Un chat n’est plus un chat

On connaît tous le jeu de Chat. Moi par exemple, je me souviens de sa variante Chat perché qui me valut deux mois de vacances à Bretonneau au CE1, ainsi que de sa variante Chat ferré et des glissades sur les grilles mouillées des platanes ou des marronniers.
Enfin, /soupir/comme j’ai dû grandir, j’ai fini par savoir que l’on pouvait appeler un chat, un chat, ce qui n’a pas manqué d’affermir mon jugement…

…Sauf que désormais un chat n’est plus un chat en jargon informatique. Certes, ce jeu de chat se joue toujours à plusieurs, mais on ne se court plus après en riant, on se sert d’une souris – la souris étant, cependant, ce qui fait toujours courir le chat, même anglais 😉

Ainsi, plutôt que de vous tenir ces propos débonnaires, j’aurais pu participer au Chat événement de la Société Nationale des Chemins de fer Français,  ce mercredi 21 janvier 2009 entre 17h et 18h.

Pour ce nouveau Chat ferré, la SNCF pouvait  » créer l’événement « ,  en utilisant le mot français ♥ pour dire le chat anglais ; et comme il est écrit :   » Venez dialoguer en direct avec … » son Président,  ce dernier pouvait  alors nous inviter à un Dialogue événement. Dialoguer vaut toujours mieux que jouer au chat et à la souris !

 

NB        ♥   le mot français   

Les publicitaires qui jouent beaucoup au chat et à la souris avec nous et notre argent raffolent du chat anglais. Dans leur jargon, ils le conjuguent soit à l’impératif :  » Chat(t)ez !  »  soit  à l’indicatif présent :  » Je tchate avec mes amis dans la rue  » D’où la morale de leur fable : «  Vous (t)chat(t)iez, j’en suis fort aise, et bien payez maintenant ! Cependant le chat anglais peut améliorer notre diction de la même façon que les chaussettes de l’archiduchesse. Répétez dix fois «  tchateras -tu dans le tchat du Kamtchatka ?  »    …

Le chat modéré  (le monde.fr 5.03.09 ) permet aussi de dialoguer  sur la consommation immodérée d’alcool chez certains jeunes   ;  d’où la devise du chat modéré :  » du lait, encore du lait, toujours du lait. « 

        10.03.09 On peut lire sur le monde.fr  l’annonce de  Tous les prochains chats de mars, que l’on distinguera facilement des lièvres et des violettes de … mars.
Le chat en cour(s)  sur la suppression du juge d’instruction avec   » Philippe Léger, président du comité de réflexion sur la justice pénale [qui] estime que  » le juge d’instruction apparaît comme un personnage ambigu« .
Déjà Jean de La Fontaine dans sa fable Le chat, la belette et le petit lapin l’avait dit de Raminagrobis … » Un chat faisant la chattemite,/ Un saint homme de chat, bien fourré, gros et gras, / Arbitre expert sur tous les cas. / Jean Lapin pour juge l’agrée./ Les voilà tous deux arrivés devant Sa Majesté fourrée (…) ».

         30.03.09  Le Monde.fr présente grossièrement le chat : Adjani sans son flingue  suite au succès du film de J-P Lilienfeld  » La Journée de la Jupe  » sur Arte.
1.04.09  non moins grossièrement, lemonde.fr ne le donne pas à lire ,  tout en laissant le carré pour la première réaction. MécontentNe donnant pas ma langue au chat, j’ai répondu :  » C’est la mère Lemonde qui a perdu   le chat  d’Isabelle !  Heureusement, on l’a retrouvé sur Télétchat ! Non pardon, sur Télérama  ! – sur telerama.fr un chat est un tchat« … le chat n’est pas perdu / sur l’air du tra la la ….!  »  ma réponse a bien pris à rebrousse-poil la moustache  de la mère Lemonde qui l’a  jetée  ! Mécontent  6.04.09 Est-ce le père Lustulu ? mais une mise à jour courtoise est apparue avec le début du chat : Isabelle Adjani :  » Je ne me rends pas compte du temps qui passe « 

        Une (petite) lueur cependant sur le monde.fr         on ne dit pas l’intégralité du chat  mais l’intégralité du débat ! Serait-ce suite à une intervention d’une célèbre amie des bêtes et de sa fondation ?

Sur libération.fr, le chat s’écrit aussi le tchat. Et le prochain tchat du 6.03.09 a pour sujet : « Les côtes de bettes » d’où la recette préférée du tchat :  » les bettes à la betchatmel  » 🙂
… et l’hiver prochain y aura-t-il un tchat sur le rhume Atchatchoum… à vos souhaits !

1er juin 2009            On a vu le chat  * de Marcel Rufo, pédopsychiatre          

Ou comment, selon le chat de Marcel Ruffo, le chat n’étant pas supérieur au bébé ;-) on peut bien dormir avec  son bébé comme avec son chat.  Si le chat et le bébé deviennent  » collants , anxieux « , c’est justement parce qu’ils en avaient besoin !

* vidéo  Le mieux c’est d’en parler     sur france 3.fr

NB     Selon un rituel anglais de baptême au XIV ème siècle *  
le célébrant disait : (…)  »  que cet enfant (…) ne dorme pas près de son père et sa mère jusqu’à ce qu’il puisse dire  » Ecartez-vous  » [ prescription visant à empêcher les morts d’enfants par étouffement accidentel ou volontaire] … »

…….  le rituel ignore le chat, créature par trop diabolique
;-) ..…….…… * La vie quotidienne pendant la guerre de cent ans. France et Angleterre Philippe Contamine  Hachette

 

     à suivre….           

Au théâtre ce soir : le discours de B.Obama

          20 janvier 2009     

                 INVITATION au Théâtre du Rond-Point (Paris- France)

  »  José   PLIYA      , metteur en scène béninois, directeur de la scène nationale de Guadeloupe, a décidé de faire entendre le discours de Barack Obama, De la Race en Amérique, dont une lecture sera donnée  au Rond-Point. »*

Le 20 janvier 2009 18:30 Théâtre du Rond-Point – salle Renaud-Barrault

[première en france] [entrée libre]

avec Vincent Byrd Le Sage /direction José Pliya /traduction (Le Monde daté du 27 mars 2008) Gilles Berton traducteur éditions Grasset François Clémenceau

durée 40 minutes

*source : l’émission Comme au théâtre de Joëlle Gayot – 19.01.09 – sur France Culture

        Extraits  du discours :
(…) »  Mais la race est une question que notre pays ne peut se permettre d’ignorer (…). Comme l’a écrit William Faulkner,  » le passé n’est ni mort ni enterré. En fait, il n’est même pas passé « . Inutile d’égrener ici l’histoire de l’injustice raciale dans ce pays. Mais nous devons absolument nous souvenir que beaucoup des disparités qui existent aujourd’hui au sein de la communauté afro-américaine trouvent directement leur origine dans les inégalités transmises par une génération qui a souffert de l’héritage brutal de l’esclavage et du racisme…... » Tel est le blocage racial dans lequel nous nous trouvons depuis des années. Contrairement à ce que prétendent certains de mes adversaires, blancs ou noirs, je n’ai jamais eu la naïveté de croire que nous pourrions dépasser nos divisions raciales en un seul cycle électoral, ou grâce à une seule candidature, surtout avec une candidature aussi imparfaite que la mienne. Mais j’ai voulu affirmer une conviction profonde, enracinée dans ma foi en Dieu et dans ma foi dans le peuple américain : en travaillant ensemble, nous pourrons dépasser quelques-unes de nos vieilles blessures raciales, et en réalité, nous n’avons pas le choix si nous voulons progresser sur la voie d’une union plus parfaite (…) »

 

NB Barack Obama  se réfère à sa croyance religieuse qui est aussi la religion officielle de l’Etat américain

 

Gaza, un temps de plomb

17 janvier 2009

         Soixante ans après la création de l’État d’Israël, en décembre 2008, le territoire palestinien de Gaza est sous les bombes de « Plomb durci ».  La couleur du temps me fait relire  Chant de saison de Paul Eluard et Chant d’automne de Charles Baudelaire.  

                  Chant de saison

Aux plateaux cernés de nuages
Comme aux derniers sentiers du jour
Les apparences se dispersent
Mains de peines et mains de joies
Sous l’ancien ciel ce faux bijou
Se ferment pour se réchauffer

Glaciers et brumes redoutables
Miroirs brouillés de l’inhumain
Les yeux qui furent l’équilibre
Regardent à travers leurs larmes
Le soleil vêtu de haillons
Comme un oiseau dans des chardons
……………
Sur la terre désenchantée
Plus rien à vaincre que le temps.
Paul Eluard

                  Chant d’automne

Bientôt 
 nous plongerons dans les froides ténèbres ;
Adieu, vive clarté de nos étés trop courts !
J’entends déjà tomber avec des chocs funèbres
Le bois retentissant sur le pavé des cours. 

Tout l’hiver va rentrer dans mon être : colère,
Haine, frissons, horreur, labeur dur et forcé,
Et, comme le soleil dans son enfer polaire,
Mon coeur ne sera plus qu’un bloc rouge et glacé.
(…) Charles Baudelaire

Lire aussi le poète Mahmoud Darwich 

                                                Mars 2009

Coup de cœur pour le livre Les Palestiniens d’Elias Sanbar
La photographie d’une terre et de son peuple de 1839 à nos jours   2004  Editions  Hazan. L’introduction d’Elias Sanbar, Hors du lieu, hors du  temps, est un hommage rendu à sa terre natale, un hommage comme ceux qui vous nouent la gorge et vous font monter les larmes aux yeux.

                 Photos de Gaza, la ville nouvelle p.56  et de Gaza, la vieille ville p.96 faites par Francis Frith en 1857.    A quand  les prochaines photos de paix dans l’Etat palestinien ?

                  » Closed zone «   Le blocus de Gaza par l’armée israélienne en animation  
 

 film  produit par l’ONG israélienne Gisha/   L’animation  est  de Yoni Goodman, directeur de l’animation de  » Valse avec Bachir « . Le personnage du film est  » un peu enfant, un peu adulte, un peu arabe et un peu juif  » explique-t-il dans le making of de Closed zone.                                                              

                        Récits du temps de plomb   par des conscrits israéliens

 

Le « plomb durci » de soixante [-dix] ans de guerre

Article publié le 13 janvier 2009 – mis en avant le 8 décembre 2017
_____________________

En nommant  Plomb durci  la guerre dans Gaza, l’état-major israélien n’a fait que poursuivre  l’implacable  durcissement du conflit depuis soixante ans sous l’égide des États-Unis et de  l’ONU.

La paix n’étant pas au programme des futures élections israéliennes, l’opération Plomb durci rendra plus complexe l’ouverture d’un dialogue de paix, tant elle aura infligé  de souffrances, d’humiliations et de deuils aux Palestiniens les plus démunis ; tant elle aura  parachevé  la rupture politique entre Gaza et la Cisjordanie,  fragilisant toujours plus l’Autorité palestinienne. Mais n’était-ce pas le but recherché ? *

Depuis soixante ans, le  » plomb durci  »  de la guerre de partage de la Palestine n’a cessé de foudroyer  les corps et les esprits. La colombe de la paix et son rameau d’olivier sont ensevelis sous les  ruines et les cendres. Il y aura un après  » Plomb durci « , et  les peuples palestinien et israélien contempleront avec horreur  l’abomination de la désolation  dans ce minuscule fragment de terre palestinienne.

On ne sait pas encore quand les  » bâtisseurs de ruines  » s’arrêteront, mais la diplomatie française se grandirait si  grâce à  elle et à l’Europe,  le peuple palestinien bénéficiait enfin d’une aide politique loyale des États-Unis et de  l’ONU. Ce peuple magnifique pourrait alors  construire un État totalement libéré de l’occupation israélienne,  et devenir, avec une aide internationale – non volatilisée en permanence par les bombardements –   aussi prospère que l’État israélien.

                                        __________________________

                              
        *cf  M. Abbas : Israël cherche à anéantir le peuple palestinien  /Lemonde.fr avec AFP 13.01.09

         L’Union juive française pour la paix  a une analyse particulièrement lucide et courageuse de la guerre : Pourquoi y a-t-il la guerre à Gaza ? A cause du sionisme Pierre Stambul ( Bureau national de l’UJFP) .

Lire aussi la lettre de Rima Tarazi   de l’Union générale des femmes palestiniennes  au sénateur Mitchell (26.02.09)
Extrait : » (…)  L’Union générale des femmes palestiniennes représente des milliers de femmes en Palestine et à l’étranger. Fortement engagées pour l’établissement d’un monde harmonieux et juste où nos enfants pourraient connaître la paix et la sécurité aux côtés des autres enfants du monde, nous sommes très inquiètes pour l’avenir de l’humanité si la situation actuelle perdure. C’est pourquoi, nous comptons sur vous, M. Mitchell, pour comprendre la profondeur de la colère et du désespoir qui remplit les cœurs de notre peuple, surtout chez les jeunes.
Cela fait soixante ans que notre peuple se bat pour rétablir ses droits et pour faire régner la justice. Générations après générations, on s’est adressé aux Nations Unies pour honorer les résolutions. (…) »

          Point de vue très émouvant parce que profondément humaniste : Effacez le nom de mon grand-père à Yad Vashem de Jean-Moïse Braitberg  Écrivain  (Le Monde 29.01.09 )

«Monsieur le Président de l’État d’Israël*,

Je vous écris pour que vous interveniez auprès de qui de droit afin que l’on retire du Mémorial de Yad Vashem dédié à la mémoire des victimes juives du nazisme, le nom de mon grand-père, Moshe Brajtberg, gazé à Treblinka en 1943, ainsi que ceux des autres membres de ma famille morts en déportation dans différents camps nazis durant la seconde guerre mondiale. Je vous demande d’accéder à ma demande, monsieur le président, parce que ce qui s’est passé à Gaza, et plus généralement, le sort fait au peuple arabe de Palestine depuis soixante ans, disqualifie à mes yeux Israël comme centre de la mémoire du mal fait aux juifs, et donc à l’humanité tout entière.

Voyez-vous, depuis mon enfance, j’ai vécu dans l’entourage de survivants des camps de la mort. J’ai vu les numéros tatoués sur les bras, j’ai entendu le récit des tortures ; j’ai su les deuils impossibles et j’ai partagé leurs cauchemars.

Il fallait, m’a-t-on appris, que ces crimes plus jamais ne recommencent ; que plus jamais un homme, fort de son appartenance à une ethnie ou à une religion n’en méprise un autre, ne le bafoue dans ses droits les plus élémentaires qui sont une vie digne dans la sûreté, l’absence d’entraves, et la lumière, si lointaine soit-elle, d’un avenir de sérénité et de prospérité.

Or, monsieur le président, j’observe que malgré plusieurs dizaines de résolutions prises par la communauté internationale, malgré l’évidence criante de l’injustice faite au peuple palestinien depuis 1948, malgré les espoirs nés à Oslo et malgré la reconnaissance du droit des juifs israéliens à vivre dans la paix et la sécurité, maintes fois réaffirmés par l’Autorité palestinienne, les seules réponses apportées par les gouvernements successifs de votre pays ont été la violence, le sang versé, l’enfermement, les contrôles incessants, la colonisation, les spoliations.

Vous me direz, monsieur le président, qu’il est légitime, pour votre pays, de se défendre contre ceux qui lancent des roquettes sur Israël, ou contre les kamikazes qui emportent avec eux de nombreuses vies israéliennes innocentes. Ce à quoi je vous répondrai que mon sentiment d’humanité ne varie pas selon la citoyenneté des victimes.

Par contre, monsieur le président, vous dirigez les destinées d’un pays qui prétend, non seulement représenter les juifs dans leur ensemble, mais aussi la mémoire de ceux qui furent victimes du nazisme. C’est cela qui me concerne et m’est insupportable. En conservant au Mémorial de Yad Vashem, au cœur de l’Etat juif, le nom de mes proches, votre Etat retient prisonnière ma mémoire familiale derrière les barbelés du sionisme pour en faire l’otage d’une soi-disant autorité morale qui commet chaque jour l’abomination qu’est le déni de justice.

Alors, s’il vous plaît, retirez le nom de mon grand-père du sanctuaire dédié à la cruauté faite aux juifs afin qu’il ne justifie plus celle faite aux Palestiniens. Veuillez agréer, monsieur le président, l’assurance de ma respectueuse considération.

Shimon Peres – Président d’Israël depuis 2007 – Prix Nobel de la Paix 1994 avec Yasser Arafat et Yitzhak Rabin
___________

Cf.  Gaza, un temps de plomb 17.01. 2009

Principe de précaution : veiller sur les plus fragiles

            

10 janvier 2009 – note précisée  /Nouveau numéro d’ Écoute cannabis/le 18 mars 2018

Dans l’espace public fermé, la loi a réussi à redonner aux fumeurs le respect des autres, et tout particulièrement des enfants beaucoup plus fragiles qu’eux.

Mais c’est aussi à  nous, parents, de veiller  sur la santé  de nos adolescents ;  une santé que peuvent fragiliser l’alcool et le tabac, auxquels s’ajouteraient désormais, en une chimie redoutable pour le corps et pour l’esprit, le cannabis et la cocaïne fabriqués par les esclaves des mafias au Maroc et en Colombie.

Pour parler franc, avec  ces dernières substances, nos adolescents courent le risque de fréquenter des délinquants et de glisser à la fois dans la multidépendance, l’échec scolaire et la complicité.

Il nous faut appliquer le principe de précaution :
* en les protégeant, en ne les laissant pas seuls sous l’ influence  des mensonges des publicitaires et  des revendeurs
* en rétablissant  la vérité sur cette culture dite jeune que la société marchande – licite ou illicite- veut leur imposer pour décupler ses ventes, et qui les met si gravement en danger.

Si nos adolescents nous font sincèrement confiance, ils pourront apprendre à résister à ces marchands d’illusions, apprendre à être (à nouveau) responsables et fiers d’eux-mêmes.

            

NB            Les parents doivent SAVOIR que,  tous  médias confondus (presse magazine, radio, tv, cinéma, internet, jeux vidéo etc.),   chacun(e) de leurs enfants a été, est ou sera confronté(e) à la violence , à la pornographie, à la pédophilie, aux publicités mensongères sur les drogues etc.  Ainsi dans LA VRAIE VIE  en   France, il n’y a plus aucun espace où l’enfance puisse se vivre paisiblement. Je sais, c’est terrible, c’est affligeant, mais le nier serait ajouter l’aveuglement à l’inacceptable..   

            Les parents doivent SAVOIR que  lorsqu’ils LAISSENT leurs filles ou leurs fils de 13 à 18 ans, SORTIR le vendredi soir, le samedi soir et pendant les longues vacances scolaires jusqu’à 4 heures du matin, ils devraient être eux-aussi prêts pour la promenade,  ils découvriraient tout près de chez eux, la drôle de vie  noctambule de leurs enfants….

Info    Un joint de cannabis  jusqu’à 5 fois plus nocif qu’une cigarette :
… »La consommation de cannabis est associée à une dégradation du fonctionnement des bronches, avec obstruction respiratoire, ce qui sollicite davantage les poumons. Les fumeurs de joint souffrent de respiration sifflante, de toux, d’oppression de la poitrine, d’expectorations.
Cette étude [de l’Institut de recherche médicale de Nouvelle-Zélande], publiée dans la revue spécialisée Thorax, a été réalisée sur 339 patients adultes répartis en quatre groupes : les fumeurs de cannabis, les fumeurs de tabac, les fumeurs de tabac et de cannabis, et les non-fumeurs. Chaque participant a été soumis à des examens de tomodensitométrie des poumons (scanner à rayons X assisté par ordinateur) et à des tests respiratoires.
L’équivalence entre un joint et « 2,5 à 5 cigarettes » est cohérente avec les niveaux de goudron et de carboxyhémoglobine qui sont de trois à cinq fois plus élevés pour un joint que pour une cigarette. La carboxyhémoglobine est une forme d’hémoglobine associée au monoxyde de carbone qui est un gaz très toxique.  (Lemonde.fr avec Reuters 31.07.2007)

L’INPES (Institut national de Prévention et d’Éducation pour la santé) et la MILDT 2009 ont produit d’excellentes vidéos :  Paroles vraies sur les drogues illicites avec  Et si ton dealer te disait la vérité ? 

Ces vidéos ont été supprimées « à la demande d’un « ayant -droit (sic)« ….  À nous de chercher ceux qui « ont droit » à l’argent des drogues … et qui ont du « pouvoir » … on en trouvera plus d’un.   

UNAF – Colloque du 24 janvier 2009  » Le cannabis : ce n’est pas seulement les enfants des autres « 

               Ecoute cannabis de 8h00 à 2h00 7j/7
Vrai-Faux : la cocaïne