniers.

La bourgeoisie d’affaires  avait alors un leitmotiv qui rappelle lugubrement celui  de 1936 : « Plutôt Hitler que le front populaire »  ; celle de 1871 proclamait : « Plutôt les Prussiens et perdre l’Alsace et la Lorraine, que les Communards ! »  De chaque crise, de chaque guerre qui anéantit  les pauvres, l’internationale capitaliste sort toujours victorieuse et féconde.

 

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 ♣  C’est pourquoi, dans la confusion du  débat actuel sur la défense de la laïcité,  pour retrouver les fondamentaux de notre République si chèrement acquis dans le sang des Républicains de 1789, de1830, de 1848 et de 1871,   il faut se souvenir du 2 avril 1871 – alors que commençait le second siège de Paris ordonné par  Thiers, quand retentissaient « les premiers coups de canon tirés par Vinoy sur les banlieues et quartiers périphériques. » 

      

    ♣ Il faut se souvenir de ce jour où « le Conseil de la Commune
présidé par Gustave Lefrançais ( instituteur-  élu du 4ème arrondissement – Hôtel de Ville), vota  à l’unanimité, un décret séparant l’Église et l’État.

Il comportait quatre « considérants ».
Deux sur quatre de ces considérants se référaient à la notion de liberté. Ils stipulaient que le premier des principes est la liberté et que la liberté de conscience est la première des libertés.
Le troisième considérant s’attaquait au budget des cultes, qualifié de contraire au principe, puisqu’il impose les citoyens contre leur propre foi.
Le quatrième accusait le clergé d’avoir été le complice de la monarchie contre la liberté. A chacun de ces considérants correspondait dans le corps du décret un article
.

          Ces quatre articles se lisaient comme suit :

« Article premier. –  L’Église est séparée de l’État.

Art. 2. –  le budget des cultes est supprimé.

Art. 3. – Les biens dits de mainmorte, appartenant aux congrégations religieuses, meubles et immeubles, sont déclarés propriété nationale.

Art. 4.-  Une enquête sera faite immédiatement sur ces biens pour en constater la nature et les mettre à la disposition de la nation.

Ce faisant, les élus de la Commune n’innovaient pas : ils revenaient aux sources de la Révolution française.» 

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 Sources :

Eugène Varlin Militant ouvrier, révolutionnaire et Communard
Jean Bruhat Éditeurs Français Réunis 1975

  Grande histoire de la Commune  Georges Soria  (Introduction de Henri Guillemin) éditions Robert Laffont pour le Livre Club Diderot  1970

  Jules Vallès  Le Cri du Peuple Mardi 28 mars 1871
Œuvres complètes tome III Livre Club Diderot 1969

Cf. par L’ingénue  :
Page publiée le 23 mars 2011 pour le 140 ème anniversaire de la Commune :
Victor Hugo et Garibaldi  Mars-Avril 1871

et aussi  par L’ingénue :
Page  1er août  2011 
et   21 mai 2021
Il y a 150 ans, le 21 mai 1871 commençait « La Semaine sanglante »  :
Du 2 avril au 28 mai 1871, la guerre civile sous les yeux des Prussiens

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 VOIR  (jusqu’au 19/08/2021) sur ARTE.fr Les damnés de la Commune 
  un film remarquable de Raphaël Meyssan  (2019).

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22 octobre 2020

      Mais la suite de  l’Histoire de France a donné raison aux Communards .  .  .

Le  30 août 1871, l’Assemblée qui s’est proclamée constituante nomme Thiers  président de la République. Il démissionnera  en mai 1873, pour laisser la place à Mac-Mahon.

Et le 30 janvier  1875, avec le vote de l’amendement Wallon, est créée la troisième République.

Mais début 1876, les élections législatives annoncent la victoire des républicains.
Mac-Mahon dissout l’Assemblée nationale en juin 1877, mais les nouvelles élections législatives redonnent la victoire aux républicains !

En 1879, Mac-Mahon démissionne ;  Jules Grévy est élu président de la République.

        –   En juillet 1880 : amnistie pour les Communards

        –  En  1881 est formé le ministère Jules Ferry, qui institue la gratuité de l’enseignement primaire.
La loi Ferry est parachevée en 1882  en instituant l’école primaire obligatoire et laïque. 

Le 9 décembre 1905 est votée la loi de séparation de l’Église et de l’État. Fin du régime concordataire de 1801 voulu par Bonaparte et Pie VII.

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Cf. PROFS Les sacrifiés de la laïcité  –  Hors-Série de Charlie Hebdo
60 témoignages d’enseignants sur l’état de l’école républicaine.
avril-mai 2018
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Le « séparatisme islamiste » ou la Convention musulmane citoyenne de juin 2014

6 octobre 2020

 

6 – 7 – 16 octobre 2020 jour de la décapitation du professeur Samuel PATY – résistant laïque à la guérilla djihadiste. 26 –  puis note mise en avant le  28 octobre 2020 

 

    Quand Macron disait le 2 octobre 2020, dans son discours aux Mureaux que   « Ça fait trois ans que je travaille d’arrache-pied avec le CFCM « , il ne nous disait pas quel CFCM !

Mais nous savions que pendant deux ans, le Conseil français (sic) du culte musulman,  c’était avec « celui qui n’était pas Charlie » en janvier 2015,  l’intégriste Ahmet Ogras (♠) , [président du Comité de coordination des musulmans turcs de France (CCMTF),  très proche des  frères musulmans et du dangereux président Erdogan, proche de l’Égypte et des frères musulmans de L’UOIF, [l’Union des organisations islamiques de France des dangereux  Amar Lasfar et Tariq Ramadan], sans oublier  que les  frères musulmans  sont aussi  liés  à l’AMIF [Association musulmane pour l’islam de France] de Hakim El Karoui,  et l’infiltration des wahhabites d’Arabie saoudite.

Bref, Macron se vantait d’avoir élaboré sa lutte contre le « séparatisme islamiste »[euphémisme pour signifier la terreur djihadiste] et son projet de loi, avec les suppôts de l’ islam radical !

Alors que la « Convention citoyenne des musulmans de France en 2014 » (1),  du Conseil Français du Culte Musulman, mais sous la présidence de Dalil  Boubakeur, avait été l’affirmation  des musulmans de vouloir vivre dans notre République laïque.
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⇒  ⇒ Mais, Ahmet Ogras, avec tous ces chefs intégristes islamistes, avec tous les pires ennemis des citoyens musulmans laïques de France, ont  fait  disparaître  le texte de 2014, alors que débutait en France depuis 2012, avec les sept victimes (dont deux enfants) du tueur Mohamed Merah, une impitoyable guérilla djihadiste , dont l’écho résonne toujours aujourd’hui, comme une menace terrible,
venant de tous les pays islamistes de la planète :

«Je suis Mohamed. Je ne suis pas Charlie Hebdo ».
Au nom de notre dieu,
il est juste de tuer en France tous les mécréants,
et les assassins sont nos héros».
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         La France, notre patrie, est en danger.
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Comme  avec le magnifique appel des musulman(e)s de France (2), on lit dans cette Convention citoyenne, une volonté des  musulman(e)s  de  rejoindre  notre laïcité fraternelle et paisible, dès le Préambule  :   « l’islam adopte  comme principe fondateur le respect des règles et des lois républicaines. Elles fondent le vivre ensemble et assurent l’épanouissement harmonieux des hommes et des femmes de ce pays. »

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Quand Macron disait le 2 octobre 2020 :  » Le problème, ce n’est pas la laïcité », il n’avait encore rien appris, et rien compris !

Et n’ayant pas lu la Convention citoyenne des musulmans de France de juin 2014, il ne savait pas que les citoyens musulmans laïques  « considèrent la laïcité comme un acquis majeur du vivre ensemble et de la non-discrimination des citoyens. » (?)(1)  

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  ♦  ♦  ♦  ♦  ♦

  C’est justement, au nom de la laïcité qui est non-discrimination (2), que la prochaine Convention citoyenne des musulmans de France devra admettre, que le voile est une discrimination-soumission religieuse de la fillette comme de la citoyenne – [a fortiori quand elle porte une burqa] – à l’école, comme à l’université,  comme dans tous les espaces publics.
Et il restera  encore  à cette prochaine Convention citoyenne des musulmans de France, d’inscrire le respect  de la  liberté de conscience des musulman(e)s  face à leur religion – comme elle existe pour les deux autres monothéismes (c’est-à-dire la liberté de croire, ou de ne pas croire, en  ces trois dieux).

  ♦  ♦
 ♦  ♦  ♦

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 par L’ingénue : chaque (?),  à la fin d’une phrase soulève le doute,
pour un futur proche, tant le décalage est grand entre ce texte et la réalité djihadiste, partout en France.

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Cependant voilà quelques  Extraits du Préambule et l’article 9 sur « Les musulmans de France face au radicalisme, à l’extrémisme et à la violence » de  la Convention citoyenne des musulmans de France « ignorée » depuis 6 ans,  par les présidents Hollande et Macron, et leurs gouvernements  et par les élus de l’Assemblée nationale  et du Sénat.

PRÉAMBULE 

« En mesure d’assumer sa responsabilité dans tous les domaines de la vie de la société, la communauté musulmane de France affirme son identité, sa culture et sa religion. Elle aspire à mieux préciser sa place, son rôle et sa contribution dans la société.
Rejetant le repli communautariste, les musulmans de France projettent tous leurs efforts dans une communauté de destin portée par une intégration juste, loyale et solidaire. 
L ’Islam s’il est unique en sa doctrine, il est multiple dans son histoire et ses expériences. En France, il adopte comme principe fondateur le respect des règles et des lois républicaines (?) . Elles fondent le vivre ensemble et assurent l’épanouissement harmonieux des hommes et des femmes de ce pays.

Les musulmans de France aspirent à l’union de tous, sans distinction d’origine ethnique, nationale, linguistique ou d’obédience d’écoles ou schismatiques. Ils considèrent la laïcité comme un acquis majeur du vivre ensemble et de la non-discrimination des citoyens (?). 
(… )  
Prônant la tolérance religieuse (?) et un dialogue avec l’État et les cultes, les musulmans de France affirment leur aspiration à une identité culturelle et religieuse authentique dans la liberté et dans le cadre des institutions (?).

Les musulmans de France désirent réaliser leur unité et manifester leur expression pour et par eux-mêmes dans les débats et questions qui les concernent :

L’Islam est parfaitement compatible avec les lois de la République (?). Nul besoin de texte nouveau, d’adaptation législative ou d’évolution jurisprudentielle : l’islam trouve tous ses repères dans le droit commun (?).

 Vivant dans le temps et l’espace de leur société, les musulmans de France affirment leur volonté d’ouverture et de paix dans le rejet de la violence et la condamnation de toute menée subversive, terroriste ou criminelle
Tout musulman doit avoir à cœur de se démarquer nettement de l’extrémisme (?). Les lieux de culte et les mosquées ne sont dédiés qu’à l’adoration de Dieu, et à rien d’autre.

Les musulmans de France appellent les pouvoirs publics à conjuguer leurs efforts avec les familles musulmanes et les responsables religieux pour juguler les actions, subversives et radicales, qui ternissent l’image de la religion musulmane (?).   ( … )

Les musulmans de France reconnaissent pleinement l’égalité entre l’homme et la femme (?). Ils appellent à l’épanouissement personnel et professionnel des femmes musulmanes, dans le cadre de la loi (?).

Les musulmans de France considèrent que le voile est une prescription religieuse (?) . Si nombre d’entre eux ont pu vivre la loi sur l’interdiction du port du voile à l’école publique comme une injustice, ils respectent les choix de la communauté nationale (?). Les musulmans de France, suivant la position adoptée par la majorité des théologiens musulmans, considèrent que le port du « voile intégral » n’est pas une obligation religieuse (?)( … )

  L’Islam recommande la science et honore les savants. La bioéthique musulmane a pour principe le respect de la vie(?). Le médecin, homme ou femme, est pleinement responsable de ses malades. On ne peut récuser ni l’un ni l’autre.  ( … )
  Les musulmans de France tiennent à préserver et à entretenir la mémoire des leurs qui se sont sacrifiés pour la France, qui par le sang versé durant les guerres nationales, qui par leur travail pour l’édification de son économie,  sont les véritables fondateurs de l’Islam de France (?).
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Article 9  sur  « Les musulmans de France face au radicalisme, à l’extrémisme et à la violence »

L’Islam prône « une communauté du juste milieu » (al wasatiyya Coran II-143). Les lieux de culte et les mosquées ne sont dédiés qu’à l’adoration de Dieu et à rien d’autre. (Coran 72-18).   Contrairement à une idée répandue (?), le mot « Jihâd  » signifie notamment la lutte et l’effort sur soi-même, en accomplissant le bien (?). Cette action a surtout une dimension spirituelle, consistant à œuvrer de son mieux pour accomplir le bien (?) . Dans le Coran, ce mot est employé sous ses différentes formes à 33 reprises (?).    [(?) Par L’ingénue )

Les menées politiques, idéologiques ou activistes, instrumentalisant ainsi le religieux, ne peuvent que dénaturer le message et la vie des musulmans de France, soucieux avant tout de s’intégrer à la société française dont ils font pleinement partie.

Les musulmans de France sont inquiets par l’attractivité des thèses radicales auprès d’une fraction de la jeunesse en quête de sens, confrontée à des injustices et inégalités. Cette voie radicale, qui s’apparente à une déviance, profite des fragilités personnelles et recourt souvent à la manipulation et au dévoiement des textes sacrés.

Il est impératif que les musulmans dans leur ensemble se mobilisent afin que la jeunesse puisse retrouver le chemin d’un islam apaisé.
Les institutions, les élites et les pouvoirs publics doivent conjuguer leurs efforts avec les familles musulmanes pour juguler ces actions subversives qui ternissent l’image de la religion musulmane.

Les musulmans dans leur totalité (?) récusent la violence et font tout ce qui est en leur pouvoir pour éviter que leurs jeunes succombent aux messages délétères qui incitent notamment à la violence ou au fanatisme. ( . . .) »

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1 Convention citoyenne des musulmans de France pour le vivre-ensemble  

2  Cf. Par L’ingénue  (novembre 2019)  Le magnifique courage de l’Appel des musulman(e)s de France


 Cf. Par L’ingénue ( mai 2016 – février 2019)De l’horrible danger de la lecture (Voltaire –  1765 )

 

(♠) Entendre Ahmet Ogras, (vice-président du CFCM en 2015  et président de 2017 à 2019)   dans « Il n’y a pas d’islam radical », le 15 janvier 2015 [8 jours après le massacre de Charlie Hebdo].

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Le communautarisme séparatiste est un déni de notre laïcité

 30 septembre -1er octobre 2020

 

  Alors que nous traversons des années terribles d’attentats, de guérillas et de destructions urbaines permanentes, d’incendies effroyables, ajoutés aux drames sociaux et familiaux dus à la pandémie, M. Macron louvoie avec « le séparatisme », sa dernière trouvaille pour masquer le vrai sens de la loi de 1905, notre plus belle loi laïque  sur la séparation des Églises et de l’État.

Le président Macron semble n’avoir d’oreille que pour M. Mohamed Moussaoui, l’actuel président du CFCM, qui exigeait en 2009, à Strasbourg, « 
l’extension du droit concordataire à l’islam en Alsace-Moselle » ; alors que la République française ferait mieux de supprimer enfin cette verrue  contradictoire à l’esprit de la loi du 9 décembre 1905.

   ♠ Nul dogme, nulle religion n’a le droit d’infliger aux citoyens et aux citoyennes des privations d’accès aux lois de liberté, [dont la liberté de penser et la liberté d’expression]d’égalité et de fraternité.
Les femmes et les hommes ayant tous et toutes [quelque soit leur religion ou leur absence de religion], les mêmes droits [y compris l’éducation, la culture et le sport]
et les mêmes devoirs.

  ♠ Nulle religion n’a le droit de laisser ses adeptes prendre des armes et des explosifs contre les citoyens et les citoyennes de notre pays, pour les tuer au nom de son dieu.
      La loi de 1905 doit s’appliquer désormais dans sa totalité, sans exception archaïque,  dans toute la France métropolitaine comme dans toute la France d’Outre-mer.

La loi de 1905 est définitivement le pilier de notre nation française et la gardienne de notre paix civile.

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Mais ce n’est pas « la République-en-marche- de M. Macron »
 qui obtiendra le retour au respect de l’égalité de toutes les femmes (quelque soit leur dieu), alors que le dogme  islamique intégriste et criminel, condamne les musulmanes à disparaître derrière leurs voiles.
[Cf. par L’ingénue, Le magnifique courage de l’Appel des 100 musulman(e)s de France novembre 2019.]

Ce n’est pas « la République-en-marche- de M. Macron », qui réussira à condamner et à expulser les chefs religieux intégristes de l’islam politique, ceux  qui prêchent, avec une  haine chaque jour décuplée,  depuis 30 ans, dans notre pays libre et paisible, « leur guerre sainte » contre nous, et nos écoles laïques, afin d’instituer dans notre République, le noyau d’un futur État islamique.

Ce n’est pas  « la République-en-marche – de M. Macron », qui rétablira dans toutes nos écoles, le calme et l’écoute du professeur, si nécessaires aux apprentissages fondamentaux, puis scientifiques et techniques, pour toute notre jeunesse qui ne demande qu’à  apprendre et qu’ à réussir.

Soyons lucides . . .   en écoutant le prochain  discours de « Macron, le serviteur  jésuite  du séparatisme »   .  .   .

La laïcité est bafouée dans notre pays, depuis des décennies, du retour au financement des écoles privées  de Debré à Mitterrand, avec en prime l’acceptation d’un signe ostentatoire de dogme islamique  dans un collège, aux pillages et aux incendies actuels des écoles laïques, avec désormais des écoles coraniques illégales,  par celles et ceux qui,  au XXI ème siècle, nous « traitant » d’islamophobes,  attisent la haine contre nous, tout en  soutenant les assassins, les réseaux de drogues et la délinquance criminelle.

Ainsi  M. Hadama Traoré, tête de liste  du groupe « Démocratie représentative (islamique) » pour l’élection des représentants français au Parlement européen des 25 et 26 mai 2019,  qui voulait organiser en Seine-Saint-Denis, le 10 octobre 2019, une manifestation « en hommage » à Mickaël Harpon, agent administratif de la direction du renseignement de la Préfecture de police (DRPP) qui avait poignardé quatre policiers et blessé grièvement une cinquième personne, au nom d’allah, le 3 octobre 2019.

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Jetons un coup d’œil sur le climat du XVIIIème siècle !

12 août 2020 note revue le 16 août 2021 [6  Pour l’histoire  contemporaine]


Ce que j’ai appelé dans la note précédente  « la Grande Peur climatique » pour ce XXIème siècle, n’a  aucune concordance avec ce que les contemporains des journées révolutionnaires avaient appelé « la Grande Peur » en 1789.

Cette Grande Peur  révolutionnaire avait eu  « six paniques  originelles : en Franche-Comté, à la suite de la révolte agraire, en Champagne, dans le Beauvaisis, dans le Maine, dans la région de Nantes, dans celle de Ruffec,  (donnant) naissance à des courants de peur qui se propagèrent rapidement et touchèrent la plus grande partie de la France, du 20 juillet au 6 août 1789. »(1)

On en trouve la source dans la grande misère paysanne
après tant d’années de famines
, celle qui fut si bien décrite dans Les Cahiers du Tiers État, que Jean Jaurès jugeait  « admirables d’ampleur, de vie,  de netteté et d’unité. (…) Des rochers brûlés de Provence où les pauvres habitants des campagnes travaillent à des travaux de sparterie maigrement payés, aux côtes de Bretagne, où les pauvres laboureurs disputent à l’avidité seigneuriale les goémons apportés par la tempête et laissés par le reflux ; (…) aux serfs de Saint-Claude, qui ne peuvent se marier sans le consentement de l’abbaye ; (…), toutes les variétés de la vie sociale éclatent dans les Cahiers : mais surtout, c’est l’unité du mouvement qui est admirable. Partout les mêmes problèmes sont posés et partout ils reçoivent les mêmes solutions. » (2)
… Pour ajouter « De même qu’à Paris dans les journées de péril qui précédèrent le 14 juillet, la bourgeoisie révolutionnaire sut armer ses milices contre les régiments de la cour et désarmer les hommes qui lui paraissaient menaçants pour la propriété, de même dans la campagne, le Tiers État rural s’organise à la fois pour protéger contre toute agression la propriété paysanne et pour abattre la féodalité. » (3)

 

C’est pourquoi il m’a semblé utile pour notre réflexion citoyenne, au sujet de l’autre « Grande Peur climatique du XXIème siècle », de consulter  le tableau des  Épidémies et famines en France (4), fruit de patientes recherches dans les archives, et figurant dans le Cercle Généalogique Lorrain d’ Île-de-France.  

S’il apparaît, que  ces deux « Grandes Peurs » ont des causes différentes, le tableau climatique nous décrit un climat en France, du  XVIème au XIXème siècle, avec de nombreux épisodes d’hivers rudes, d’inondations,  d’étés caniculaires et les longues sécheresses,  tout cela ayant, en plus des servitudes et des conditions de vie si précaires, des conséquences  catastrophiques de famines et d’épidémies sur la population rurale. 

Parmi eux, le bulletin météorologique du XVIIIème siècle de 1740 à 1800 est l’un des plus sombres.

Sous Louis XV :
« Le 26 décembre 1740, grave inondation à Paris, l’hiver fut très froid avec deux mois de fortes gelées ;  famine, grande misère pain d’orge et d’avoine pour seule nourriture.
L’été fut caniculaire en 1741,   1742,  1743, 1748 , 1749 [grande famine en 1750], idem en 1751 et 1752, 1757, 1759, 1760, 1761, 1762, 1764, 1765 [le 26 août 40° à Paris] [grande famine en 1769 et 1770] 1772, 1773.

Sous Louis XVI (5) et sous le Directoire :

L’été fut encore caniculaire en 1776, 1778, très chaud de 1778 à 1782 [grande famine],   caniculaire en 1783 [avec hiver glacial ], en 1784 et 1785 [ grande sécheresse dans toute la France et en 1787 aussi], en 1788 -1789  [hiver très rigoureux et graves disettes dans la plupart des régions],  caniculaire en 1790- 1791 [grande sécheresse] et en 1793 [très sec – 40° à Valence (Drôme), en 1798 et 1799. »
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    Il apparaît ainsi qu’au XVIIIème siècle, la perturbation du climat était supérieure à celle que nous connaissons  en ce début de XXIème siècle, mais l’on sait déjà  que les Assemblées révolutionnaires (la Constituante, la Législative et la Convention) ont œuvré plus largement au XVIIIème siècle pour la Nation  et « la  justice sociale » que ne le fera  la « Convention citoyenne pour le climat du Père Ubu- Macron «  avatar du grand débat national,  lors des manifestations populaires dites « des Gilets jaunes », auxquelles s’étaient joints les anarchistes fous furieux des Black Bloc (6 ).

Cette  « Convention de 150 membres  « sélectionnés  » dans « la diversité française (sic)« , « tirés au sort » (?) et régentés  par un « Comité de gouvernance », les uns comme les autres ayant été désignés  par le Père Ubu-Macron lui-même,  qui ose encore nous dire, que c’est une « expérience démocratique inédite en France » !

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Source historique :
Histoire socialiste de la Révolution française   Jean Jaurès
Édition revue et annotée par Albert Soboul  Éditions sociales  M . CM . LXVIII .
Tome I . La Constituante 

  1   Chapitre III . Journées révolutionnaires. La Grande Peur .
               Note d’Albert Soboul  d’après Georges Lefebvre  p.437
  2    Chapitre II .  Les élections et les cahiers. Les cahiers du Tiers État  p. 282

  3   Chapitre III .  p.440   Journées révolutionnaires. La Grande Peur .

  4         Cf.  Épidémies et famines en France du XVIII au XIXème siècle
Cercle Généalogique Lorrain d’Île-de-France

5    Source historique :
Cf. Les articles  d’ Emmanuel Le Roy Ladurie sur le site de  Météo France
(
6 mars 2020) :

         “ Une période météorologique hors norme : Le 13 juillet 1788 : un orage prérévolutionnaire »  ; d’après son livre :  Le Roy Ladurie E., 2006 : Histoire humaine et comparée du climat – Disettes et révolutions 1740-1860. Fayard, 145-180.

 et  Le grand hiver 1709  
d’après son livre , 2005 : Histoire humaine et comparée du climat – Canicules et glaciers XIII°-XVIII°. Paris, Fayard, p. 509-518.

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 6  Pour l’histoire  contemporaine 

La Convention Citoyenne pour le Climat, c’est quoi ?

♦    Elle a été accueillie au Conseil économique, social et environnemental d’octobre 2019 à juin 2020 ; et chaleureusement reçue par le Père Ubu -Macron dans la verdure de son parc de l’Élysée le 29 juin 2020.

♦    En 2019, le Père Ubu- Macron  a  prélevé  2 millions d’euros  sur le trésor national [dont un million pour les Américains qui se moquent du GIEC,  comme le Père Ubu se moque  du budget de l’AP-HP ! ] pour subventionner le  « Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC).

⇒  Paris le 10 août 2021
Déclaration de CLINTEL (
(Climate Intelligence) est une fondation indépendante européenne fondée en 2019 par le professeur émérite de géophysique néerlandais  Guus Berkhout et le journaliste scientifique Marcel Crok. Elle comprend 97 scientifiques français. Benoit Rittaud, président de l’Association des Climato-Réalistes, en est l’ambassadeur français : ⇒  Le nouveau rapport du GIEC ne fournit pas d’éléments objectifs utiles aux décideurs politiques.

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♦     Sachant que depuis 2001, la République dispose  également :
d’un  Observatoire national sur les effets du réchauffement climatique (ONERC)  en liaison avec le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC).
auprès duquel  Nicolas Hulot, alors  ministre d’État, ministre de la Transition écologique et solidaire, avait installé en octobre 2017 : une nouvelle commission spécialisée au sein du Conseil national de la transition écologique (CNTE)
lequel est 
« l’autre instance de dialogue social environnemental en matière de transition écologique et de développement durable ». .  .  ! La commission Hulot ayant vocation à orienter les actions du premier, c’est-à-dire de l’ONERC !

 

♦       Il ne faudrait pas  oublier non plus que le Père Ubu -Macron a aussi, par sa Cornegidouille, un Conseil Présidentiel de Défense Écologique 
qu’il a réuni le 27 juillet 2020, pour étudier les  propositions qu’il  avait dictées  avec Thierry Pech à ses apprentis conventionnels.

         « Que peut-on attendre du Conseil de défense écologique qui se réunit lundi 27 juillet ? » demande  FranceTVinfo qui  nous donne la réponse :
       « Le Conseil doit valider, entre autres, la création d’un comité à l’environnement et au développement durable dans les établissements scolaires. »
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  Alors, demande L’ingénue :

Le Père Ubu -Macron et son Conseil de défense écologique savent-ils qu’en ce moment, partout en France, brûlent des bâtiments scolaires ?

Serait-il  aussi venu le temps  de « civiliser » durablement  l’environnement  autour des établissements scolaires, comme dans les écoles, les collèges, les lycées, afin que  revienne le développement durable d’un climat paisible si nécessaire pour les professeurs et si fructueux  pour  les élèves  ?

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